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ne
     1. art. Négation. Première partie d'un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d'un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archa
           Je ne mange pas.
           Je n'en peux plus.
           Je n'y vois goutte.
     2. art. Devant un verbe à l'infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
           Ne pas se pencher au dehors.
     3. art. Il s'emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
           Il ne sait rien.
           Personne n'est venu.
           Aucun de nous n'y a pensé.
           Il ne dit jamais la vérité.
           Cette mère ne s'occupe guère de ses enfants.
     4. art. Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
           Nul ne s'en doute.
           Il n'a nul souci.
           Ni l'or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
     5. art. L'ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
           Que personne ne bouge.
     6. art. S'emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
           Il n'est pas d'homme qui ne désire être heureux.
           Y a-t-il quelqu'un dont il ne médise ?
     7. art. Il peut aussi s'employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
           Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
           Je n'ose (soutenu) (pour : J'oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n'ose pas)
           Je n'ose vous promettre. (pour : Je n'ose pas vous promettre.)
           Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
           Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
     8. art. Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
           N'importe ! (locution figée pour : Cela n'importe pas !)
           N'aie crainte. (locution figée pour : N'aie aucune crainte.)
           Qu'à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu'à cela !)
           Il ne dit mot. (soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
           N'en avoir cure. (soutenu) (locution verbale figée pour : 'N'en avoir aucune cure.)
           N'en pouvoir mais. (vieilli) (locution verbale figée pour : N'en plus pouvoir.)
           À Dieu ne plaise! (vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
     9. art. Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n'a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
     10. art. (Vieilli) S'emploie encore (de façon aujourd'hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
           Après les verbes qui expriment la crainte.
           Je crains qu'il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu'il ne vienne pas.)
           Je redoute qu'il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu'il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
           Après le verbe empêcher.
           Empêche qu'il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu'il tombe.)
           Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
           Il est plus riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi pauvre qu'on le croit.)
           Il est moins riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi riche qu'on le croit.)
           Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
           C'est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
           Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
           Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
           Vous n'avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
plus
     1. v. Comparatif de beaucoup. On peut l'utiliser avec que.
           Ne m'en dites pas plus. — Vous n'offrez pas assez, donnez quelque chose de plus.
     2. v. (Avec de) Comparatif de beaucoup de. Davantage de. On peut l'utiliser avec que.
           Il y a plus de gens qu'hier.
     3. v. (Avec un adjectif ou un adverbe) Indique le comparatif d'un adjectif ou d'un adverbe. Davantage. On peut l'utiliser avec que.
     4. v. (Avec le) Superlatif de beaucoup, comme un adverbe pour le verbe. Le premier en quantité ou en intensité.
           Les livres que j'ai le plus aimés.
     5. v. (Avec un déterminant défini comme le, mon, etc., et avec un adjectif ou un adverbe) Indique le superlatif d'un adjectif ou d'un adverbe. Le premier en cette qualité, ou au pluriel, du premier à un certain rang. (usage) L'adverbe prend toujours la fo
           Il est l'homme le plus grand du monde.
           Ma plus belle histoire d'amour.
           Les trois pays les plus peuplés du monde sont la Chine, l'Inde et les États-Unis.
           Paris est l'une des plus belles villes du monde.
           Elle court le plus vite de ma classe.
     6. v. Employé avec répétition, ou avec moins pour indiquer une relation proportionnelle.
           Puis, en grosses lettres, cette phrase : « Plus il y aura d'acheteurs de blé, meuniers ou négociants, plus les agriculteurs vendront le leur facilement et cher. »
     7. v. Avec la négation, il sert à marquer la cessation d'une action ou d'un état, la privation d'un bien. Cela provient de l'expression euphémique ancienne « pas plus » (l'équivalent du "nicht mehr" allemand).
           Je n'y pense plus. — Il n'a plus envie d'y retourner.
     8. v. (Par ellipse) (Avec de) Il n'y a plus, il ne faut plus.
           Plus de crainte, tout est fini !
     9. v. (Vieux) Sans négation, dans le corps de la phrase, il s'emploie dans le sens d'encore, davantage, désormais.
           Il leur défendit d'y plus songer.
     10. conj. (Mathématiques) Somme des nombres précédent et suivant.
           Un plus un égale deux.
     11. conj. (Familier) Outre cela, et ; c'est alors une sorte de formule dont on se sert dans les inventaires, dans les états de compte, de recette.
           Plus un lit en bois.
     12. n-m. (Mathématiques) +. Signe en forme de croix. Symbole de l'addition et signe positif.
           Un plus et un moins.
     13. n-m. Avantage.
           Ce stage est un plus pour votre CV.
     14. n-m. La plus grande quantité, le maximum.
           C'est le plus que je puisse faire.
           Le plus que vous en pourrez espérer, c'est une réponse évasive.
     15. n-m. (Familier) Borne positive d'un circuit électrique ou d'une pile.
           Le vendeur m'a dit de connecter le fil rouge au plus de la batterie.
     16. v. Première personne du singulier du passé simple de plaire.
     17. v. Deuxième personne du singulier du passé simple de plaire.
espérer
     1. v. (Vieilli) (Soutenu) ou (Acadie) et (Poitevin-Saintongeais) (transitif) Attendre la venue de quelqu'un.
           Nous vous espérons demain à la maison pour le diner.
     2. v. (Absol) (Religion) Attendre les bienfaits divins.
     3. v. Considérer l'objet de son souhait comme réalisable.
Une
     1. n-f. Autre graphie de une.
     2. n-f. Chose portant le numéro 1.
           Je vous ai réservé la une, votre place préférée.
     3. n-f. Première page d'un journal contenant les grands titres.
     4. adj. Féminin de un.
           Je voudrais une sucrette, s'il vous plaît.
     5. adj. Féminin de un.
           La République française est une et indivisible.
     6. art. Féminin de un.
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
     7. n. Féminin de un.
           Une des mes amies.
amélioration
     1. n-f. Action de prendre quelque chose pour le transformer en le rendant meilleur
           Le kaizen est un processus d'améliorations concrètes, simples et peu onéreuses réalisées dans un laps de temps très court.
     2. n-f. Résultat de cette action.
     3. n-f. Investissement dans un fonds de terre ou dans une maison pour les mettre en état et pour en augmenter le revenu.
           On est obligé de payer les améliorations à un possesseur de bonne foi que l'on dépossède.
           Il a fait une amélioration considérable dans sa terre.
           Améliorations utiles.
           (droit) Améliorations voluptuaires, qui n'ont en vue que l'agrément.
     4. n-f. Amélioration des plantes : technique qui consiste à rendre les variétés mieux adaptées aux besoins des utilisateurs.
un
     1. adj. Marque l'unité, le fait qu'une personne ou une chose est seule, unique en son espèce.
           Quatre femmes et un homme.
           Un mètre.
           Une tonne.
           Un entre mille.
           N'être qu'un, ne faire qu'un : Se dit pour exprimer une étroite, une intime union entre deux ou même plusieurs personnes.
           Il est une heure.
     2. adj. S'emploie familièrement pour indiquer un très petit nombre indéterminé.
           J'ai un mot à vous dire.
           J'en ai pour une minute.
     3. adj. Ordinal pour premier.
           Chapitre un.
           Page une.
     4. adj. Qui est seul, unique, qui n'admet point de pluralité.
           Dieu est un.
           Le moi est un.
           La vérité est toujours une, elle n'est jamais contraire à elle-même.
           (familier) C'est tout un, Il n'importe, c'est la même chose, cela est égal : qu'il vienne ou qu'il ne vienne pas, c'est tout un.
     5. adj. Où règne l'unité, dont les parties sont liées entre elles de manière à former un tout.
           L'église est une.
           Il faut que dans une pièce l'action soit une.
     6. art. Déterminant placé devant un nom représentant un objet animé ou inanimé que l'on ne connaît pas avec précision. L'article indéfini a souvent le sens de « un (1) parmi d'autres ».
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
           Il y a un chien devant la maison.
           Je cherche un livre sur tel sujet.
           C'est un César, un Cicéron, etc. : c'est un homme aussi intrépide que César, aussi éloquent que Cicéron, etc.
     7. art. Tout.
           Un chrétien doit faire cela.
           Un honnête homme n'a qu'une parole.
     8. n. Une personne ou une chose parmi plusieurs autres.
           Un de mes amis.
     9. n-m. Le nombre 1.
           Un précède deux et suit zéro.
           Le un de telle rue, La maison qui porte le numéro 1.
     10. n-m. Chiffre utilisé dans la numérotation décimale écrit 1.
           Le nombre 11 est écrit avec deux uns.
     11. n. Une chose portant le numéro 1.
           Il habite au un.
amendement
     1. n-m. Action d'amender et résultat de cette action.
     2. n-m. (Vieilli) Fait d'amender ou de s'amender dans le sens où apparaît une résipiscence, une amélioration, un mieux.
     3. n-m. (Vieilli) (Médecine) Diminution de l'intensité des symptômes d'une maladie.
     4. n-m. (Agriculture) Opération visant à améliorer les propriétés physiques et chimiques d'un sol.
     5. n-m. Produit épandu sur le sol pour provoquer cette amélioration.
     6. n-m. (Législation) Modification faite à un projet de loi, d'arrêté, pour changer quelqu'une de ses dispositions, ou seulement pour lui donner plus de clarté, plus de précision.
           Proposer, discuter, mettre aux voix, adopter, rejeter un amendement.
           La loi est passée sans amendement.
     7. n-m. (Droit) (Histoire) Modification d'un jugement.
Une
     1. n-f. Autre graphie de une.
     2. n-f. Chose portant le numéro 1.
           Je vous ai réservé la une, votre place préférée.
     3. n-f. Première page d'un journal contenant les grands titres.
     4. adj. Féminin de un.
           Je voudrais une sucrette, s'il vous plaît.
     5. adj. Féminin de un.
           La République française est une et indivisible.
     6. art. Féminin de un.
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
     7. n. Féminin de un.
           Une des mes amies.
Bonne
     1. n. (Géographie) Commune française, située dans le département de la Haute-Savoie.
     2. n. Baronne.
     3. adj. Féminin singulier de bon.
     4. adj. (Vulgaire) Se dit d'une femme sexuellement attirante, désirable, d'une femme sexuellement expérimentée.
     5. n-f. Servante dans une maison bourgeoise, dans un hôtel, etc., fille chargée de soigner un enfant.
     6. n-f. (Jeu de reversis) Nom de différents paiements.
           La 1(ère), la 2(e) bonne.
     7. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de bonner.
     8. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de bonner.
     9. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de bonner.
     10. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de bonner.
     11. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de bonner.
     bon
          1. adj. Qui a des qualités conformes à ce que l'on attendait.
                C'est un bon outil que tu utilises.
                Quelle bonne idée !
                Ce meuble est de bon goût.
                Il n'y a rien de bon dans ce livre.
                Jean est un bon marcheur.
          2. adj. Qui est avantageux, favorable, utile, convenable.
                Cela ne présage rien de bon.
                Jouir d'une bonne réputation.
                Vous arrivez au bon moment.
                Être de bonne humeur.
          3. adj. Agréable pour pratiquer une activité.
                Alors l'eau était bonne ?
                La neige était bonne ?
          4. adj. Généreux, qui fait le bien.
                Cet homme est très bon avec les autres.
                Vous êtes trop bon.
          5. adj. Conforme aux normes, à la raison, à la justice, à la morale, au devoir, à l'honnêteté.
                C'est un bon père.
                Faire un bon usage de sa fortune.
                Les bonnes mœurs.
                Être animé de bons sentiments.
                Les hommes de bonne société se distinguent par leur éducation, leur politesse, leur bon ton.
          6. adj. D'un goût agréable, gouteux.
                As-tu jamais mangé quelque chose d'aussi bon ?
          7. adj. D'une certaine intensité ; d'une certaine quantité.
                Marcher d'un bon pas.
                Infliger une bonne correction.
          8. adj. (Très familier) Attirant physiquement.
          9. adj. (Absolument) Je te souhaite un bon … (note) Formule de politesse pour souhaiter quelque chose de bon à l'interlocuteur.
                — Bonne journée !
                Bon courage !
          10. n. Désigne ce qui est bon.
                Le beau et le bon.
                Il y a du bon et du mauvais dans ce projet.
          11. n. Formule qu'on met au bas de certains effets de commerce pour rappeler la somme mentionnée dans le corps de l'écrit.
                Bon pour accord.
          12. n-m. Personne bonne.
                Récompenser les bons et punir les méchants.
          13. n-m. Document qui donne droit à quelque chose en échange.
                J'ai trouvé un bon de réduction dans le journal.
          14. n-m. Obligation financière.
          15. n-m. (Militaire) Bataillon.
          16. interj. Bien.
                Bon ! On commence ?
                Bon alors ! Tu viens ou c'est moi qui vais te chercher ?
                Bon, ça va, oui, ça y est ?
          17. interj. Se dit pour marquer l'approbation, la satisfaction, ou pour mieux exprimer que l'on a compris, entendu.
                Vous lui avez remis ma lettre ? C'est bon.
                Bon, bon, cela suffit.
          18. interj. On s'en sert quelquefois par antiphrase et pour se plaindre.
                C'est bon, je m'en souviendrai.
          19. interj. Exprime l'étonnement, le doute, l'incrédulité, l'insouciance.
                Bon ! Vous dites qu'il est fâché contre moi ?
une bonne
     1. n. Ellipse que l'on emploie pour annoncer que l'on va raconter une blague.
           Tiens ! Je vais t'en raconter une bonne ! C'est celle de…
     2. n. Ellipse que l'on emploie souvent au sens péjoratif pour citer un événement extraordinaire.
           Aujourd'hui, il m'en est arrivé une bonne : j'ai perdu les clés de ma voiture !
fin
     1. n-f. Terminaison ou arrêt d'une chose.
           C'est la fin du film.
     2. n-f. Mort.
           Leur fin est proche.
     3. n-f. Objectif ; finalité.
     4. n-m. Summum, quintessence, ce qu'il y a de plus subtil dans un sentiment, dans une pensée.
           Le fin du fin.
     5. n-m. Personne rusée.
           Jouer au plus fin, rivaliser d'adresse et de ruse pour venir à bout de ses desseins.
     6. n-m. Or ou argent qui se trouve dans un alliage, surtout lorsqu'on parle de monnaies.
           Tirer tout le fin qui est contenu dans un alliage.
           Il y a tant de grammes de fin dans cette monnaie.
           Grain de fin, bouton de fin. Or ou argent obtenu par la coupelle.
     7. adj. Délié, menu, mince ou étroit.
           La pointe de ce crayon est trop fine.
           L'aiguille était si fine qu'elle passait entre les mailles du tricot sans effort.
           Une écriture extrêmement fine.
           Elle a les cheveux fins comme de la soie.
           Toile fine.
           Papier fin.
           Sable fin.
           Poudre fine.
           Pluie fine.
           Plume fine, plume à écrire dont la pointe ou le bec est fin.
           Pinceau fin, crayon fin.
           Avoir la taille fine, avoir la taille déliée et bien faite.
           Avoir la jambe fine.
           Faire fine taille, serrer ses vêtements de façon à s'amincir.
     8. adj. Élégant, délicat, gracieux.
           Des contours fins et gracieux.
           Pinceau fin, burin fin. Peinture ou gravure finement exécutée.
           Ton fin, Touche fine.
           Passage fin, dégradation insensible et adroitement ménagée d'un ton, d'une couleur à une autre.
     9. adj. Raffiné, qui n'est pas commun, qui est excellent en son genre.
           Vins fins.
           Épice fine.
           Fine fleur de farine.
           Moutarde fine.
           Porcelaine fine.
           Lames fines.
           Aiguilles fines.
           Linge fin.
           Des mets fins et recherchés.
           Fines herbes. Voyez « herbe ».
           C'est une fine lame, c'est un habile tireur d'épée. Se dit aussi, par extension, d'une personne habile et rusée.
           Fin voilier se dit d'un bâtiment qui marche bien et qui porte bien la voile.
     10. adj. (Figuré) Dernier, plus éloigné.
           Le fin fond, l'endroit le plus profond, le plus reculé.
           Au fin fond de la mer.
           Il vient du fin fond de la Bretagne.
           Le fin mot, paroles par lesquelles une personne fait entièrement connaître ses vues, son intention.
           Ne vous faites plus attendre, dites-nous le fin mot. Cette locution désigne aussi Le sens caché, le motif secret.
           Je vais vous dire le fin mot de l'affaire.
           Il refuse cette place; c'est qu'il en voudrait une meilleure : voilà le fin mot.
     11. adj. Véritable.
           Une broderie d'or fin.
           Une dentelle d'argent fin.
           Pierre fine.
     12. adj. Aiguisé, exact, en parlant des sens.
           Il a le nez, l'odorat, le goût fin.
           Cet aveugle a le tact extrêmement fin.
           Avoir l'oreille fine, entendre facilement les moindres paroles, discerner les moindres fausses notes en musique.
           Avoir le nez fin, avoir de la sagacité, prévoir les choses de loin.
           Cet homme a le nez fin, on ne le trompe pas aisément.
           Un fin gourmet.
     13. adj. (Figuré) Subtil ; sagace.
           Avoir l'esprit fin, le jugement fin, le goût fin.
           Des yeux fins, un regard fin, une physionomie fine, des yeux, un regard, une physionomie qui annoncent de l'esprit.
     14. adj. Spirituel.
           Raillerie fine.
           Trait fin.
           Mot fin.
           Expression fine.
           Ils n'ont pas senti tout ce qu'il y a de fin dans cette réponse.
           Cet acteur a le jeu fin et spirituel.
           C'est une distinction très fine et que tous les esprits ne peuvent saisir.
     15. adj. Habile, avisé, rusé.
           C'est un fin matois.
           Plus fin que lui n'est pas bête, se dit de quelqu'un qui est fort adroit et fort rusé.
           Bien fin qui l'attrapera.
           C'est un fin renard.
     16. adj. Qui est fait avec adresse, rusé.
           Le tour est fin.
           Sa diplomatie a été fine dans cette affaire.
     17. adj. (Québec) Gentil, serviable, attentionné.
     18. v. Finement ; d'une manière fine, menue.
     19. v. Complètement.
           Être fin prêt, Complètement prêt.
           Être fin saoul, Complètement saoul.
En
     1. n. (Géographie) Ancienne commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales.
     2. prep. Utilisé après certains verbes.
           Croire en Dieu.
           Mise en œuvre.
     3. prep. Permet de préciser une matière.
           Un évier en émail.
     4. prep. Indique le lieu.
           Être en France. — Aller en Amérique.
           Mettre quelqu'un en prison.
           Marcher en tête.
           Mettre en ligne.
     5. prep. Cette préposition a divers emplois spéciaux. Ainsi, très souvent, elle précède un mot qui indique ou détermine l'état absolu ou relatif, la manière d'être, la disposition, la modification d'une personne ou d'une chose.
           Un habit en lambeaux.
           Teindre, colorer en bleu, en rouge.
     6. prep. Elle introduit également le mot qui indique ou détermine :
           À quoi une personne est occupée, appliquée.
           Être en affaire, en prières.
           Le résultat d'un changement de nature.
           Narcisse fut métamorphosé en fleur.
           Éclater en sanglots.
           La forme.
           Des arbres taillés en buisson. — Une fenêtre en ogive.
           Le genre de culture.
           Cet hectare est en vignes. — Ce terrain a été mis en potager, est en potager.
           Le mode de division.
           Diviser en deux, en trois, etc.
           Une comédie en cinq actes.
           L'espèce de vêtement qu'une personne a sur elle.
           Être en uniforme. — Être en pantoufles.
     7. prep. Elle introduit aussi très fréquemment le mot qui détermine à quoi est relative, à quoi est restreinte, ou de quel point de vue est considérée la chose, la qualité, l'action, etc., dont il s'agit.
           Bon en mathématiques. — Docteur en médecine.
           Une terre fertile en blé.
     8. prep. Elle sert encore, particulièrement, à marquer la conformité.
           En bonne règle. — Je vous le dis en vérité.
     9. prep. Elle sert à indiquer encore :
           La manière dont se fait une action.
           Je vous expliquerai la chose en deux mots.
           Ils s'y rendirent en toute hâte.
           Le langage ou le genre d'écriture qu'on emploie.
           Écrire un ouvrage en grec, en français, en latin, etc.
           Ils s'entretenaient en anglais.
           La destination.
           Mettre en vente.
           Donner en otage.
           Le motif qui fait agir ou La fin qu'on se propose.
           En vue de lui plaire.
     10. prep. Il sert de plus à marquer le rapport au temps et signifie durant, pendant.
           En hiver. — En votre absence. — En temps de paix.
     11. prep. Permet de préciser un moyen de transport. (note) Traditionnellement, on utilise en pour des moyens de transport dans lesquels on se trouve (en voiture, par exemple), et à pour ceux qu'on enfourche, sur le modèle de à cheval. Mais il semble y avoir u
           Je suis allé en Corse en avion, mais je suis revenu en bateau.
     12. prep. Forme un gérondif qui marque le temps, la durée.
           Lambert hochait la tête en souriant. (Beauvoir, Mandarins, 1954)
           En allant à l'université, j'ai rencontré une belle fille.
     13. prep. Remplace à la ou à l' du locatif du nom d'un pays ou d'un continent. Cet usage est parallèle à la suppression de l'article dans de la ou de l' de l'ablatif correspondant. Il y a d'autres noms qui suivent cette règle, comme les noms des saisons.
     14. n. (remplaçant un COI avec de) De ça.
           J'en ai été informé. — Je n'en sais rien.
     15. n. (Remplaçant un nom sans déterminant ou un nom indéfini du COD ou du sujet de la copule) Personne, chose de cette espèce, d'entre eux, d'entre elles. (usage) Utilisé tout seul ou avec une quantification.
           Lucien : Dis donc, Charlot, as-tu un sou ?
           — Halte ! Avez-vous des allumettes ?
           Lady Caroline : On m'a dit que vous n'aviez pas de manoir, en Amérique ?
     16. n. (remplaçant un nom avec de dans le COD, dans le sujet de la copule ou dans l'attribut) De ça. (usage) Pour une personne, on utilise de lui, d'elle, etc. ou un adjectif possessif.
     17. n. (Adverbe de lieu) De ce lieu. De là. De ce côté-là
           La piscine ? J'en viens !
parlant
     1. adj. Qui parle.
           L'homme est la seule créature parlante.
           Horloge parlante.
           (vieilli) Bavard.
           Cet homme est très parlant, est peu parlant, Il parle volontiers, il parle rarement.
     2. adj. (Cinématographie) Qui reproduit les paroles des personnages.
           Cinéma parlant.
           Machine parlante, Toute machine qui, comme le phonographe, reproduit la voix humaine.
     3. adj. Qui est très ressemblant, très expressif.
           Ce portrait est parlant.
           Il a une physionomie parlante.
           Des regards, des gestes parlants, Des regards, des gestes expressifs.
     4. adj. Qui se passe de commentaire, évident.
           Les chiffres sont parlants.
     5. v. Participe présent du verbe parler.
     parler
          1. v. Proférer, prononcer, articuler des mots.
                Parler du nez, de la gorge. Parler à l'oreille de quelqu'un. Parler avec peine. Il parle toujours entre ses dents.
          2. v. (Par analogie) Imiter le langage de l'homme, en parlant de certains oiseaux comme les perroquets, les sansonnets, les geais, les pies, etc.
                Apprendre à parler à un perroquet.
          3. v. Exprimer sa pensée en articulant les mots d'une langue.
                Parler correctement. Parler inconsidérément. Je n'en parle que par ouï-dire. Il n'en parle que par envie.
                Je n'ai jamais entendu parler de cette affaire. Toute la ville en parle.
          4. v. S'exprimer heureusement sur certains sujets.
          5. v. Adresser la parole, avoir un entretien, converser.
                Parler avec quelqu'un. Parler à quelqu'un. Moi qui vous parle. C'est à vous que je parle.
          6. v. S'entretenir de.
                De quoi parlez-vous tous les deux ? Nous parlons de vos affaires. Nous en parlerons tantôt ensemble.
                Je vous parlerai de quelque chose qui vous regarde. Parlez de moi au ministre. Je les ai laissés qui parlaient d'affaires.
          7. v. (Absolument) Révéler, dévoiler quelque chose.
          8. v. Expliquer ses sentiments, sa pensée, déclarer son intention, sa volonté.
                C'est un homme qui ne veut pas parler nettement. On a fait ce qu'on a pu pour le faire parler, mais il n'y a pas eu moyen d'en venir à bout.
                Je saurai bien le faire parler. Expliquez-vous mieux, ce n'est pas là parler. Parler au nom de quelqu'un.
          9. v. Intervenir, prendre la parole pour ou contre quelqu'un ou quelque chose.
                Ce député a parlé contre le projet de loi.
          10. v. Prononcer un discours, prendre la parole en public.
                L'art de parler. Parler à son tour. Quand ce fut à lui de parler…. Parler sans préparation, sans être préparé.
          11. v. (Figuré) Manifester ses sentiments, ses pensées par un autre moyen que celui de la parole.
                Les muets parlent par signes. Il me parlait des yeux et du geste. Chaque mouvement de cet habile pantomime parlait aux yeux des spectateurs.
          12. v. Provoquer des émotions, des sentiments en parlant des choses qui ont ou qui semblent avoir une sorte de langage.
                La peinture parle aux yeux. Ses yeux parlent. Son visage parle.
                La nature, le sang a parlé, quand il a revu son fils malheureux. En votre absence, tout ici nous parlait de vous.
          13. v. Expliquer sa pensée par écrit.
                La loi est formelle là-dessus et parle très clairement. Le contrat ne parle point de cette clause.
          14. v. Démontrer ou confirmer ses qualités.
                Pas de surprise lors du dernier tiercé : le favori l'a emporté de dix longueurs, sa classe a parlé.
                Lors du championnat du monde des mi-lourds à mi-combat le champion en titre mène largement aux points, c'est le métier qui parle.
          15. v. (Transitif) Se servir d'un langage.
                Parler une langue. Parler français, italien, allemand, etc. La langue française se parle, est parlée dans tous les pays du monde.
                Il parle plusieurs langues. Le langage que parlaient nos pères.
                Ce poète dramatique, ce romancier fait parler à chacun son langage.
          16. v. (Transitif) S'entretenir de quelque chose, en raisonner, en discourir.
                (note) Dans ce cas on ne met jamais l'article devant le nom.
                Parler géométrie, musique, peinture, politique, etc. Parler affaires.
          17. n-m. Forme de langage particulière à une catégorie sociale, une profession, une région…
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
Une
     1. n-f. Autre graphie de une.
     2. n-f. Chose portant le numéro 1.
           Je vous ai réservé la une, votre place préférée.
     3. n-f. Première page d'un journal contenant les grands titres.
     4. adj. Féminin de un.
           Je voudrais une sucrette, s'il vous plaît.
     5. adj. Féminin de un.
           La République française est une et indivisible.
     6. art. Féminin de un.
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
     7. n. Féminin de un.
           Une des mes amies.
personne
     1. n-f. Être humain considéré en tant qu'individu.
     2. n-f. (Philosophie) Individu ou entité consciente d'elle-même et à laquelle on reconnaît des droits.
           Le débat fait rage pour savoir si certains animaux sont des personnes.
     3. n-f. (Grammaire) Rôle que tient la personne ou la chose en cause dans l'acte d'énonciation. (note)Première personne : je, nous ;
     4. n-f. Précédé d'un adjectif possessif, se dit de la vie, du corps, du physique de celui qui parle, à qui l'on parle, ou dont on parle.
     5. n-f. Personnage.
           Il était la seconde personne du royaume.
     6. n-f. Se dit, dans certaines locutions, des femmes seulement.
           C'est la plus belle personne du monde, une des plus jolies personnes qu'on puisse voir.
           Voilà une belle personne.
           Un pensionnat de jeunes personnes.
           Elle est très belle personne.
     7. n-f. Se dit quelquefois d'un homme ou d'une femme, considérés en eux-mêmes.
           Peu de gens savent séparer la personne de la situation qu'elle occupe.
           La personne d'un auteur, par opposition à ses œuvres.
     8. n-f. Sert, dans certaines expressions, à donner plus de force, d'ampleur, de solennité à ce que l'on dit.
           Cet officier est attaché à la personne du général.
           Ce général se porta de sa personne en tel endroit, Il y alla lui-même.
           En sa personne se dit dans le même sens, mais a toujours rapport au régime du verbe.
           C'est l'offenser en sa personne.
           Parlant à sa personne, Parlant à lui-même.
           Je le lui ai dit, parlant à sa personne.
           Assigner une commune en la personne ou au domicile du maire, le Trésor en la personne ou au bureau de l'agent, etc.
           Offenser, outrager quelqu'un en la personne d'un autre.
     9. n-f. (Religion) Être divin, dans la théologie chrétienne.
     10. n. (Littéraire) Quelqu'un.
           Y a-t-il personne d'assez hardi ?
           Je doute que personne y réussisse.
           Il ne veut pas que personne soit lésé.
     11. n. Nul ; quiconque ; qui que ce soit. — (note) Il est alors accompagné d'une négation
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire