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Analyseur de phrases françaises

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oui
     1. v. Mot utilisé pour apporter une réponse affirmative ou marquer l'accord sur une proposition. Il s'emploie aussi au début d'une phrase qui ne répond pas à une question exprimée ou au cours d'une phrase, pour marquer ou accentuer le caractère affirmatif
           Avez-vous fait cela ? — Oui.
           Cela est-il vrai ? — Oui, certes.
           On l'obligera de répondre par oui ou par non.
           Je crois que oui.
           Dire oui.
           Répondre que oui.
           Il ne dit ni oui ni non.
           Mais oui, on peut y arriver !
           Oui, oui, je le ferai.
           Je suis content, oui, très content d'avoir fait cela pour lui.
     2. v. Comme marqueur de question-tag pour signifier l'agacement ou l'impatience.
           Vous allez baisser votre musique, oui ?
     3. v. Pour indiquer que l'on écoute ou que l'on comprend ce qui est dit, sans forcément l'approuver.
           Je suis arrivée vers dix heures. — Oui. — J'ai attendu, mais personne n'est venu, alors je suis partie. — Oui.
           Ah oui ! Voilà pourquoi vous vouliez nous faire taire.
     4. v. Question courte signifiant "Que désirez-vous ?" .
           Allô, oui ?
           Alain... — Oui ?
     5. v. (Afrique) C'est vrai. C'est ça. (note) Marque l'accord sur ce qui a été dit, est employé à la place de non.
           Tu n'y vas donc pas aujourd'hui ? — Oui, je suis occupé.
           — Vous avez un enfant ?
     6. n-m. Réponse de oui. Vote pour. (usage) L'article défini ne s'élide pas devant ce mot.
           Le oui et le non.
           Il a dit ce oui-là de bon cœur.
           Il ne faut pas tant de discours, on ne vous demande qu'un oui ou un non. Dites un bon oui.
c'est
     1. v. Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
           Le temps, c'est de l'argent.
     2. v. (C'est … ; c'est … qui … ; c'est … que …) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
     3. v. (C'est … qui …) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
           — Qu'est-ce qui se passe ?
     ce
          1. adj. Déterminant utilisé pour mettre en évidence une chose ou une personne dont on a la représentation devant soi. Lorsque l'objet est en nombre multiple ou lorsqu'on veut appuyer encore plus sur ce qu'on veut montrer, on rajoute -ci ou -là (selon la dis
                Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n'y a qu'un seul chien)
                Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
                Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l'autre chien, le plus éloigné)
                Je vais prendre ce chemin.
                Je me suis adressé à cet homme.
                Cette femme est mère de trois enfants.
                Ces livres sont intéressants.
                Il est impossible de sortir par ce temps-là.
          2. adj. Lorsqu'on veut mettre en évidence un objet ou une personne en rapport avec un(e) autre, on utilise les adverbes -ci et -là après chaque nom (bien que l'usage tende à utiliser les pronoms celui-là, celle-là, ceux-là ou celles-là cela pour éviter la r
                Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
                Plutôt que d'acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
          3. adj. Dans les expressions où ce est utilisé avec un nom indiquant une période, le -ci représente le présent, alors que le -là représente le passé (la distance devient temporelle).
                Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
                Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
                Qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
                Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
                — Je suis passé vers dix heures hier soir.
          4. adj. On l'utilise également pour reprendre l'objet ou la personne décrit dans la phrase précédente.
                La semaine dernière, j'ai lu L'Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
                Je cherche depuis tout à l'heure un marteau. J'ai vraiment besoin de cet outil.
          5. n. Utilisé en tant que pronom démonstratif neutre et impersonnel, notamment avec des verbes comme être, devoir ou pouvoir, référant à la situation actuelle, à la phrase précédente ou à n'importe quelle chose qui n'est pas encore exprimée.
                Ce serait le comble qu'il ne vienne pas !
                C'est mon anniversaire aujourd'hui.
                Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
                Ça sonne ! Ce doit être lui !
                Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
                Sur ce, au revoir !
                Ç'avait été plus intéressant qu'on ne l'avait imaginé.
          6. n. Dans les locutions conjonctives ce que, ce qui, ce dont, ce sur quoi, il sert à représenter une idée ou une action dont il a été question plus tôt.
                Les hirondelles s'envolent, ce qui montre que l'hiver n'est pas loin.
                Ce que je voulais dire, c'est que tu dois t'en occuper au plus vite.
                C'est exactement ce dont j'avais besoin.
                Le temps, c'est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
          7. n. Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
                Le temps, c'est de l'argent.
          8. n. (C'est … ; c'est … qui … ; c'est … que …) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
          9. n. (C'est … qui …) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
                — Qu'est-ce qui se passe ?
          10. n-f. (Vieilli) Abréviation de case.
     est
          1. n-m. (Points cardinaux) Point cardinal, à droite quand on regarde l'horizon vers le nord. Direction d'où le soleil se lève.
          2. n-m. Partie du monde ou d'un pays qui est du côté de l'Est.
                Le vent est à l'est.
                Il s'éleva un vent d'est.
                La frontière de l'est.
          3. adj. Dans la direction de l'est.
                La côte est.
                Degrés de longitude est. : Ceux qui vont du méridien de Greenwich vers l'est.
          4. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de être.
     être
          1. v. Définir un état, une caractéristique du sujet. (note) En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu'il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, ex
                Je suis petit et barbu.
                Est-il malade ?
                Cet homme est président de ce pays depuis quatre ans.
                L'eau nous est indispensable.
                — D'où est-il ?
          2. v. Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
                Nous sommes en ville.
          3. v. (Absolument) Exister.
                Être, ou ne pas être, c'est là la question.
                Il n'est plus, il est mort.
          4. v. (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
                Il est des hommes que la résistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage.
                Il est, près de ces lieux, une retraite ignorée.
          5. v. (Impersonnel) Le moment de la journée. (note) Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C'est quelle heure ?
                — Quelle heure est-il ?
                Il est l'heure de partir.
                Il est tard.
          6. v. Le jour de la semaine ou la date du moment.
                — Quel jour sommes-nous ?
                Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
          7. v. (Familier) Aller, se rendre. (note) Avec l'auxiliaire avoir.
                Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
          8. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d'état et tous les verbes réflexifs.
                Il est passé.
                Il est tombé.
                Il s'est trompé.
          9. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
                Quand il sera aimé.
          10. v. (Construit avec sur ou dessus) S'occuper d'une affaire particulière, s'en occuper.
          11. n-m. Existence, c'est-à-dire le fait d'exister, au sens abstrait.
          12. n-m. Organisme, créature vivante.
          13. n-m. Personnalité ; âme.
          14. n-m. (Plus rare) Ce qui constitue une chose.
vrai
     1. adj. Qui est conforme à la vérité, à ce qui est réellement.
           Cette proposition est vraie, sera toujours vraie.
           Dites des choses vraies, si vous voulez qu'on vous croie.
           Cette nouvelle n'est pas vraie.
           S'il est vrai que vous ayez fait telle chose.
           Il n'est pas vrai qu'on l'ait maltraité.
           Il n'en reste pas moins vrai que…
     2. adj. Qui est réellement ce qu'on le dit être ou qu'il doit être, qui a toutes les qualités essentielles à sa nature. — (note) En ce sens, il se met le plus souvent avant le nom.
           Le vrai Dieu. — La vraie religion.
           Du vrai marbre. — Un vrai diamant.
           Un vrai talent. — Le vrai bonheur.
     3. adj. (Familier) (Exagération) Qui a les qualités de.
           Cet homme est un vrai cheval, un vrai lion, etc.
     4. adj. (Familier) (Exagération) Qui a l'apparence de.
           C'est un vrai supplice, un vrai martyre, etc.
     5. adj. (Figuré) Qui est unique, essentiel, principal.
           La vraie cause, le vrai motif de son action est le désir de vous être utile.
     6. adj. Qui convient.
           Voilà la vraie place de ce tableau.
           Voilà des rubans de la vraie couleur qu'il fallait à sa robe.
           C'est la vraie manière de s'y prendre.
     7. adj. (Littérature) (Arts) Qui exprime, qui rend avec vérité la nature, les pensées, les objets.
           Un style vrai. — Des caractères vrais.
           Un coloris vrai. — Des tons vrais.
     8. adj. (Astronomie) Qui est conforme à la marche réelle du soleil.
           Midi vrai. — Jour vrai.
     9. adj. Qui parle, qui agit sans déguisement, en parlant des personnes.
           Une personne vraie. — Cet homme est vrai.
     10. adj. (Mathématiques) Qui indique un résultat affirmatif ou positif, en parlant d'un état dans une logique booléenne.
     11. n. Vérité ; ce qui est conforme à la vérité.
     12. n. (Logique) Une des deux valeurs de vérité de l'algèbre de Boole, signifiant un état vrai, soit 1.
     13. v-m. D'une manière conforme à la vérité.
           Dire vrai.
     14. v-m. (Par ellipse) (familier) Vraiment. (note) En ce sens, il prend souvent la forme interrogative.
           Vous avez dit cela, vrai ?
           Cela est conclu, vrai ?
je
     1. n. Pronom de la première personne du singulier. Peut aussi bien être masculin que féminin. Utilisé exclusivement en tant que sujet. Devant une voyelle ou un h muet, il s'élide en j'.
           Je suis en France.
           Je m'appelle « Isabelle ».
           J'habite à Paris.
           J'organise un voyage.
           (informel) Hé ! J'te cause !
           (informel) J'prendrais bien un p'tit verre, et toi ?
     2. n. (Psychologie) (souvent entre guillemets) Entité perçue par le sujet comme le cœur et l'essence même de son existence en tant qu'individu.
dénie
     1. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de dénier.
     2. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de dénier.
     3. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de dénier.
     4. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dénier.
     5. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de dénier.
     dénier
          1. v. Ne pas vouloir reconnaître un fait comme vrai. Il est principalement usité en termes de jurisprudence.
                Dénier un fait.
                Dénier un crime.
                Dénier une dette.
                Dénier un dépôt.
                Au premier interrogatoire, il avait fait plusieurs aveux, plus tard il a tout dénié.
          2. v. Ne pas vouloir accorder quelque chose que la bienséance, l'honnêteté, l'équité, la justice exige qu'on accorde.
                Ne me déniez pas votre secours.
                Le père ne peut dénier les aliments à son fils.
                On ne doit pas lui dénier cet honneur.
                On lui a dénié toute justice.
un
     1. adj. Marque l'unité, le fait qu'une personne ou une chose est seule, unique en son espèce.
           Quatre femmes et un homme.
           Un mètre.
           Une tonne.
           Un entre mille.
           N'être qu'un, ne faire qu'un : Se dit pour exprimer une étroite, une intime union entre deux ou même plusieurs personnes.
           Il est une heure.
     2. adj. S'emploie familièrement pour indiquer un très petit nombre indéterminé.
           J'ai un mot à vous dire.
           J'en ai pour une minute.
     3. adj. Ordinal pour premier.
           Chapitre un.
           Page une.
     4. adj. Qui est seul, unique, qui n'admet point de pluralité.
           Dieu est un.
           Le moi est un.
           La vérité est toujours une, elle n'est jamais contraire à elle-même.
           (familier) C'est tout un, Il n'importe, c'est la même chose, cela est égal : qu'il vienne ou qu'il ne vienne pas, c'est tout un.
     5. adj. Où règne l'unité, dont les parties sont liées entre elles de manière à former un tout.
           L'église est une.
           Il faut que dans une pièce l'action soit une.
     6. art. Déterminant placé devant un nom représentant un objet animé ou inanimé que l'on ne connaît pas avec précision. L'article indéfini a souvent le sens de « un (1) parmi d'autres ».
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
           Il y a un chien devant la maison.
           Je cherche un livre sur tel sujet.
           C'est un César, un Cicéron, etc. : c'est un homme aussi intrépide que César, aussi éloquent que Cicéron, etc.
     7. art. Tout.
           Un chrétien doit faire cela.
           Un honnête homme n'a qu'une parole.
     8. n. Une personne ou une chose parmi plusieurs autres.
           Un de mes amis.
     9. n-m. Le nombre 1.
           Un précède deux et suit zéro.
           Le un de telle rue, La maison qui porte le numéro 1.
     10. n-m. Chiffre utilisé dans la numérotation décimale écrit 1.
           Le nombre 11 est écrit avec deux uns.
     11. n. Une chose portant le numéro 1.
           Il habite au un.
peu
     1. v. Presque pas ; pas beaucoup.
           J'ai peu mangé.
           J'aime peu les proverbes.
     2. v. Presque pas ; pas très.
           Ce film est peu intéressant.
     3. v. (Avec de) Presque aucun. Pas beaucoup.
           Peu de gens le savent.
           Il arrivera dans peu de jours.
     4. v. (Par ellipse) Peu de choses.
     5. n. Peu de gens.
           Beaucoup sont appelés mais peu sont élus.
     6. n. Peu de chose.
           Se contenter de peu.
           Vivre de peu.
           Peu lui suffit.
     7. n-m. Petite quantité.
           Le peu que j'ai fait pour vous ne mérite pas tant de remerciements, Le peu qui me reste à vivre.
           Le peu de cas qu'on en fait. Son peu de mérite. Il vit du peu qu'il a.
           Excusez mon peu de mémoire. J'attribue cela au peu de soin que vous avez eu.
un peu
     1. v. En petite quantité. On utilise quelques-uns pour les dénombrables.
           Attendez un peu.
           Je l'ai un peu étudié.
           J'arriverai un peu après vous.
           Connaissez-vous cet homme ? — Un peu.
           J'en ai bu un peu.
     2. v. (Avec de) Une petite quantité. On utilise quelques pour les dénombrables.
           Donnez-moi un peu de pain. — Ayez un peu d'espoir.
     3. v. (Belgique) Un court moment, de manière rapide.
           Tu saurais un peu jeter un œil sur mon dossier ?
     4. v. (Familier) Ajouté à un impératif pour le rendre plus supportable.
           Dites-moi un peu.
           Venez ici un peu, que je vous parle.
           Voyons un peu comment vous vous y prendrez.
           Un peu bien, un peu beaucoup, Beaucoup, beaucoup trop.
           Vous avez dit cela un peu bien vite.
           Il se moque un peu beaucoup de nous.
           Un peu se dit très familièrement, en manière d'affirmation.
           Vous avez fait cela ? — Un peu.
à
     1. prep. Introduit un complément circonstanciel de lieu.
           avec déplacement vers l'endroit cité
           Je vais à la plage.
           Arriver à bord.
           Il vient à nous.
           Tournez à droite, puis à gauche.
           J'irai jusqu'à tel endroit.
           La route de Paris à Versailles.
           sans déplacement
           Mettre pied à terre.
           Conseiller à la Cour de cassation.
           Avocat à la Cour d'appel de Paris.
           Travailler à la mairie.
     2. prep. Introduit un complément circonstanciel indiquant la provenance.
           Puiser de l'eau à une fontaine.
           Prendre à un tas.
           La poésie grecque commence à Homère.
     3. prep. Introduit un complément circonstanciel de temps.
           Les cloches sonnent à midi.
           À ma mort, il héritera de cette maison.
           À la troisième sommation, ils se retirèrent.
           Louer à l'année.
           À bientôt.
     4. prep. Introduit un complément circonstanciel de manière.
           Ils sont partis à l'anglaise.
           Aller à la débandade.
           À la hâte.
           À l'improviste.
           À merveille.
           À la légère.
           À la diable.
     5. prep. Introduit un complément circonstanciel de moyen, et peut se remplacer par « au moyen de ».
           Pêcher à la ligne.
           Jouer à la paume.
           Se battre à l'épée, au pistolet.
           Mesurer à l'aune, au mètre.
           Dessiner à la plume.
           Tracer au crayon, au compas.
           Travailler à l'aiguille. On dit de même par ellipse Des bas à l'aiguille, au métier, etc.
     6. prep. Introduit un complément circonstanciel d'agent. Dans ce cas, à équivaut à par ou de.
     7. prep. Introduit un complément d'attribution.
           Ce livre est à moi.
           Cette ferme appartient à mon père.
           Rendez à César ce qui est à César.
           Il a un style, une manière bien à lui.
           Donner une bague à quelqu'un.
           J'ai prêté ce livre à mon frère.
           Enseigner la géographie à un enfant.
     8. prep. Introduit un complément d'objet indirect.
           Écrire à son ami.
           Obéir à la loi.
           Il demande à sortir.
     9. prep. Suivi d'un nombre, indique une action faite conjointement par plusieurs personnes.
           Louer une maison à trois.
           Être à deux de jeu.
     10. prep. Introduit un complément du nom
           indiquant la destination ou l'usage.
           Moulin à farine.
           Pot à eau.
           Maison à vendre.
           Chambre à coucher.
           Vache à lait.
           Prendre quelqu'un à témoin.
           indiquant l'accompagnement, et peut se remplacer par « avec ».
           Table à tiroir.
           Canne à épée.
           Voiture à deux roues.
           Clou à crochet.
           indiquant la possession
           devant un pronom.
           C'est un ami à moi.
           familièrement, devant un nom. En langage plus soutenu, on utilise la préposition de.
           Ça, c'est la maison à mon père.
           Tu vois qui c'est, la sœur à Marion ?
           La femme au cordonnier, elle m'a acheté dix litres de lait aujourd'hui.
     11. prep. Introduit une locution adverbiale
           comme synonyme de selon, suivant.
           À mon gré.
           À sa fantaisie.
           À sa manière.
           À mon choix.
           À votre avis.
           À ma gauche.
           À leur jugement.
           Chapeau à la mode.
           Habit à ma taille.
           Parler à son tour.
           Marcher à son rang.
           À la rigueur, on pourrait admettre cette opinion.
           À votre compte, je serais votre débiteur.
           À ce que je crois, vous voulez partir.
           Boire à sa soif.
           Manger à sa faim.
           Dieu fit l'homme à son image.
           Il voulut, à l'exemple de son père… à la vérité, à plus forte raison, etc.
           pour indiquer un prix.
           Dîner à trente francs par tête.
           Emprunter à gros intérêts.
           Placer ses fonds à cinq pour cent.
           Les places sont à dix francs.
Ce
     1. adj. (Rare) Centième.
     2. adj. Déterminant utilisé pour mettre en évidence une chose ou une personne dont on a la représentation devant soi. Lorsque l'objet est en nombre multiple ou lorsqu'on veut appuyer encore plus sur ce qu'on veut montrer, on rajoute -ci ou -là (selon la dis
           Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n'y a qu'un seul chien)
           Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
           Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l'autre chien, le plus éloigné)
           Je vais prendre ce chemin.
           Je me suis adressé à cet homme.
           Cette femme est mère de trois enfants.
           Ces livres sont intéressants.
           Il est impossible de sortir par ce temps-là.
     3. adj. Lorsqu'on veut mettre en évidence un objet ou une personne en rapport avec un(e) autre, on utilise les adverbes -ci et -là après chaque nom (bien que l'usage tende à utiliser les pronoms celui-là, celle-là, ceux-là ou celles-là cela pour éviter la r
           Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
           Plutôt que d'acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
     4. adj. Dans les expressions où ce est utilisé avec un nom indiquant une période, le -ci représente le présent, alors que le -là représente le passé (la distance devient temporelle).
           Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
           Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
           Qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
           Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
           — Je suis passé vers dix heures hier soir.
     5. adj. On l'utilise également pour reprendre l'objet ou la personne décrit dans la phrase précédente.
           La semaine dernière, j'ai lu L'Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
           Je cherche depuis tout à l'heure un marteau. J'ai vraiment besoin de cet outil.
     6. n. Utilisé en tant que pronom démonstratif neutre et impersonnel, notamment avec des verbes comme être, devoir ou pouvoir, référant à la situation actuelle, à la phrase précédente ou à n'importe quelle chose qui n'est pas encore exprimée.
           Ce serait le comble qu'il ne vienne pas !
           C'est mon anniversaire aujourd'hui.
           Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
           Ça sonne ! Ce doit être lui !
           Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
           Sur ce, au revoir !
           Ç'avait été plus intéressant qu'on ne l'avait imaginé.
     7. n. Dans les locutions conjonctives ce que, ce qui, ce dont, ce sur quoi, il sert à représenter une idée ou une action dont il a été question plus tôt.
           Les hirondelles s'envolent, ce qui montre que l'hiver n'est pas loin.
           Ce que je voulais dire, c'est que tu dois t'en occuper au plus vite.
           C'est exactement ce dont j'avais besoin.
           Le temps, c'est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
     8. n. Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
           Le temps, c'est de l'argent.
     9. n. (C'est … ; c'est … qui … ; c'est … que …) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
     10. n. (C'est … qui …) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
           — Qu'est-ce qui se passe ?
     11. n-f. (Vieilli) Abréviation de case.
statut
     1. n-m. (Droit) Ensemble de lois, de règlements, coutumes, spécialement applicables, soit à des personnes, ou des groupes de personnes, soit à des biens.
     2. n-m. État fixé par une loi, un règlement, etc.
           Obtenir le statut de réfugié. — Statut d'administrateur.
     3. n-m. (Par extension) Situation d'une personne dans un groupe.
     4. n-m. (Droit) (Au pluriel) Règlement écrit établissant les caractéristiques et le fonctionnement d'une personne morale de droit privé.
     5. n-m. Message émis sur un réseau social par Internet, et spécialement sur Facebook.
Des
     1. n-f. Pluriel de D(e).
     2. art. Article indéfini du pluriel. C'est ainsi le pluriel de un ou une.
           J'ai mangé des pommes.
     3. art. Contraction de l'article défini du pluriel les avec la préposition de. (note) C'est ainsi le pluriel de du ou de la.
     4. art. (Mot + des + mot répété au pluriel) Le plus, le plus typique.
     5. n-f. Pluriel de dame.
     de
          1. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
                Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
          2. prep. Particule dans les noms de famille.
                Charles de Gaulle.
          3. prep. Indique la possession.
                La voiture de Sylvie.
          4. prep. Indique une association à la matière.
                Le pot de fer.
                Deux litres de bière.
                Le renard des sables.
          5. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
                Un groupe de 5.
                La température était de 30 °C.
          6. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
                Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
                Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
          7. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
                D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
                Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
                Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
                Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
                Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
                Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
                L'huile qu'on extrait des olives.
                Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
                Je l'ai reçu de ses mains.
                Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
                Parler, écouter, de loin, de près.
          8. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
                Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
          9. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
                Paris est à trente lieues d'Orléans.
                Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
                Il se vit à deux doigts de sa perte.
                Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
                D'aujourd'hui en huit.
                Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
          10. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
                Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
          11. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
                Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
                Différer du tout au tout.
                Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
                De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
          12. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
                Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
                Il perdit une partie de sa fortune
                (Par analogie)
                Il perdit la totalité de sa fortune.
                Une portion, une partie du territoire.
                Le reste du temps.
                Donnez-lui un morceau de ce pain.
                Cela n'a rien diminué de sa gloire.
                Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
          13. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
                Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
                De l'eau bonne à boire.
                Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
                Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
                Prendre des oiseaux au piège.
                Donner de l'argent.
          14. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
                Je n'ai de volonté que la tienne.
                Je ne connais pas d'homme plus importun.
                Parler sans faire de fautes.
                Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
                N'avez-vous pas d'enfants ?
                (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
                N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
                Il ne peut parler sans faire des fautes.
          15. prep. Servir à marquer la conformité.
                Je suis de votre avis.
                Cela n'est pas de mon goût.
                Les cérémonies d'usage.
                Cela n'est plus de mode.
                Cela n'est pas de jeu.
          16. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
                Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
                Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
                Le nom, la condition, la profession d'une personne.
                Les actions de quelqu'un.
                Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
                La beauté d'une femme.
                Le sujet d'un discours.
                Le sens d'un mot.
                La largeur d'un fleuve.
                (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
                Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
                Bien de famille.
                La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
                Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
                Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
                Voix de femme. – Tableau de genre.
          17. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
                Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
          18. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
                Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
          19. prep. Rapport au temps, à l'époque.
                Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
                Les mœurs du temps. – Les hommes d'à présent, d'aujourd'hui.
     les
          1. art. Pluriel de le ou la.
          2. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
                Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
     de l'
          1. art. Signifie une quantité indéfinie. Du ou de la. Utilisé devant une voyelle.
          2. art. Préposition de et de l'article défini devant une voyelle. Du ou de la.
intermittents
     1. adj. Masculin pluriel de intermittent.
     2. n-m. Pluriel de intermittent.
     intermittent
          1. adj. (Didactique) Qui est discontinu et reprend par intervalles.
                Qualifie une source qui coule de temps en temps.
                (médecine) Qualifie un pouls dont les battements cessent par des intervalles inégaux.
                (médecine) Qualifie une fièvre qui cesse et qui reprend à des intervalles réglés.
                (médecine) Qualifie l'ordre suivant lequel les symptômes d'une maladie se montrent et disparaissent alternativement.
                Folie intermittente. — Colères intermittentes.
          2. n-m. Personne qui ne travaille pas de façon continue.
          3. n-m. (En particulier) Artiste qui travaille de façon discontinue.
la
     1. art. Féminin singulier de le. Détermine un groupe nominal féminin singulier.
           La navette Atlantis fut remisée en 2010.
           La Franche-Comté.
     2. n-f. Féminin singulier de le. Représente un groupe nominal féminin singulier complément d'objet direct (pour le pronom féminin complément d'objet indirect, voir lui).
           Je la reconnais et non pas Je reconnais <s>elle</s>.
     3. n-m. (Musique) Sixième note de la gamme. Le la de référence a une fréquence de 440 hertz.
           Donner le la.
     4. n-m. Première lettre de l'alphabet santâlî : &#x1c5a;.
capacité
     1. n-f. Pouvoir de réaliser ou de produire quelque chose, en parlant de personnes ou de choses, aptitude, faculté, force, habilité.
           Cette personne a la capacité de réussir.
           Qualité d'être en état de faire quelque chose, compétence, force, talent.
           La sérendipité, capacité, aptitude à faire par hasard une découverte inattendue et à en saisir l'utilité.
     2. n-f. Quantité d'un contenant, volume, contenance.
           Cette bouteille a une capacité de 1,5 litres.
     3. n-f. Production maximale.
           Les Salins du midi exploitent: …
     4. n-f. (Droit) Pouvoirs reconnus par la loi à une catégorie d'individus de s'engager.
           Les capacités des femmes mariées ont été largement accrues récemment
     5. n-f. (Physique) (Élec) Capacité électrique.
           Ce condensateur a une capacité de 500 microfarads.
           (électronique) Le condensateur lui-même.
     6. n-f. (Formation) Diplôme, attestation, certificat.
           Il a obtenu sa capacité d'ambulancier, avant de préparer sa capacité de médecine d'urgence
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
pouvoir
     1. v. Être capable de ; avoir la faculté de ; être en état de.
           Je ne peux plus me concentrer avec tout ce bruit. — Je n'en peux plus, je suis épuisée.
     2. v. Avoir la possibilité matérielle de faire quelque chose.
           Je peux venir par le train de 8 h 17 ou celui de 9 h 43.
           Nous n'y pouvons rien. (nous n'avons pas la capacité d'influer sur le cours des choses)
     3. v. Avoir la permission de faire quelque chose.
           Tu peux fumer si tu le souhaites.
     4. v. Exprime une possibilité, un choix, qui s'offre à une personne.
           Je peux appeler un médecin si tu ne te sens pas bien.
           Dans cette affaire, nous pouvons tout nier en bloc, ou décider de faire amende honorable.
     5. v. Exprime une éventualité, une probabilité, ou une hypothèse. On peut dire aussi : « Il se peut que … » (+ subjonctif).
           Ne comptez pas sur lui, il peut partir du jour au lendemain.
           À cette époque, il peut pleuvoir plusieurs fois par jours.
           Si vous ne faites pas attention, vous pouvez vous faire très mal.
           Ne t'impatiente pas ! Elle a pu être prise dans les embouteillages.
     6. v. Dans une forme interrogative, fait appel à la bonne volonté de l'interlocuteur.
           - Peux-tu m'ouvrir ce bocal s'il te plait ? - Oui, je veux bien essayer.
     7. v. (Proverbial) définit un souhait, un désir.
           Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait ! Si la jeunesse avait de l'expérience et que la vieillesse eût de la force !
     8. v. (tr-indir) S'emploie au subjonctif présent par une manière de vœu, de souhait.
           Puissé-je ne pas en arriver là !
           Puisse le ciel vous donner de longs jours !
           Puissiez-vous réussir dans vos projets !
           Puissent vos projets réussir !
           Puisse-t-il arriver bientôt !
     9. v. (Intransitif) Se dit encore pour marquer la possibilité de quelque événement, de quelque dessein.
           Un accident pourrait arriver.
           Cela se peut faire.
           Cela pourrait bien être.
           Cela se peut.
           Cela ne se peut pas.
           Il pourrait bien en mourir.
     10. v. Il s'emploie impersonnellement soit seul, soit avec le pronom se, dans cette acception.
           Il se peut que votre projet réussisse.
           Il pourra venir un temps meilleur.
           Il pourra, il pourrait arriver que… Il se pourrait que…
           Peut-être.
           Voyez cette expression à son rang alphabétique.
     11. v. (tr-indir) S'emploie aussi transitivement et signifie Avoir l'autorité, le crédit, le moyen, la faculté, etc., de faire.
           Vous pouvez tout sur lui, sur son esprit.
           Si je puis quelque chose pour votre service, je m'y emploierai avec joie.
           C'est un homme qui peut beaucoup dans l'affaire dont il s'agit.
           Je ne puis rien en cela.
           Il peut tout ce qu'il veut.
           Je ne puis pas y aller.
     12. v. On ne peut plus, on ne peut mieux, Il n'est pas possible de faire ou d'être plus, de faire ou d'être mieux.
           Il est on ne peut plus aimable.
           Il s'y conduisit on ne peut mieux.
           N'en pouvoir plus, N'en plus pouvoir, être dans un accablement causé soit par la vieillesse, soit par la maladie, soit par la fatigue, le travail, la faim, la soif, ou encore par la souffrance morale, l'inquiétude, le chagrin.
           Je n'en puis plus.
           Il est fatigué à n'en pouvoir plus.
           Il est accablé de travail, il n'en peut plus.
           Je n'en puis plus de soif, de lassitude.
           Quand il est arrivé chez lui, il n'en pouvait plus.
           J'ai trop souffert, je n'en puis plus.
           Après tout ce qu'il a enduré, il n'en peut plus.
           Ce cheval n'en peut plus.
     13. n-m. Capacité à produire un effet.
     14. n-m. Capacité à commander, à contraindre, à imposer sa volonté.
           Dans une société primitive, celui que nous prendrions pour un chef est un porte-parole : il n'a pas de pouvoir.
     15. n-m. Capacité légale (de faire une chose) ; (par extension) mandat.
     16. n-m. (Politique) Puissance publique, autorité, droit de commander.
     17. n-m. (Par métonymie) Les personnes mêmes qui sont investies du pouvoir, de l'autorité politique.
déboucher
     1. v. Débarrasser de ce qui bouche, de ce qui obstrue.
           Déboucher les chemins, les passages. Déboucher une porte. Déboucher le tuyau d'une pipe Déboucher une pipe.
     2. v. (Par analogie) Débarrasser de son bouchon.
     3. v. Sortir d'un endroit resserré pour passer dans un lieu plus ouvert.
     4. v. (Par analogie) Aboutir.
     5. v. Pour un fleuve, une rivière, un canal, voire une route; sortir par l'endroit où ils ont leur embouchure.
           Ce canal débouche dans une rivière. On dit de même Une rue, un boulevard débouche sur une place.
correctement
     1. v. D'une manière correcte ; sans faute.
Sur
     1. n. (Géographie) Commune du canton des Grisons en Suisse.
     2. prep. Indique une position plus élevée.
           Le chat est sur le lit.
     3. prep. Indique une supériorité.
           La France l'a emporté sur le Brésil.
     4. prep. Indique une direction.
     5. prep. Indique une position temporelle, un instant donné.
           Je suis sur le point de partir.
     6. prep. Indique l'origine, la base ou ce qui sert de garantie morale.
           Je me suis basé sur vos dires.
           Il jure sur son honneur.
     7. prep. Indique un rapport de dimension.
           Un carré de cinq mètres sur cinq.
     8. prep. Indique un rapport de proportion.
           Deux cents personnes sur mille s'y sont déclarées favorables.
           Une note de cinq sur dix.
     9. prep. Indique un rapport de répétition.
     10. prep. (Math) Indique une fraction.
           a/b se lit a divisé par b ou simplement a sur b.
     11. prep. Exprime une idée de contact.
           Il avait le nez sur la fenêtre.
           Les frites sont collées les unes sur les autres.
     12. prep. (Familier) (France) Indique une proximité géographique. NB : L'Académie française juge cet emploi inapproprié, mais en supposant que le mot est employé dans le sens de à.
           J'habite sur Paris.
           Ce site gratuit propose des petites annonces immobilières sur Lyon.
     13. prep. (Vieilli) Indique une approximation de temps ; vers.
     14. prep. Indique une idée de connaissance.
           As-tu appris quelque chose sur lui ?
     15. adj-m. Qui a un goût acide et aigrelet.
           Fruit sur.
           Lait sur.
           Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures
           L'oseille est très sure.
           Combinez le sucre, le sel, la crème sure, l'oignon vert et le vinaigre.
     16. adj-m. (Chimie) Qualifie les eaux servant à amollir les cuirs, ou bien l'eau résiduelle issue de l'extraction de sels, de cristaux ou d'amidon.
           Vous pouvez jeter l'eau sure, nous n'utiliserons que les cristaux.
Une
     1. n-f. Autre graphie de une.
     2. n-f. Chose portant le numéro 1.
           Je vous ai réservé la une, votre place préférée.
     3. n-f. Première page d'un journal contenant les grands titres.
     4. adj. Féminin de un.
           Je voudrais une sucrette, s'il vous plaît.
     5. adj. Féminin de un.
           La République française est une et indivisible.
     6. art. Féminin de un.
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
     7. n. Féminin de un.
           Une des mes amies.
autre
     1. adj. Du même type mais dont l'identité est différente de ce dont on vient de parler.
     2. adj. Supérieur en mérite, plus important, de plus grande conséquence.
           L'homme que vous me citez est habile, mais celui dont je vous parle est un bien autre homme.
           Ce vin de Mâcon est bon, mais celui dont je vous parle est bien d'autre vin, est un tout autre vin.
           Vous loger, passe ; mais vous nourrir, c'est une autre affaire.
     3. adj. (Figuré) Second, pour exprimer la ressemblance, l'égalité, la conformité qu'il y a entre deux personnes ou entre deux choses.
           C'est un autre Alexandre, un autre César.
           Il le regarde comme un autre lui-même.
           Cette ville est un autre Paris.
     4. n. Personne différente de la personne qui parle, autrui.
     5. n. S'emploie également par opposition à un ou une pour distinguer deux êtres ou deux choses ou bien encore deux groupes d'êtres ou de choses déterminés ou indéterminés.
     6. n. (Moderne) (Sociologie) (politique) (philosophie) Toute personne appartenant à une culture différente. — (note) Il est alors toujours au masculin singulier, avec article défini, et parfois la majuscule et/ou les guillemets : l'autre, l'Autre, l'« aut
réflexion
     1. n-f. (Physique) Phénomène par lequel les rayons lumineux, caloriques, les ondes sonores, lorsqu'ils rencontrent une surface, sont renvoyés dans une autre direction.
           La réflexion des rayons lumineux. La réflexion du son.
     2. n-f. (Figuré) Action de l'esprit qui réfléchit, méditation sérieuse, considération attentive sur quelque chose.
     3. n-f. Pensée qui résulte de cette action de l'esprit.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
Sur
     1. n. (Géographie) Commune du canton des Grisons en Suisse.
     2. prep. Indique une position plus élevée.
           Le chat est sur le lit.
     3. prep. Indique une supériorité.
           La France l'a emporté sur le Brésil.
     4. prep. Indique une direction.
     5. prep. Indique une position temporelle, un instant donné.
           Je suis sur le point de partir.
     6. prep. Indique l'origine, la base ou ce qui sert de garantie morale.
           Je me suis basé sur vos dires.
           Il jure sur son honneur.
     7. prep. Indique un rapport de dimension.
           Un carré de cinq mètres sur cinq.
     8. prep. Indique un rapport de proportion.
           Deux cents personnes sur mille s'y sont déclarées favorables.
           Une note de cinq sur dix.
     9. prep. Indique un rapport de répétition.
     10. prep. (Math) Indique une fraction.
           a/b se lit a divisé par b ou simplement a sur b.
     11. prep. Exprime une idée de contact.
           Il avait le nez sur la fenêtre.
           Les frites sont collées les unes sur les autres.
     12. prep. (Familier) (France) Indique une proximité géographique. NB : L'Académie française juge cet emploi inapproprié, mais en supposant que le mot est employé dans le sens de à.
           J'habite sur Paris.
           Ce site gratuit propose des petites annonces immobilières sur Lyon.
     13. prep. (Vieilli) Indique une approximation de temps ; vers.
     14. prep. Indique une idée de connaissance.
           As-tu appris quelque chose sur lui ?
     15. adj-m. Qui a un goût acide et aigrelet.
           Fruit sur.
           Lait sur.
           Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures
           L'oseille est très sure.
           Combinez le sucre, le sel, la crème sure, l'oignon vert et le vinaigre.
     16. adj-m. (Chimie) Qualifie les eaux servant à amollir les cuirs, ou bien l'eau résiduelle issue de l'extraction de sels, de cristaux ou d'amidon.
           Vous pouvez jeter l'eau sure, nous n'utiliserons que les cristaux.
Lui
     1. n. Nom de famille français.
     2. n. Nom de famille chinois minnan.
     3. n. Nom de famille chinois.
     4. n-f. (Cours d'eau;d'Angola) Rivière d'Angola, affluent du Kwango dans le bassin du fleuve Congo.
     5. n. Pronom clitique de la troisième personne du singulier épicène du complément d'objet indirect.
     6. n. Pronom tonique de la troisième personne du singulier masculin.
     7. n. (Après un sujet masculin singulier) Quant à lui par contre.
     8. v. Participe passé masculin singulier de luire.
Même
     1. n-m. (Philosophie) Concept fondamental de la pensée représentant l'identité qui se manifeste sous des formes différentes mais s'applique au même individu. S'oppose à l'Autre.
     2. adj. Qui n'est pas autre, qui n'est point différent. — (note) Dans ce sens, il est placé devant un nom et s'emploie généralement avec l'article défini ou l'article indéfini.
           Deux plantes de même espèce.
           Deux mêmes personnes.
           Ils ont pris tous deux le même sujet.
           Les mêmes erreurs se répètent souvent
           Une même cause produit les mêmes effets.
     3. adj. Présenté souvent sous la forme : le même que, la même que, il implique une comparaison entre deux idées et marque soit l'identité, soit la ressemblance.
           Ce garçon porte la même veste que son frère
           Rassurez-vous, on vous fera subir le même traitement qu'à lui.
     4. adj. S'emploie sans article et se place immédiatement après un nom ou un pronom pour marquer plus expressément la personne ou la chose dont on parle. Il a alors même sens que lui-même, elle-même, eux-mêmes.
     5. adj. Il se met aussi après les noms qui désignent quelques qualités, pour exprimer qu'elles sont au plus haut degré dans la personne dont on parle.
           Dieu est la sagesse même, la miséricorde même.
           Cette femme est la bonté même.
     6. adj. Placé après le pronom qu'il modifie, il sert à insister sur la personne, sur l'identité, — (note) il est adjectif et s'accorde; — dans ce cas-là, avec un trait d'union , que certains auteurs d'ailleurs suppriment aujourd'hui
           Combattre contre un autre soi-même (Corneille).
     7. v. Avec le sens de : de plus, aussi, sans excepter, encore…
           Tous ceux qui avaient été blessés, même grièvement, guérirent.
           Les plus sages même peuvent se tromper. Il faut obéir aux lois même injustes (B. de St-Pierre).
     8. v. Avec le sens de : encore plus, au contraire, surtout placé en tête d'une proposition.
           Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ;
     9. v. Placé devant un nom qu'il modifie dans le sens de : jusqu'à, y compris, sans excepter…
           Tous, même les femmes et les enfants, furent employés aux travaux de déblaiement. — Puisque même mes fils s'en laissent désarmer (Racine).
     10. v. Employé comme adverbe, mais pouvant également être traité comme adjectif (même sens).
           Un éclat qui les rend respectables aux dieux même (Racine) (on pourrait l'écrire aussi bien : aux dieux mêmes).
     11. n. La même chose, semblable.
           Oh, c'est le même !
           Je veux la même !
     12. n. Le résultat de l'opération où le sens donné est le même.
           Dans tous les cas, cela revient au même.
     13. n. (Populaire) C'est la même chose.
           C'est du pareil au même ! (c'est kif-kif)
     14. n. l'identité de la personne à travers le temps, la permanence de sa façon d'être.
           Il est toujours le même, toujours aussi gentil.
           Cette femme est toujours la même, elle n'a pas changé.
     15. n. la ressemblance, la non-différence.
           Ce sont toujours les mêmes qui font le travail !
           Vous avez là un bon outil : vous pouvez me croire, j'ai le même !
     16. n. Associé avec du même, au même, montre ou indique que les deux personnes ou correspondants citée sont les mêmes que ceux déjà connus ou nommés.
           C'est encore une lettre du même.
           Oui, nous parlons bien du même!
           Pas de chance, nous avons encore eu affaire au même.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire