Les moulins à farine étaient peu nombreux même pendant mon enfance.
Ça ne se gâtera point dans le transport comme le blé ou comme la farine.
Ils étaient fatigués de la veille, et trouvèrent moins de charme à manoeuvrer d'énormes sacs de farine, à monter, à descendre, à balayer, à faire, en un mot, toute la besogne que nous avons dite.
Ces établissements, au nombre de trois, étaient des moulins à moudre la farine, à fouler les draps et à scier les bois de construction.
Elle découvrit la huche à la farine, et prépara la pâte aux douillons.