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personne
     1. n-f. Être humain considéré en tant qu'individu.
     2. n-f. (Philosophie) Individu ou entité consciente d'elle-même et à laquelle on reconnaît des droits.
           Le débat fait rage pour savoir si certains animaux sont des personnes.
     3. n-f. (Grammaire) Rôle que tient la personne ou la chose en cause dans l'acte d'énonciation. (note)Première personne : je, nous ;
     4. n-f. Précédé d'un adjectif possessif, se dit de la vie, du corps, du physique de celui qui parle, à qui l'on parle, ou dont on parle.
     5. n-f. Personnage.
           Il était la seconde personne du royaume.
     6. n-f. Se dit, dans certaines locutions, des femmes seulement.
           C'est la plus belle personne du monde, une des plus jolies personnes qu'on puisse voir.
           Voilà une belle personne.
           Un pensionnat de jeunes personnes.
           Elle est très belle personne.
     7. n-f. Se dit quelquefois d'un homme ou d'une femme, considérés en eux-mêmes.
           Peu de gens savent séparer la personne de la situation qu'elle occupe.
           La personne d'un auteur, par opposition à ses œuvres.
     8. n-f. Sert, dans certaines expressions, à donner plus de force, d'ampleur, de solennité à ce que l'on dit.
           Cet officier est attaché à la personne du général.
           Ce général se porta de sa personne en tel endroit, Il y alla lui-même.
           En sa personne se dit dans le même sens, mais a toujours rapport au régime du verbe.
           C'est l'offenser en sa personne.
           Parlant à sa personne, Parlant à lui-même.
           Je le lui ai dit, parlant à sa personne.
           Assigner une commune en la personne ou au domicile du maire, le Trésor en la personne ou au bureau de l'agent, etc.
           Offenser, outrager quelqu'un en la personne d'un autre.
     9. n-f. (Religion) Être divin, dans la théologie chrétienne.
     10. n. (Littéraire) Quelqu'un.
           Y a-t-il personne d'assez hardi ?
           Je doute que personne y réussisse.
           Il ne veut pas que personne soit lésé.
     11. n. Nul ; quiconque ; qui que ce soit. — (note) Il est alors accompagné d'une négation
Ne
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Gênes dans la région de Ligurie.
     2. art. Négation. Première partie d'un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d'un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archa
           Je ne mange pas.
           Je n'en peux plus.
           Je n'y vois goutte.
     3. art. Devant un verbe à l'infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
           Ne pas se pencher au dehors.
     4. art. Il s'emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
           Il ne sait rien.
           Personne n'est venu.
           Aucun de nous n'y a pensé.
           Il ne dit jamais la vérité.
           Cette mère ne s'occupe guère de ses enfants.
     5. art. Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
           Nul ne s'en doute.
           Il n'a nul souci.
           Ni l'or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
     6. art. L'ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
           Que personne ne bouge.
     7. art. S'emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
           Il n'est pas d'homme qui ne désire être heureux.
           Y a-t-il quelqu'un dont il ne médise ?
     8. art. Il peut aussi s'employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
           Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
           Je n'ose (soutenu) (pour : J'oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n'ose pas)
           Je n'ose vous promettre. (pour : Je n'ose pas vous promettre.)
           Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
           Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
     9. art. Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
           N'importe ! (locution figée pour : Cela n'importe pas !)
           N'aie crainte. (locution figée pour : N'aie aucune crainte.)
           Qu'à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu'à cela !)
           Il ne dit mot. (soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
           N'en avoir cure. (soutenu) (locution verbale figée pour : 'N'en avoir aucune cure.)
           N'en pouvoir mais. (vieilli) (locution verbale figée pour : N'en plus pouvoir.)
           À Dieu ne plaise! (vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
     10. art. Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n'a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
     11. art. (Vieilli) S'emploie encore (de façon aujourd'hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
           Après les verbes qui expriment la crainte.
           Je crains qu'il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu'il ne vienne pas.)
           Je redoute qu'il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu'il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
           Après le verbe empêcher.
           Empêche qu'il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu'il tombe.)
           Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
           Il est plus riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi pauvre qu'on le croit.)
           Il est moins riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi riche qu'on le croit.)
           Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
           C'est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
           Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
           Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
           Vous n'avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
Est
     1. n-m. (Géographie) Région située à l'est (en particulier à l'est d'un pays), le contexte permettant de comprendre de quelle région il s'agit.
           Gare de l'Est.
           Allemagne de l'Est.
           Europe de l'Est.
     2. n-m. (Régions;du Burkina Faso) Région du Burkina Faso.
     3. n. (Géographie) Village des Pays-Bas situé dans la commune de Neerijnen.
     4. n-m. (Points cardinaux) Point cardinal, à droite quand on regarde l'horizon vers le nord. Direction d'où le soleil se lève.
     5. n-m. Partie du monde ou d'un pays qui est du côté de l'Est.
           Le vent est à l'est.
           Il s'éleva un vent d'est.
           La frontière de l'est.
     6. adj. Dans la direction de l'est.
           La côte est.
           Degrés de longitude est. : Ceux qui vont du méridien de Greenwich vers l'est.
     7. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de être.
     être
          1. v. Définir un état, une caractéristique du sujet. (note) En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu'il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, ex
                Je suis petit et barbu.
                Est-il malade ?
                Cet homme est président de ce pays depuis quatre ans.
                L'eau nous est indispensable.
                — D'où est-il ?
          2. v. Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
                Nous sommes en ville.
          3. v. (Absolument) Exister.
                Être, ou ne pas être, c'est là la question.
                Il n'est plus, il est mort.
          4. v. (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
                Il est des hommes que la résistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage.
                Il est, près de ces lieux, une retraite ignorée.
          5. v. (Impersonnel) Le moment de la journée. (note) Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C'est quelle heure ?
                — Quelle heure est-il ?
                Il est l'heure de partir.
                Il est tard.
          6. v. Le jour de la semaine ou la date du moment.
                — Quel jour sommes-nous ?
                Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
          7. v. (Familier) Aller, se rendre. (note) Avec l'auxiliaire avoir.
                Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
          8. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d'état et tous les verbes réflexifs.
                Il est passé.
                Il est tombé.
                Il s'est trompé.
          9. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
                Quand il sera aimé.
          10. v. (Construit avec sur ou dessus) S'occuper d'une affaire particulière, s'en occuper.
          11. n-m. Existence, c'est-à-dire le fait d'exister, au sens abstrait.
          12. n-m. Organisme, créature vivante.
          13. n-m. Personnalité ; âme.
          14. n-m. (Plus rare) Ce qui constitue une chose.
tout
     1. adj. Qui comprend l'intégrité, l'entièreté, la totalité d'une chose considérée par rapport au nombre, à l'étendue ou à l'intensité de l'énergie.
           S'emploie devant un nom précédé ou non d'un article, d'un démonstratif ou d'un possessif.
           Tous les hommes, tous les animaux, toutes les plantes.
           S'emploie aussi devant un nom propre.
           Il a parcouru toute la France.
           S'emploie également devant ceci, cela, ce que, ce qui, ceux qui et celles qui.
           Tout ceci est pris du troisième livre de l'Histoire grecque de Xénophon.
           S'emploie aussi comme attribut après le verbe.
           Cette somme est toute où vous l'avez laissée.
     2. adj. (Littéraire) (Au singulier) Chaque, n'importe quel. (note) Il est alors devant le nom sans article.
           Tout bien est désirable.
     3. v. Entièrement, complètement, sans exception, sans réserve, tout à fait.
           Un appartement tout petit, des fourmis toutes petites.
           Un arbre tout en fleurs.
           Une sportive tout à sa passion.
     4. v. Exactement ; très précisément. — (note) Dans ce sens, il est suivi de premier ou dernier.
           Les tout premiers citrons et les toutes premières oranges.
           Tout peut aussi s'employer dans ce sens avec l'adverbe juste : Il était tout juste parti quand tu es arrivé.
     5. v. Renforce le gérondif (en participe présent) pour mieux marquer la simultanéité.
           Tout en marchant, ils parlaient de leurs projets.
     6. v. Suivi d'un adjectif ou d'un nom, puis de la conjonction que, marque une opposition ou une concession ; équivaut alors à si.
     7. v. (Populaire) Très.
     8. n. (Au singulier) Toute chose, toute sorte de choses.
           Tout bien considéré.
           Se prêter à tout.
           Il est capable de tout.
           Tout ou rien.
     9. n. Tout le monde, l'ensemble des personnes, d'une collectivité.
           Femmes, enfants, vieillards, tout fut massacré.
           Le peuple et l'armée, tout était consterné.
           Tout fuyait devant lui.
     10. n. (Au pluriel) Ensemble des personnes, des choses dont on vient de parler.
           Il fut fêté par ses concitoyens, tous vinrent au-devant de lui.
           Le froid a été funeste pour ces plantes, toutes ont gelé.
     11. n. (Au pluriel) Emphase de la totalité du pronom personnel précédent.
           Nous tous. Vous tous. Eux tous. Elles toutes.
     12. n. (Au singulier) L'ensemble, la totalité.
           Tout semblait calme.
           Quand je suis arrivé, tout était fini.
           Tous revinrent sains et saufs.
           Toutes portaient des chapeaux à fleurs.
     13. n. (Au masculin;p) (Littéraire) Tout le monde, tous les gens ; l'ensemble de l'humanité.
           Les archives pour tous.
     14. n-m. Ensemble, la somme des parties, une chose divisible considérée en son entier.
           Diviser un tout en plusieurs parties.
           Je ne veux pas vendre cela au détail, prenez le tout si vous voulez.
           Il vous cédera le tout pour un prix raisonnable.
           Notre physique, notre intelligence et notre morale sont plusieurs touts qui forment notre personnalité.
           Notre vie est faite de touts et de riens.
     15. n-m. (En particulier) L'ensemble, après l'énumération de plusieurs choses, des parties jointes toutes ensemble.
           Il a fait telle et telle chose, le tout pour parvenir à son but.
           Le tout monte à tant.
     16. n-m. Ce qu'il y a de principal, de plus important dans une chose.
           C'est quelque chose de bien commencer, mais le tout est de bien finir.
           Il en fait son tout : Il l'aime uniquement ; ne se dit qu'en parlant des personnes.
           Il n'a d'yeux que pour cet enfant, il en fait son tout.
     17. n-m. Le mot entier proposé en charade.
           Et mon tout est telle chose.
     18. n-m. (Héraldique) Le champ et ses charges, en parlant d'une autre charge superposée.
           Il porte écartelé de… et de… et sur le tout de…
           Tranché de… et de…, un… brochant sur le tout.
     19. n-m. (Jeu) Troisième partie qui se joue après qu'un des deux joueurs a perdu partie et revanche, et où l'on joue autant d'argent que l'on en a joué dans les deux premières parties ensemble.
           Jouer le tout, le tout pour le tout.
           Jouer partie, revanche et le tout.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
temps
     1. n-m. Durée des choses, marquée par certaines périodes, et principalement par la révolution apparente du soleil ; écart entre le déroulement de deux événements.
           Einstein associe l'espace et le temps dans sa théorie d'un univers à quatre dimensions.
           Tu en as mis, du temps ! Tu as été bien long.
     2. n-m. (Mythol) Sa représentation sous la figure d'un vieillard ailé qui d'une main tient une faux, et de l'autre un sablier.
     3. n-m. Durée limitée, par opposition à l'éternité.
           Platon a dit que le temps est une image mobile de l'éternité immobile.
           Avant tous les temps, avant les temps, avant le temps, Avant la création du monde.
     4. n-m. (Spécialement) Durée longue ; époque ; période ; ère.
     5. n-m. (Spécialement) Succession des jours, des heures, des moments, considérée par rapport aux différents travaux, aux diverses occupations des personnes.
           Employer bien le temps. — Ménager bien le temps. — Le temps est précieux. — Il faut beaucoup de temps pour cela.
     6. n-m. Durée limitée.
           Ce soldat a fait son temps de service. — Prêtez-moi cela pour quelque temps. — Cela n'a pas laissé de durer un certain temps.
     7. n-m. Durée plus ou moins longue selon le contexte.
           Cela fait un petit temps qu'on ne s'est plus vus. — Il y a un petit temps d'adaptation.
     8. n-m. Délai.
           Je vous demande encore un peu de temps pour vous payer. — Je vous demande du temps. — Vous me donnez un temps bien court.
           Prendre du temps. — Accorder du temps. — Obtenir du temps. — Donner un an de temps.
     9. n-m. Loisir.
           Je n'ai pas le temps de vous parler. — Il est si occupé qu'il n'a pas le temps de lire.
     10. n-m. Époque déterminée.
           Payer dans le temps porté par l'obligation. — Prévenir le temps. — Devancer le temps. — Le temps approche.
           Dès que le temps sera venu, sera échu. — Marquez-moi précisément le temps. — Elle est accouchée avant le temps.
     11. n-m. Époque dont on parle ; cette époque là.
     12. n-m. Conjoncture, occasion propre, moment.
           Le temps est favorable. — Un temps plus opportun. — Laisser passer le temps de faire quelque chose.
           Ce n'est pas le temps de parler de cela. — Attendez à un autre temps. — Chaque chose a son temps.
           Il y a temps de rire et temps de pleurer, temps de parler et temps de se taire.
     13. n-m. Saison propre à chaque chose.
           Le temps des vendanges, de la moisson.
           Dans le temps des perdreaux, Dans le temps où l'on va à la chasse des perdreaux.
     14. n-m. Les siècles, les différentes époques par rapport à la chronologie, des différents âges de la vie.
           Les temps fabuleux. — Les temps héroïques. — Les temps historiques. — Du temps d'Auguste.
           Nous n'avons pas vu, nous ne verrons pas cela de notre temps. — Ils vivaient dans le même temps.
           Il était de mon temps. — Au bon vieux temps. — Dans mon jeune temps. — Au temps de ma jeunesse.
     15. n-m. Période déterminée par rapport à l'état où sont les choses pour le gouvernement d'un pays, pour les manières de vivre, pour les modes, etc.
           C'était un bon temps, un temps heureux. — Un temps misérable, un temps de corruption, un temps de trouble.
           En temps de paix et en temps de guerre. — Dans les temps difficiles. — Les temps sont bien changés.
           Les temps sont durs. — C'est le goût du temps. — Cela n'est pas surprenant par le temps qui court.
     16. n-m. Phase, étape.
           Le projet se déroulera en deux temps. — Un moteur quatre temps.
     17. n-m. Moment précis, en escrime ou en exercices militaires, pendant lesquels il faut faire certains mouvements qui sont distingués et séparés par des pauses.
           Pousser une botte en deux temps, en trois temps. — Temps d'arrêt.
     18. n-m. (Musi) (Danse) Chacune des principales divisions de la mesure, dont les unes sont plus marquées que les autres dans l'exécution, quoique d'ailleurs elles soient égales en durée.
           Mesure à deux temps, à trois temps, à quatre temps. — La mesure se divise en temps forts et en temps faibles.
           La mesure commence toujours par un temps fort. — La valse à trois temps.
     19. n-m. Rythme, en parlant de métrique de la phrase ou du vers.
           Les temps forts. — Le temps marqué.
     20. n-m. Une des pauses ou un des silences qu'on observe entre certaines phrases, entre certains mots, dans une déclamation.
           Lorsqu'on parle en public, il est bon d'observer des temps entre certains mots, entre certaines phrases.
           Après ce vers, il y a un temps à garder. — Prendre un temps.
     21. n-m. (Grammaire) Quelqu'une des différentes formes qui marquent dans les verbes le moment auquel se rapporte l'action ou l'état dont on parle.
           Les divers temps du verbe sont le présent, l'imparfait, le passé, le plus-que-parfait, le futur, le futur antérieur, etc.
           Les temps de l'indicatif, du subjonctif. — Temps simples, temps composés. — La concordance des temps.
     22. n-m. Disposition de l'air ; état de l'atmosphère ; climat du moment.
tout le temps
     1. v. (Familier) Sans cesse, toujours.
           Katy le fixa d'un air effaré.
clairvoyant
     1. adj. Qui voit clair.
     2. adj. Qui est intelligent, éclairé et pénétrant dans les affaires.
     3. n. (Rare) Celui, celle qui voit clair, qui n'est pas aveugle.
           Les aveugles et les clairvoyants.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire