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que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
On
     1. n. (Géographie) Section de la commune de Marche-en-Famenne en Belgique.
     2. n. Pronom de la troisième personne du singulier. — (usage) S'utilise pour désigner une ou des personnes indéfinies, en remplacement d'une forme passive.
     3. n. Nous.
           Pierre et moi, on a vu le patron.
     4. n. (Informel) Je. (usage) pour indiquer que le locuteur ne s'engage que peu.
           Ne craignez rien, on s'occupera de votre affaire.
     5. n. (Familier) Tu, vous ou n'importe quelle personne autre que moi.
           On n'a pas été sage aujourd'hui, malgré ma mise en garde !
           Alors, comme ça, on n'en fait qu'à sa tête et on veut faire son malin !
Ne
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Gênes dans la région de Ligurie.
     2. art. Négation. Première partie d'un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d'un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archa
           Je ne mange pas.
           Je n'en peux plus.
           Je n'y vois goutte.
     3. art. Devant un verbe à l'infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
           Ne pas se pencher au dehors.
     4. art. Il s'emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
           Il ne sait rien.
           Personne n'est venu.
           Aucun de nous n'y a pensé.
           Il ne dit jamais la vérité.
           Cette mère ne s'occupe guère de ses enfants.
     5. art. Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
           Nul ne s'en doute.
           Il n'a nul souci.
           Ni l'or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
     6. art. L'ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
           Que personne ne bouge.
     7. art. S'emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
           Il n'est pas d'homme qui ne désire être heureux.
           Y a-t-il quelqu'un dont il ne médise ?
     8. art. Il peut aussi s'employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
           Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
           Je n'ose (soutenu) (pour : J'oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n'ose pas)
           Je n'ose vous promettre. (pour : Je n'ose pas vous promettre.)
           Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
           Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
     9. art. Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
           N'importe ! (locution figée pour : Cela n'importe pas !)
           N'aie crainte. (locution figée pour : N'aie aucune crainte.)
           Qu'à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu'à cela !)
           Il ne dit mot. (soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
           N'en avoir cure. (soutenu) (locution verbale figée pour : 'N'en avoir aucune cure.)
           N'en pouvoir mais. (vieilli) (locution verbale figée pour : N'en plus pouvoir.)
           À Dieu ne plaise! (vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
     10. art. Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n'a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
     11. art. (Vieilli) S'emploie encore (de façon aujourd'hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
           Après les verbes qui expriment la crainte.
           Je crains qu'il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu'il ne vienne pas.)
           Je redoute qu'il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu'il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
           Après le verbe empêcher.
           Empêche qu'il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu'il tombe.)
           Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
           Il est plus riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi pauvre qu'on le croit.)
           Il est moins riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi riche qu'on le croit.)
           Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
           C'est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
           Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
           Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
           Vous n'avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
peut
     1. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de pouvoir.
     pouvoir
          1. v. Être capable de ; avoir la faculté de ; être en état de.
                Je ne peux plus me concentrer avec tout ce bruit. — Je n'en peux plus, je suis épuisée.
          2. v. Avoir la possibilité matérielle de faire quelque chose.
                Je peux venir par le train de 8 h 17 ou celui de 9 h 43.
                Nous n'y pouvons rien. (nous n'avons pas la capacité d'influer sur le cours des choses)
          3. v. Avoir la permission de faire quelque chose.
                Tu peux fumer si tu le souhaites.
          4. v. Exprime une possibilité, un choix, qui s'offre à une personne.
                Je peux appeler un médecin si tu ne te sens pas bien.
                Dans cette affaire, nous pouvons tout nier en bloc, ou décider de faire amende honorable.
          5. v. Exprime une éventualité, une probabilité, ou une hypothèse. On peut dire aussi : « Il se peut que … » (+ subjonctif).
                Ne comptez pas sur lui, il peut partir du jour au lendemain.
                À cette époque, il peut pleuvoir plusieurs fois par jours.
                Si vous ne faites pas attention, vous pouvez vous faire très mal.
                Ne t'impatiente pas ! Elle a pu être prise dans les embouteillages.
          6. v. Dans une forme interrogative, fait appel à la bonne volonté de l'interlocuteur.
                - Peux-tu m'ouvrir ce bocal s'il te plait ? - Oui, je veux bien essayer.
          7. v. (Proverbial) définit un souhait, un désir.
                Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait ! Si la jeunesse avait de l'expérience et que la vieillesse eût de la force !
          8. v. (tr-indir) S'emploie au subjonctif présent par une manière de vœu, de souhait.
                Puissé-je ne pas en arriver là !
                Puisse le ciel vous donner de longs jours !
                Puissiez-vous réussir dans vos projets !
                Puissent vos projets réussir !
                Puisse-t-il arriver bientôt !
          9. v. (Intransitif) Se dit encore pour marquer la possibilité de quelque événement, de quelque dessein.
                Un accident pourrait arriver.
                Cela se peut faire.
                Cela pourrait bien être.
                Cela se peut.
                Cela ne se peut pas.
                Il pourrait bien en mourir.
          10. v. Il s'emploie impersonnellement soit seul, soit avec le pronom se, dans cette acception.
                Il se peut que votre projet réussisse.
                Il pourra venir un temps meilleur.
                Il pourra, il pourrait arriver que… Il se pourrait que…
                Peut-être.
                Voyez cette expression à son rang alphabétique.
          11. v. (tr-indir) S'emploie aussi transitivement et signifie Avoir l'autorité, le crédit, le moyen, la faculté, etc., de faire.
                Vous pouvez tout sur lui, sur son esprit.
                Si je puis quelque chose pour votre service, je m'y emploierai avec joie.
                C'est un homme qui peut beaucoup dans l'affaire dont il s'agit.
                Je ne puis rien en cela.
                Il peut tout ce qu'il veut.
                Je ne puis pas y aller.
          12. v. On ne peut plus, on ne peut mieux, Il n'est pas possible de faire ou d'être plus, de faire ou d'être mieux.
                Il est on ne peut plus aimable.
                Il s'y conduisit on ne peut mieux.
                N'en pouvoir plus, N'en plus pouvoir, être dans un accablement causé soit par la vieillesse, soit par la maladie, soit par la fatigue, le travail, la faim, la soif, ou encore par la souffrance morale, l'inquiétude, le chagrin.
                Je n'en puis plus.
                Il est fatigué à n'en pouvoir plus.
                Il est accablé de travail, il n'en peut plus.
                Je n'en puis plus de soif, de lassitude.
                Quand il est arrivé chez lui, il n'en pouvait plus.
                J'ai trop souffert, je n'en puis plus.
                Après tout ce qu'il a enduré, il n'en peut plus.
                Ce cheval n'en peut plus.
          13. n-m. Capacité à produire un effet.
          14. n-m. Capacité à commander, à contraindre, à imposer sa volonté.
                Dans une société primitive, celui que nous prendrions pour un chef est un porte-parole : il n'a pas de pouvoir.
          15. n-m. Capacité légale (de faire une chose) ; (par extension) mandat.
          16. n-m. (Politique) Puissance publique, autorité, droit de commander.
          17. n-m. (Par métonymie) Les personnes mêmes qui sont investies du pouvoir, de l'autorité politique.
ou
     1. conj. Indique une disjonction inclusive sur plusieurs concepts quand la cohabitation des concepts est envisageable : un ou plus dans la liste sont envisageables à la fois. Quand le sujet comprend un ou de ce sens, le verbe se met au pluriel.
           La peur ou la misère ont fait commettre bien des fautes.
           Vous ou moi, nous ferons telle chose.
           J'irais à la piscine lundi ou mercredi. (ambigu : voir ci-dessous)
     2. conj. Indique une disjonction exclusive : un seul dans la liste est envisageable à la fois. Quand le sujet comprend un ou de ce sens, le verbe s'accorde en nombre avec la dernière option. La première option peut être précédée par soit ou ou.
           Lui ou elle viendra avec moi.
           La douceur ou la violence en viendra à bout.
           J'irais à la piscine lundi ou mercredi. (ambigu : voir ci-dessus)
           Soit qu'il s'en aille, ou qu'il demeure.
     3. conj. Indique une expression alternative de la même chose.
           Son beau-frère ou le mari de sa sœur.
           Byzance ou Constantinople.
     4. conj. (Désuet) Indique le sous-titre d'un livre.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
On
     1. n. (Géographie) Section de la commune de Marche-en-Famenne en Belgique.
     2. n. Pronom de la troisième personne du singulier. — (usage) S'utilise pour désigner une ou des personnes indéfinies, en remplacement d'une forme passive.
     3. n. Nous.
           Pierre et moi, on a vu le patron.
     4. n. (Informel) Je. (usage) pour indiquer que le locuteur ne s'engage que peu.
           Ne craignez rien, on s'occupera de votre affaire.
     5. n. (Familier) Tu, vous ou n'importe quelle personne autre que moi.
           On n'a pas été sage aujourd'hui, malgré ma mise en garde !
           Alors, comme ça, on n'en fait qu'à sa tête et on veut faire son malin !
Ne
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Gênes dans la région de Ligurie.
     2. art. Négation. Première partie d'un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d'un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archa
           Je ne mange pas.
           Je n'en peux plus.
           Je n'y vois goutte.
     3. art. Devant un verbe à l'infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
           Ne pas se pencher au dehors.
     4. art. Il s'emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
           Il ne sait rien.
           Personne n'est venu.
           Aucun de nous n'y a pensé.
           Il ne dit jamais la vérité.
           Cette mère ne s'occupe guère de ses enfants.
     5. art. Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
           Nul ne s'en doute.
           Il n'a nul souci.
           Ni l'or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
     6. art. L'ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
           Que personne ne bouge.
     7. art. S'emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
           Il n'est pas d'homme qui ne désire être heureux.
           Y a-t-il quelqu'un dont il ne médise ?
     8. art. Il peut aussi s'employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
           Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
           Je n'ose (soutenu) (pour : J'oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n'ose pas)
           Je n'ose vous promettre. (pour : Je n'ose pas vous promettre.)
           Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
           Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
     9. art. Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
           N'importe ! (locution figée pour : Cela n'importe pas !)
           N'aie crainte. (locution figée pour : N'aie aucune crainte.)
           Qu'à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu'à cela !)
           Il ne dit mot. (soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
           N'en avoir cure. (soutenu) (locution verbale figée pour : 'N'en avoir aucune cure.)
           N'en pouvoir mais. (vieilli) (locution verbale figée pour : N'en plus pouvoir.)
           À Dieu ne plaise! (vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
     10. art. Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n'a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
     11. art. (Vieilli) S'emploie encore (de façon aujourd'hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
           Après les verbes qui expriment la crainte.
           Je crains qu'il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu'il ne vienne pas.)
           Je redoute qu'il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu'il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
           Après le verbe empêcher.
           Empêche qu'il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu'il tombe.)
           Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
           Il est plus riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi pauvre qu'on le croit.)
           Il est moins riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi riche qu'on le croit.)
           Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
           C'est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
           Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
           Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
           Vous n'avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
doit
     1. n-m. (Commerce) S'emploie dans les livres de compte, par opposition au mot avoir, et désigne la partie d'un compte où l'on porte ce qu'une personne doit, ce qu'elle a reçu.
           Le doit et l'avoir sont le passif et l'actif.
     2. n-m. (Normandie) (Bretagne) Petit cours d'eau, ru.
     3. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de devoir.
     Must
          1. n. Nom de famille.
     devoir
          1. v. Avoir à payer une somme d'argent, à rendre ou à donner quelque chose que ce soit.
                Je vous paierai à la date fixée tout ce que je vous dois.
                Devoir plus qu'on ne possède.
                (absol) Il doit à tout le monde.
                (prov) Devoir à Dieu et à diable, au tiers et au quart ; devoir de tous côtés, devoir beaucoup, avoir beaucoup de dettes.
                (prov) Qui a terme ne doit rien, On ne peut être obligé de payer avant que le terme soit échu.
          2. v. Être obligé à quelque chose par la morale, par la loi, par sa condition, par l'honneur, par la bienséance, etc.
                On se doit à soi-même de respecter les bienséances.
                Je me devais de faire cette démarche.
                Un honnête homme sait ce qu'il se doit.
                Un homme d'honneur doit tenir sa parole.
                Vous devriez vous conduire autrement.
                Il ne devrait pas abandonner ses parents.
                (prov) Fais ce que dois, advienne que pourra.
                La loi doit une égale protection à tous les citoyens.
          3. v. Être dans la nécessité de. — (note) Il est alors suivi d'un infinitif.
          4. v. Être redevable à, tenir de.
                Il vous doit son bonheur, son salut, sa fortune.
                Racine doit beaucoup à Euripide.
                Corneille doit à Sénèque la belle scène d'Auguste et de Cinna.
                L'auteur a dû le succès de sa pièce au talent des acteurs.
                Cette colline doit son nom à un événement qu'on nous raconta.
                Je lui dois tous mes maux.
          5. v. Il se dit aussi pour marquer qu'il y a une espèce de justice, de raison, de nécessité, etc., qu'une chose soit.
                Un bon ouvrier doit être plus employé qu'un autre.
                Il me semble que cela devrait les réconcilier.
                Il devrait y avoir une garnison dans cette ville.
          6. v. Être inévitable.
          7. v. Suivi d'un infinitif, il joue aussi en quelque sorte le rôle d'un auxiliaire et se dit de ce qui paraît vraisemblable, probable, plus ou moins certain.
                Blandine ne peut s'empêcher de rire.
                Une fois réparé de cette façon, cet instrument doit marcher.
          8. v. Il se dit de ce qu'on croit, ou qu'on présume, ou qu'on suppose qui arrivera.
                Le courrier doit être ici dans peu de jours.
                Je dois recevoir cette somme après-demain.
                Le bonheur que doivent goûter les élus.
                Quand même je devrais y périr.
                Il doit y avoir demain une assemblée générale.
          9. v. À l'imparfait du subjonctif, et en tête de la phrase, il s'emploie dans le sens de quand même.
                Dussè-je y périr.
                Dût ma fortune être anéantie.
                Quand je devrais y périr.
          10. v. Il se dit aussi pour marquer l'intention qu'on a de faire quelque chose.
                Je dois aller demain à la campagne.
          11. v. (Pronominal) Se dit spécialement pour être dans l'obligation morale de se donner, de se dévouer à sa famille, à sa patrie, à ses amis.
                Vous vous devez à vos enfants.
                Cela se doit, se dit de ce qui doit être, de ce qu'il convient de faire.
          12. v. Le beau temps est dû à l'anticyclone.
          13. v. La pluie est due aux nuages.
          14. v. Les retards sont dus aux incidents.
          15. v. Les sommes sont dues à la date d'échéance.
          16. n-m. Ce à quoi on est obligé par la raison, par la morale, par la loi, par sa condition, par la bienséance, etc.
                Manquer à son devoir.
                S'écarter de son devoir.
                Négliger, oublier ses devoirs.
                Les devoirs de son état.
                Les devoirs de l'amitié.
                Les devoirs d'un père de famille.
                Le devoir conjugal.
                Les devoirs réciproques.
                Faire une chose par devoir.
                Vous n'avez fait que votre devoir.
                Se faire un devoir de.
                être à son devoir, être à son poste.
                Se mettre en devoir de, Se disposer à.
                Se mettre en devoir de faire quelque chose.
                Il se mit en devoir d'exécuter sa promesse.
                Rentrer dans son devoir, dans le devoir, Se remettre dans l'obéissance, dans la subordination dont on s'était écarté.
                Ramener quelqu'un à son devoir, au devoir.
                Retenir quelqu'un dans le devoir.
                Ranger quelqu'un à son devoir, L'obliger à faire ce qu'il doit.
                Se ranger à son devoir.
                Devoir pascal.
                Aller rendre ses devoirs à quelqu'un, Aller le saluer chez lui, lui faire une visite de politesse.
                derniers devoirs, honneurs funèbres, cérémonie pour les funérailles de quelqu'un.
                Rendre à quelqu'un les derniers devoirs, L'accompagner jusqu'à sa dernière demeure.
          17. n-m. Exercices scolaires qu'ont à faire les élèves dans un lycée, un collège, une école.
                (au pluriel) (en particulier) Exercices scolaires qu'ont à faire les élèves en dehors du lycée, du collège, de l'école.
pas
     1. n-m. Mouvement que fait une personne ou un animal en mettant un pied devant l'autre pour marcher.
           On ne peut le décider à faire un pas hors de chez lui.
           Permettez-moi de faire quelques pas avec vous.
           Marcher d'un pas léger, d'un pas rapide, d'un pas chancelant.
     2. n-m. (Métrologie) Distance entre deux pas ; enjambée.
           Il ne veut pas s'éloigner, reculer, avancer d'un pas, il ne veut pas s'éloigner, reculer, avancer du tout, il veut rester où il est.
     3. n-m. Faible distance.
     4. n-m. (Militaire) Différentes manières de marcher réglées pour les troupes.
           Pas ordinaire.
           Pas accéléré.
           Pas redoublé.
           Pas de route.
           Pas gymnastique.
           Pas de charge.
           Il a mis, il a remis sa troupe au pas.
           Marcher au pas, prendre le pas.
           Perdre le pas, n'être plus au pas.
     5. n-m. (Danse) Différentes manières d'exécuter le mouvement de la danse.
     6. n-m. (Équitation) Allure la moins rapide du cheval.
     7. n-m. Empreinte, marque que laisse le pied d'une personne ou d'un animal.
           Il vit des pas d'homme sur le rivage.
           Il distingue fort bien le pas d'un cheval de celui d'un mulet.
     8. n-m. Préséance, droit de marcher le premier.
           Le parlement avait le pas sur les autres compagnies.
           Il lui a cédé le pas.
           Il a pris le pas sur lui.
           Disputer le pas à quelqu'un.
     9. n-m. Passage étroit ou passe difficile dans une vallée, dans une montagne, etc.
           Le pas de Suse.
           Le pas de Calais, le détroit entre Calais et Douvres.
     10. n-m. Seuil, marches qui sont au-devant d'une entrée.
           Il est sur le pas de la porte.
           Prenez garde, il y a ici un pas.
           Il y a quatre pas à monter à ce perron.
     11. n-m. (Vieilli) Allées et venues, démarches que l'on fait, peines qu'on prend pour réussir.
           Il fait bien des pas pour obtenir cette place.
           Cela lui a coûté bien des pas et démarches.
           Il n'a pas ménagé, épargné ses pas dans cette circonstance.
           Je ne ferai pas un pas de plus, je ne ferai aucune démarche de plus pour cette affaire, pas une concession de plus.
     12. n-m. (Mécanique) Distance séparant deux filets d'un filetage.
           Plus généralement : distance entre 2 tours d'un mouvement hélicoïdal : voir hélice (mathématique) et variable.
     13. n-m. (Cartographie) Écart entre les axes d'éléments graphiques homologues d'un ensemble graphique de structure régulière ; il est souvent exprimé numériquement par l'inverse de son rapport à l'unité de longueur.
     14. n-m. (Composants) Distance séparant deux lignes d'interconnexion voisines dans un circuit intégré ou sur un circuit imprimé nu.
     15. n-m. (Composants) Distance entre deux broches de raccordement contiguës sur un boîtier.
     16. v. Négation d'un verbe. — (usage) Utilisée avec la particule ne dans le langage littéraire, mais souvent sans celle-ci dans le langage courant.
           Pourquoi tu ne manges pas ?
           J'veux pas travailler.
           Tu as si souffert que ça de ton harcèlement ? T'as pas idée.
     17. v. Négation rhétorique pour demander humblement un accord. — (note) La réponse affirmative est oui, non pas si.
           N'est-elle pas jolie ?
           N'est-ce pas qu'elle est jolie ?
     18. v. Négation rhétorique pour une invitation polie. — (note) La réponse affirmative est oui ou ouais, non pas si.
           — Vous ne voulez pas déjeuner avec moi ?
     19. v. Négation d'un adjectif épithète. Non.
           Je cherche un logement pas cher.
accepter
     1. v. Agréer ce qui est offert.
     2. v. Approuver une chose, la considérer comme juste.
           Accepter une théorie.
     3. v. Faire rentrer une personne dans un groupe.
     4. v. (Droit) S'engager à payer un effet de commerce à son l'échéance.
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