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mais
     1. conj. Conjonction qui sert généralement à marquer une opposition, une exception, une différence.
           Elle n'est pas aussi jolie que sa sœur, mais elle est plus spirituelle.
     2. conj. S'emploie aussi pour rendre raison de quelque chose dont on veut s'excuser.
           Il est vrai, je l'ai mal reçu, mais j'avais mes raisons pour cela.
     3. conj. S'emploie aussi pour marquer l'augmentation ou la diminution.
           Sa puissance n'est pas diminuée, mais accrue.
     4. conj. Peut aussi introduire une restriction.
           Je t'aime bien, mais tu ne peux pas venir avec moi.
     5. conj. S'emploie aussi dans la conversation, au commencement d'une phrase qui a quelque rapport à ce qui a précédé.
           Mais, dites-nous, quand nous donnerez-vous satisfaction ?
           Mais, pourquoi vous en prenez-vous à moi ?
           Mais encore, mais enfin, que dites-vous de cela ?
           Mais, qu'ai-je fait ?
           Mais, qu'ai-je dit ?
     6. conj. Sert quelquefois de transition pour revenir à un sujet qu'on avait laissé, ou simplement pour quitter le sujet dont on parle.
           Mais revenons à notre affaire.
           Mais c'est trop parler de moi.
           Mais il est temps de finir.
           Mais encore faut-il s'entendre.
     7. conj. S'emploie aussi en coordination avec non seulement pour renforcer ce qui vient d'être dit
           Non seulement il est bon, mais encore il est généreux.
           Non seulement il est pauvre, mais il est criblé de dettes.
           Non seulement il a eu ce tort, mais bien plus, mais qui plus est, il s'en est vanté.
     8. n-m. Substantivement, il signifie « objection, difficulté ».
           Il y a toujours avec lui des si et des mais.
     9. n-m. Pluriel de mai.
     10. v. Autrefois un adverbe qui signifiait « plus ». Il a encore ce sens dans l'expression n'en pouvoir mais.
           Si le fils a fait une faute, le père n'en peut mais.
     11. v. S'emploie encore comme adverbe pour insister.
           Il fut reçu très bien, mais très bien.
           Cet enfant est joli, mais très joli.
la
     1. art. Féminin singulier de le. Détermine un groupe nominal féminin singulier.
           La navette Atlantis fut remisée en 2010.
           La Franche-Comté.
     2. n-f. Féminin singulier de le. Représente un groupe nominal féminin singulier complément d'objet direct (pour le pronom féminin complément d'objet indirect, voir lui).
           Je la reconnais et non pas Je reconnais <s>elle</s>.
     3. n-m. (Musique) Sixième note de la gamme. Le la de référence a une fréquence de 440 hertz.
           Donner le la.
     4. n-m. Première lettre de l'alphabet santâlî : &#x1c5a;.
fortune
     1. n-f. Hasard, chance.
           La fortune des armes. J'en courrai la fortune. La mauvaise fortune le poursuit.
     2. n-f. (Marine)
           Tempête.
           (par extension) Péril en mer, aléa, et donc voile de réserve en cas de tempête : la « fortune carrée ».
     3. n-f. (Galanterie) Les faveurs d'une femme.
           Il a eu beaucoup de bonnes fortunes. Un homme à bonnes fortunes.
     4. n-f. Tout ce qui arrive ou peut arriver de bien ou de mal à quelqu'un.
           Je partageai sa bonne et sa mauvaise fortune.
           Nous ne pouvons prédire quelle sera la fortune de ce livre, de cet ouvrage. La fortune des états, des empires.
           Cette doctrine a eu des fortunes très diverses.
     5. n-f. Avancement, établissement dans les emplois, dans les honneurs, dans les biens.
     6. n-f. (Religion) Divinité païenne qui était censée distribuer, à son gré, le bonheur et le malheur. — (note) S'emploie, par allusion à ce sens, dans un grand nombre de phrases figurées.
           La fortune est aveugle, inconstante, capricieuse, changeante.
           L'inconstance, le caprice, la bizarrerie, les revers, les rigueurs de la fortune.
           La fortune distribue inégalement ses faveurs. Il est maltraité de la fortune.
           La fortune lui sourit. La fortune lui a tourné le dos.
     7. n-f. Les biens, richesses, ressources pécuniaires.
avait
     1. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif imparfait du verbe avoir.
     avoir
          1. v. Être en relation possessive, soit concrète ou abstraite, soit permanente ou occasionnelle, dont le possesseur est le sujet et le possédé est le complément d'objet direct.
                Pierre a deux filles. Cadet Rouselle a trois maisons.
                La Mongolie n'a que deux voisins : la Russie et la Chine.
                L'antilope a plusieurs prédateurs. J'ai un beau chapeau.
                J'ai un très bon emploi.
                Nous avons un logement très agréable.
                Hélas ! Il mourra donc ! Il n'a pour sa défense
                Je n'ai plus beaucoup d'argent.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est inanimé)
                Il avait ce jour-là un costume bleu. (porter)
                Vous avez de la boue sur vos habits.
                Ce bébé a de très beaux yeux.
                J'ai un bras cassé.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est une qualité, caractéristique physique ou matérielle)
                Avoir affaire à quelqu'un ou avec quelqu'un.
                Avoir l'âge de raison, avoir vingt ans.
                Avoir de l'agilité.
                Avoir quelque chose en aversion, sur le cœur.
                Avoir peur, avoir la crainte de quelque chose.
                Avoir des douleurs, avoir de la fièvre, la grippe, une angine, le sida, la tuberculose…
                Avoir de la force, être fort.
                Avoir soin de faire quelque chose.
                Avoir froid, chaud, avoir faim, soif…
                J'ai mal à la tête.
                Cet oiseau a un très beau chant.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est une caractéristique morale)
                Avoir de l'ascendant, de l'autorité sur quelqu'un.
                Avoir la confiance de quelqu'un.
                Tu peux avoir confiance en lui, je le connais.
                Avoir l'estime de quelqu'un, avoir de l'estime pour quelqu'un.
                Avoir des qualités, avoir des vertus, des vices…
                J'ai eu beaucoup de peine en apprenant son décès.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est une caractéristique abstraite)
                Avoir la foi (en quelque chose ou en quelqu'un)
                Avoir honte (de quelque chose)
                Avoir pitié (de quelqu'un)
                Avoir raison, avoir tort.
                Avoir des sentiments (pour quelqu'un)
                Avoir du temps devant soi, avoir le temps…
                Cet enfant a peur du loup.
                Vous n'avez pas le droit de faire ça.
                (L'objet n'a aucune valeur spécifique)
                Avoir de la pluie, du beau temps…
                Nous allons sûrement avoir beau temps cet après-midi.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est un être animé)
                Avoir un père, une mère, une femme, des enfants, une nombreuse parenté…
                Avoir un médecin, un notaire, un avocat…
                Avoir un maître, des domestiques, un chef…
                Avoir des élèves, des auditeurs…
                Avoir des poux, des puces…
                Avoir des convives, des hôtes…
                Avoir des amis, des ennemis…
                Avoir des correspondants, des associés, des complices…
                Avoir des gens à sa suite.
                Avoir quelqu'un chez soi.
                Avoir une personne à dîner, à déjeuner…
                (Le sujet est un être inanimé, l'objet est un être inanimé matériel ou abstrait)
                Cette ville a de beaux édifices, des rues larges, de vastes promenades.
                Votre château a un parc magnifique.
                Ma maison a cinq étages, a une belle vue.
                Cette table a deux tiroirs.
                Cette plante a de très belles fleurs.
                Cette planche a six pieds de long.
                Ce fruit a une forme allongée, une belle couleur.
                L'architecture de cet édifice a un caractère imposant.
                Cette poésie a de la douceur et de la grâce.
                Ce rêve a quelque chose d'effrayant.
                Cette pièce a beaucoup de succès.
                Un tel accident peut avoir des suites.
                Les plaisirs ont leurs dangers.
                (Le sujet est un être inanimé, l'objet est un être animé)
                Cette maison a vingt locataires.
                Cette ville a dix mille habitants.
                Cet ouvrage a pour auteur un écrivain distingué.
                Cette doctrine a de nombreux partisans.
                (Avoir + article défini + nom + adjectif) Son … est …, comme caractère personnel.
                Il a l'œil bleu.
                Il a les cheveux blonds.
                (Avoir pour + nom + de + infinitif) C'est son … de faire cela.
          2. v. (Utilisé intransitivement, sans objet) Se passer, arriver.
                Qu'est-ce que tu as ? Tu te sens mal ?
          3. v. Se procurer, obtenir quelque chose.
                Il a eu tout ce qu'il demandait.
                J'ai eu ce cheval à très bon marché.
                Puis-je avoir la parole ?
          4. v. (Familier) Tromper, berner, leurrer quelqu'un.
                J'ai l'impression que je me suis fait avoir.
                Je t'ai eu.
          5. v. (J'ai … qui …) (popu) Introduit une nouvelle information concernant le locuteur sans relation thème-rhème.
                J'ai ma mère qui est malade.
          6. v. (Auxiliaire) Auxiliaire servant à former les temps composés, signifiant le passé, la complétion ou l'expérience. (note) Certains verbes demandent être comme auxiliaire. En français moderne, le passé composé est beaucoup plus courant que le passé sim
                J'ai bien mangé.
                Nous avons bien ri à lire toutes ces finesses, mais c'est beau l'instruction, quand même.
          7. n-m. (Philosophie) Ce que possède un individu.
          8. n-m. Ensemble des biens et richesses appartenant à un individu ou à une personne morale, possession.
          9. n-m. (En particulier) (comptabilité) Somme d'argent qu'un établissement commercial (banque, entreprise, etc.) doit à son client, solde créditeur.
                Vous avez un avoir de cent euros.
          10. n-m. Le fait de posséder, par opposition au fait d'être ou de faire.
rejeté
     1. v. Participe passé masculin singulier du verbe rejeter.
     rejeter
          1. v. Jeter de nouveau.
                Vous n'avez pu prendre la balle quand je vous l'ai jetée ; renvoyez-la-moi, je vous la rejetterai.
          2. v. Repousser ; renvoyer.
                Qu'y a-t-il Héloïse ?
                On lui avait jeté la balle, il la rejeta avec la même force.
          3. v. Reporter ; renvoyer à un autre terme.
          4. v. Jeter une chose dans l'endroit d'où on l'avait tirée.
                Comme il n'avait pris que du petit poisson, il le rejeta dans l'eau.
          5. v. Jeter dehors ; pousser hors de soi.
                La mer a rejeté sur ses bords les débris du naufrage.
          6. v. (En particulier) Vomir.
                Cet homme a l'estomac malade, il rejette tout ce qu'il prend.
          7. v. (Foresterie) Faire des rejets, repousser après avoir été coupé, en parlant d'un arbre ou d'un arbuste.
                Depuis qu'on a étêté cet arbre, il a rejeté beaucoup de branches.
          8. v. Mettre une chose en un endroit, après l'avoir ôtée de celui où elle était.
                Il faut rejeter l'eau de ce bassin dans cette cuve, la terre de ce fossé sur cette couche.
                Rejetez tous ces détails dans les notes de votre ouvrage.
                Rejeter les notes à la fin du volume.
          9. v. (Figuré) Faire retomber.
                Rejeter un tort sur quelqu'un.
                Il a rejeté sa faute sur cet homme, qui en était bien innocent.
                On a tout rejeté sur lui.
          10. v. (Figuré) Repousser ; ne pas admettre ; ne pas vouloir recevoir.
                J'ai rejeté bien loin les propositions qu'il m'a faites.
                Il a rejeté les offres qu'on lui faisait.
                Sa requête a été rejetée.
                La Cour de Cassation a rejeté le pourvoi de ce condamné.
                La Chambre a rejeté la loi proposée.
                On a rejeté son offre, sa proposition, ses prières, sa demande.
                On a rejeté ses avis, ses conseils.
          11. v. Repousser ou condamner, en parlant de personnes.
                Il fut rejeté même de ses plus anciens amis.
          12. v. Écarter ; éloigner.
          13. v. (Pronominal) Se reculer ; se porter en arrière.
          14. v. (Pronominal) (figuré) Se reporter, faute de mieux, sur une autre chose.
                Ne sachant plus que dire pour sa justification, il se rejeta sur les services qu'il prétendait avoir rendus.
                La lecture m'étant interdite, je me rejette sur les auditions de radio.
impitoyablement
     1. v. D'une manière impitoyable, sans aucune pitié.
Mes
     1. n. Pluriel de Me. Abréviation de maîtres, titre annonçant l'énumération d'avocats ou de notaires.
           Pour se défendre, elle a fait appel à M(e) Dupont et Lacourt.
     2. adj. Pluriel de mon, ma. Qui sont à moi, dans le cas d'un seul possesseur et de plusieurs objets.
     mon
          1. adj. (Génériquement) (Sens propre) Marque la possession ou l'appartenance. Le possesseur est le locuteur, ce qu'il possède est au masculin singulier. (note) Il s'emploie également dans le cas où la chose possédée est un féminin commençant par une voyelle
          2. adj. (Figuré) Pour exprimer des rapports d'habitude, de connaissance, de proximité, etc.
                (familier) Avec, en plus, une note d'affection.
                Avec une marque de respect ou de reconnaissance.
                Avec un caractère identificatoire.
                Avec une marque de subordination.
                (militaire) Est une forme d'allégeance ou de soumission (obligatoire dans sa forme vocative). (note) Par dérivation de l'expression ancienne mon sire ou mon sieur. Cette forme ne s'applique pas aux grades inférieurs (caporal, sergent, …), aux
          3. v. (Arch) Assurément, vrai. (usage) Utilisé avec le pronom ce et le verbe être, avoir ou faire.
                C'est mon.
                Ç'a mon.
          4. interj. (Lorraine) (Familier) (interjection) Interjection exprimant l'étonnement, la surprise ou l'admiration. (note) Abréviation de mon Dieu.
                Mon ! Le beau petit chien !
          5. n-m. Insigne héraldique japonais.
voeux
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire