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Analyseur de phrases françaises

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mais
     1. conj. Conjonction qui sert généralement à marquer une opposition, une exception, une différence.
           Elle n'est pas aussi jolie que sa sœur, mais elle est plus spirituelle.
     2. conj. S'emploie aussi pour rendre raison de quelque chose dont on veut s'excuser.
           Il est vrai, je l'ai mal reçu, mais j'avais mes raisons pour cela.
     3. conj. S'emploie aussi pour marquer l'augmentation ou la diminution.
           Sa puissance n'est pas diminuée, mais accrue.
     4. conj. Peut aussi introduire une restriction.
           Je t'aime bien, mais tu ne peux pas venir avec moi.
     5. conj. S'emploie aussi dans la conversation, au commencement d'une phrase qui a quelque rapport à ce qui a précédé.
           Mais, dites-nous, quand nous donnerez-vous satisfaction ?
           Mais, pourquoi vous en prenez-vous à moi ?
           Mais encore, mais enfin, que dites-vous de cela ?
           Mais, qu'ai-je fait ?
           Mais, qu'ai-je dit ?
     6. conj. Sert quelquefois de transition pour revenir à un sujet qu'on avait laissé, ou simplement pour quitter le sujet dont on parle.
           Mais revenons à notre affaire.
           Mais c'est trop parler de moi.
           Mais il est temps de finir.
           Mais encore faut-il s'entendre.
     7. conj. S'emploie aussi en coordination avec non seulement pour renforcer ce qui vient d'être dit
           Non seulement il est bon, mais encore il est généreux.
           Non seulement il est pauvre, mais il est criblé de dettes.
           Non seulement il a eu ce tort, mais bien plus, mais qui plus est, il s'en est vanté.
     8. n-m. Substantivement, il signifie « objection, difficulté ».
           Il y a toujours avec lui des si et des mais.
     9. n-m. Pluriel de mai.
     10. v. Autrefois un adverbe qui signifiait « plus ». Il a encore ce sens dans l'expression n'en pouvoir mais.
           Si le fils a fait une faute, le père n'en peut mais.
     11. v. S'emploie encore comme adverbe pour insister.
           Il fut reçu très bien, mais très bien.
           Cet enfant est joli, mais très joli.
elles
     1. n. Pronom clitique de la troisième personne du pluriel féminin sujet, pour parler d'un groupe de femmes, d'animaux ou de choses grammaticalement féminines.
           J'ai retrouvé tes sœurs ; elles étaient dans la chambre.
           J'ai retrouvé les fleurs ; elles étaient dans la chambre.
     2. n. Pronom tonique de la troisième personne du pluriel féminin.
           Elles, elles n'ont rien fait !
           J'ai fait cela pour elles.
     3. n. (Après un sujet féminin pluriel) Quant à elles par contre.
exhalaient
     1. v. Troisième personne du pluriel de l'imparfait de l'indicatif de exhaler.
     exhaler
          1. v. Émettre des vapeurs, des gaz, des odeurs.
          2. v. (Figuré) Laisser échapper un sentiment, lui donner libre cours.
                ... les Divagations apparentes traitent un sujet, de pensée, unique – si je les revois en étranger, comme un cloître quoique brisé, exhalerait au promeneur, sa doctrine. (Stéphane Mallarmé, Divagations, Poésie/Gallimard, 1976, p. 69)
Une
     1. n-f. Autre graphie de une.
     2. n-f. Chose portant le numéro 1.
           Je vous ai réservé la une, votre place préférée.
     3. n-f. Première page d'un journal contenant les grands titres.
     4. adj. Féminin de un.
           Je voudrais une sucrette, s'il vous plaît.
     5. adj. Féminin de un.
           La République française est une et indivisible.
     6. art. Féminin de un.
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
     7. n. Féminin de un.
           Une des mes amies.
Odeur
     1. n. (Géographie) Section de la commune de Crisnée en Belgique.
     2. n-f. Sensation que produisent sur l'odorat les émanations des corps.
     3. n-f. (Plus rare) Parfum ; cosmétique parfumé.
     4. n-f. (Au pluriel) Parfums ; toutes sortes de bonnes senteurs.
fétide
     1. adj. Qui a une odeur répugnante et nauséabonde, puant.
     2. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de fétider.
     3. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de fétider.
     4. v. Première personne du singulier du subjonctif présent de fétider.
     5. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de fétider.
     6. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de fétider.
et
     1. conj. Concatène plusieurs concepts dans une même relation. Plusieurs adjectifs peuvent partager le même nom, et plusieurs préfixes peuvent partager le même radical.
           Pierre et Paul vont au marché.
     2. conj. (Logique) Indique une simultanéité de caractéristiques. Énonce la véracité de tous les éléments qu'il relie, indépendamment de l'ordre dans lequel ils sont énoncés.
           Un oiseau est un animal ailé et ovipare.
           Ses yeux sont bruns et le ciel est bleu.
           Le ciel est bleu et ses yeux sont bruns.
           Je n'aime une personne que si elle est cultivée et sympathique et drôle et généreuse.
     3. conj. À la suite de quoi, après quoi. (note) Énonce l'induction entre deux événements, l'ordre ayant une importance.
     4. conj. Il est quelquefois emphatique, au commencement des phrases.
           Et voilà que tout d'un coup…
           Et ainsi, vous osez me dire…
     5. conj. A souvent le sens de mais.
           Il plie et ne rompt pas.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
morceau
     1. n-m. Portion séparée d'une chose solide qui peut être mangée.
           Gros, petit, bon morceau. — Morceau délicat, friand.
     2. n-m. Partie séparée d'un corps solide et continu.
     3. n-m. Portion, une partie non séparée, mais distincte et considérée à part.
           Morceau de terre.
           Il a attrapé un bon morceau de cette succession : Il en a eu une bonne partie.
           Ils s'apercevront, émus
     4. n-m. Parties, des fragments d'un ouvrage de l'esprit ou d'une œuvre d'art.
           Il y a de beaux morceaux dans ce poème, dans ce tableau, dans cet édifice.
     5. n-m. Objet entier, d'un tout considéré par rapport au genre ou à l'espèce dont il fait partie.
           La colonnade du Louvre est un beau morceau.
           Cette élégie, cette églogue sont de beaux morceaux de poésie.
           Un morceau d'anthologie.
           Morceau de concours : Morceau choisi pour être exécuté par chacun de ceux qui prennent part à un concours.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
je
     1. n. Pronom de la première personne du singulier. Peut aussi bien être masculin que féminin. Utilisé exclusivement en tant que sujet. Devant une voyelle ou un h muet, il s'élide en j'.
           Je suis en France.
           Je m'appelle « Isabelle ».
           J'habite à Paris.
           J'organise un voyage.
           (informel) Hé ! J'te cause !
           (informel) J'prendrais bien un p'tit verre, et toi ?
     2. n. (Psychologie) (souvent entre guillemets) Entité perçue par le sujet comme le cœur et l'essence même de son existence en tant qu'individu.
portai
     1. v. Première personne du singulier du passé simple de porter.
     porter
          1. v. Soutenir quelque chose ou quelqu'un.
                Porter un sac de blé, un ballot de livres. — Le cheval qui le portait. — Ce vaisseau porte cinq cents hommes d'équipage et des vivres pour six mois.
          2. v. (Figuré) Être accablé d'un malheur, d'une souffrance, etc. ; supporter, souffrir, endurer.
                Il porte patiemment sa disgrâce.
          3. v. (En particulier) Être chargé de travail.
                Avoir plus de travail, plus d'affaires qu'on n'en peut porter. — Il porte tout le poids de ses affaires.
          4. v. (Figuré) Soutenir ; choisir ; élire.
          5. v. (En particulier) Mettre en avant quelqu'un comme candidat, dans une élection.
                Il sera porté par la majorité de l'assemblée.
          6. v. (Figuré) Tenir son rang, sa dignité, son honneur, etc.
                Il porte bien sa nouvelle dignité.
          7. v. Avoir sur soi ou tenir à la main.
                Il ne porte jamais d'argent sur lui.
          8. v. Mettre sur soi, en parlant de l'habillement, de la parure, etc.
                — Hmm, a rétorqué Toby. Je croyais que c'était la nuque longue que tu portais en sixième ?
          9. v. Asséner ; donner.
          10. v. Tenir son corps, sa tête, ses bras, etc., et de tout ce qui regarde la contenance et le geste.
                Porter la tête haute.
                Porter le bras en écharpe.
          11. v. Transporter.
                Des tuyaux qui portent l'eau dans un jardin.
          12. v. Pousser, étendre, élever, faire aller, conduire.
                Il faut porter cette haie encore plus loin.
                La tempête porta le navire contre un écueil.
          13. v. (Figuré) Transporter, transmettre, pousser, étendre, élever.
                Il a porté dans ces contrées quelques-uns des arts de l'Europe.
                Il porta la guerre dans l'Asie.
                Il a porté le fer et la flamme dans cette province.
          14. v. Inscrire ; enregistrer.
                Porter un article sur un registre, sur un livre de comptes.
          15. v. Indiquer.
                Mais je m'écarte de l'histoire Hapley-Pawkins.
          16. v. (Droit) Soumettre à une juridiction, à un examen, à un jugement.
                La cause sera portée à l'audience.
                Je porte à votre connaissance qu'une vacance s'est produite dans cette administration.
          17. v. Induire ; exciter à quelque chose.
                Les heures du soir portent à la mélancolie.
          18. v. Être en grossesse, en parlant des femmes ; être gravide en parlant des femelles des animaux.
          19. v. Produire, en parlant de la terre, des arbres, etc.
                Un arbre qui porte de beaux fruits.
                Cette somme porte intérêt.
          20. v. Causer, produire, amener.
                Toute bonne action porte avec soi sa récompense.
          21. v. Manifester, montrer, en parlant de l'esprit, du caractère.
                Il porte en toutes choses un grand esprit de justice.
          22. v. Avoir, présenter, offrir.
                Il porte la tristesse peinte sur son visage.
                Il porte en lui le germe des plus heureuses qualités.
                Ce monument porte telle inscription.
          23. v. (Héraldique) Afficher.
                Il porte d'azur au lion d'argent.
          24. v. Déclarer, dire ou exprimer, en parlant d'actes publics, de lettres et d'autres écrits.
                L'ordonnance porte que…. — L'arrêt porte condamnation. — Il est porté par le contrat que… — Les peines portées par la loi.
          25. v. Poser, être soutenu.
                Une poutre qui porte sur la muraille.
                Tout l'édifice porte sur ces colonnes.
          26. v. (Figuré) Peser.
                La perte dans ce combat a porté principalement sur ce corps d'armée, c'est lui qui a principalement souffert, et qui a perdu le plus de soldats.
          27. v. (Figuré) Concerner, avoir pour objet.
                Cette observation, cette critique, cette objection porte sur telle chose, etc.
                Cet examen porte sur la géographie.
          28. v. (Marine) Se diriger vers.
                Porter au sud. — Porter au large, porter à terre.
          29. v. Atteindre ; en parlant des armes à feu et des armes de jet, ainsi que de leurs projectiles.
          30. v. (Figuré) Faire impression ; être décisif, atteindre son but.
                Son discours a porté. — Cette objection ne porte pas.
          31. v. Parcourir une distance, en parlant du son, du regard, du vent, etc.
                Sa vue porte loin.
                Le bruit de la fusillade portait à deux kilomètres.
                Quand le vent porte, le bruit des cloches du village voisin vient jusqu'ici.
          32. v. (Pétanque) Lancer très haut de sorte qu'elle s'immobilise rapidement après sa retombée au sol, en parlant d'une boule.
                Porter une boule demande une grande maitrise.
          33. v. (Informatique) Faire fonctionner un logiciel, ou une fonctionnalité d'un logiciel, dans un autre contexte que le contexte initial (par exemple, sur un autre type de machine).
                Cette fonctionnalité devra être portée sur notre SAAS, qui devra à terme remplacer l'application de bureau existante.
                Ce programme n'a pas encore été porté pour Windows 64 bits.
                Une petite équipe est en train de porter cette application sur linux.
          34. v. (Pronominal) Aller ; se transporter.
                La foule se porte à tel endroit.
                Cette pièce réussit, la foule s'y porte, on s'y porte en foule.
          35. v. (Pronominal) (familier) Affluer, se diriger, en parlant de diverses choses.
                Le sang s'est porté à la tête. — Tout le poids se porte de ce côté.
                La curiosité, l'intérêt se portait principalement sur lui.
          36. v. (Pronominal) (vieilli) En parlant de la disposition de l'esprit, de l'inclination, de la pente qu'on a à faire quelque chose.
                C'est un jeune homme qui se porte au bien.
                Il s'est porté à cela de lui-même.
                Il se porte avec ardeur à tout ce qu'il fait.
                Il se porte au mal.
          37. v. (Pronominal) (vieilli) Se présenter comme candidat à un poste électif.
                Il se porte dans le premier arrondissement.
          38. v. (Pronominal) (droit) Se présenter en justice.
                Se porter partie civile contre quelqu'un.
                Se porter héritier, pour héritier.
          39. v. (Pronominal) (médecine) Être dans quelque état de santé.
                (figuré) — Ses affaires ne s'en portent pas plus mal.
          40. v. (Pronominal) Être objet de mode, comme vêtement ou comme parure.
                Cette étoffe ne se porte plus.
                Les pendants d'oreille se portent moins aujourd'hui qu'autrefois.
          41. n-m. (Bières) Type de bière anglaise de couleur noire opaque.
à
     1. prep. Introduit un complément circonstanciel de lieu.
           avec déplacement vers l'endroit cité
           Je vais à la plage.
           Arriver à bord.
           Il vient à nous.
           Tournez à droite, puis à gauche.
           J'irai jusqu'à tel endroit.
           La route de Paris à Versailles.
           sans déplacement
           Mettre pied à terre.
           Conseiller à la Cour de cassation.
           Avocat à la Cour d'appel de Paris.
           Travailler à la mairie.
     2. prep. Introduit un complément circonstanciel indiquant la provenance.
           Puiser de l'eau à une fontaine.
           Prendre à un tas.
           La poésie grecque commence à Homère.
     3. prep. Introduit un complément circonstanciel de temps.
           Les cloches sonnent à midi.
           À ma mort, il héritera de cette maison.
           À la troisième sommation, ils se retirèrent.
           Louer à l'année.
           À bientôt.
     4. prep. Introduit un complément circonstanciel de manière.
           Ils sont partis à l'anglaise.
           Aller à la débandade.
           À la hâte.
           À l'improviste.
           À merveille.
           À la légère.
           À la diable.
     5. prep. Introduit un complément circonstanciel de moyen, et peut se remplacer par « au moyen de ».
           Pêcher à la ligne.
           Jouer à la paume.
           Se battre à l'épée, au pistolet.
           Mesurer à l'aune, au mètre.
           Dessiner à la plume.
           Tracer au crayon, au compas.
           Travailler à l'aiguille. On dit de même par ellipse Des bas à l'aiguille, au métier, etc.
     6. prep. Introduit un complément circonstanciel d'agent. Dans ce cas, à équivaut à par ou de.
     7. prep. Introduit un complément d'attribution.
           Ce livre est à moi.
           Cette ferme appartient à mon père.
           Rendez à César ce qui est à César.
           Il a un style, une manière bien à lui.
           Donner une bague à quelqu'un.
           J'ai prêté ce livre à mon frère.
           Enseigner la géographie à un enfant.
     8. prep. Introduit un complément d'objet indirect.
           Écrire à son ami.
           Obéir à la loi.
           Il demande à sortir.
     9. prep. Suivi d'un nombre, indique une action faite conjointement par plusieurs personnes.
           Louer une maison à trois.
           Être à deux de jeu.
     10. prep. Introduit un complément du nom
           indiquant la destination ou l'usage.
           Moulin à farine.
           Pot à eau.
           Maison à vendre.
           Chambre à coucher.
           Vache à lait.
           Prendre quelqu'un à témoin.
           indiquant l'accompagnement, et peut se remplacer par « avec ».
           Table à tiroir.
           Canne à épée.
           Voiture à deux roues.
           Clou à crochet.
           indiquant la possession
           devant un pronom.
           C'est un ami à moi.
           familièrement, devant un nom. En langage plus soutenu, on utilise la préposition de.
           Ça, c'est la maison à mon père.
           Tu vois qui c'est, la sœur à Marion ?
           La femme au cordonnier, elle m'a acheté dix litres de lait aujourd'hui.
     11. prep. Introduit une locution adverbiale
           comme synonyme de selon, suivant.
           À mon gré.
           À sa fantaisie.
           À sa manière.
           À mon choix.
           À votre avis.
           À ma gauche.
           À leur jugement.
           Chapeau à la mode.
           Habit à ma taille.
           Parler à son tour.
           Marcher à son rang.
           À la rigueur, on pourrait admettre cette opinion.
           À votre compte, je serais votre débiteur.
           À ce que je crois, vous voulez partir.
           Boire à sa soif.
           Manger à sa faim.
           Dieu fit l'homme à son image.
           Il voulut, à l'exemple de son père… à la vérité, à plus forte raison, etc.
           pour indiquer un prix.
           Dîner à trente francs par tête.
           Emprunter à gros intérêts.
           Placer ses fonds à cinq pour cent.
           Les places sont à dix francs.
Ma
     1. n. Nom de famille chinois.
     2. adj-f. Déterminant au féminin singulier (adjectif possessif) indiquant une relation de dépendance au locuteur je.
           Je rentre dans ma patrie. J'ai du bon tabac dans ma tabatière.
           Ma bière est presque finie ; mais il reste de la saucisse pour dix.
bouche
     1. n-f. (Anatomie) Ouverture à travers laquelle un humain ou un animal fait entrer sa nourriture.
     2. n-f. (Œnologie) Étape dans l'analyse sensorielle et la dégustation du vin.
     3. n-f. (En particulier) Cet orifice considéré comme organe de la voix et de la parole.
           Je l'ai appris de sa propre bouche. — Il n'ouvrit pas la bouche de toute la soirée.
     4. n-f. Personne, par allusion à la nourriture qu'elle consomme.
           Il a tous les jours dix bouches à nourrir.
           Les vivres commençant à manquer, on en fit sortir toutes les bouches inutiles, qui consommaient une partie des vivres sans être capables de contribuer à la défense.
     5. n-f. Nourriture.
           Faire bonne bouche.
           Service, officier de la bouche du roi : service, officier chargés autrefois de tout ce qui concernait les repas du roi et de sa famille.
     6. n-f. (Au pluriel) (Par analogie) (Géographie) Élargissement d'un cours d'eau lorsqu'il se joint à une mer.
     7. n-f. (Au pluriel) (Par analogie) (Géographie) Détroit.
     8. n-f. (Par analogie) Cavité plus ou moins large servant d'accès pour entrer ou sortir.
           (France) Une bouche de métro.
           Une bouche d'aération.
     9. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de boucher.
     10. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de boucher.
     11. v. Première personne du singulier du subjonctif présent de boucher.
     12. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de boucher.
     13. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de boucher.
     boucher
          1. v. Fermer une ouverture ou ce qui présente une ouverture.
                Boucher un trou.
                L'ouverture s'est tout à fait bouchée.
                Boucher les vues d'une maison, murer celles de ses fenêtres qui voient de trop près sur une propriété voisine, contrairement à la coutume, à la loi.
                On l'a obligé à boucher ses vues.
                Boucher la vue d'un objet, empêcher de l'apercevoir.
          2. v. (Figuré) Payer quelque dette et dédommager de quelque perte avec une somme d'argent.
                Boucher un trou.
          3. v. (Pronominal) Se fermer.
                Se boucher les yeux, ne vouloir point voir.
                Se boucher les oreilles, ne vouloir point écouter.
                Se boucher le nez.
          4. n-m. Commerçant qui vend de la viande (bœuf, mouton, etc.).
          5. n-m. (Figuré) Homme cruel et sanguinaire.
                C'est un boucher, un vrai boucher.
          6. adj-m. Relatif à la boucherie.
Me
     1. n. Abréviation de maître. Titre désignant un avocat, un huissier ou un notaire.
     2. adj. (Rare) Millième.
     3. n. Pronom de la première personne du singulier en tant que complément d'objet direct.
     4. n. De même en tant que complément d'objet indirect ; signifiant à moi en général.
           Ça me paraît logique.
           Il doit me donner des cours.
souleva
     1. v. Troisième personne du singulier du passé simple de soulever.
     soulever
          1. v. Lever à une faible hauteur.
                (figuré) Comment soulever le voile qui nous cache l'avenir ?
          2. v. Faire lever ; mouvoir.
          3. v. (Figuré) Exciter à la rébellion, à la révolte.
          4. v. (Figuré) (prnl) Se rebeller ; se révolter.
                Lyon, qui tient plus à la propriété qu'à la vie, s'était soulevé, non contre la République, mais contre les spoliateurs et les bourreaux. (Lamartine, Jacquard)
          5. v. (Figuré) Exciter des sentiments d'irritation contre quelqu'un.
                Ce succès souleva tous ses rivaux contre lui.
          6. v. (Figuré) Exciter l'indignation.
                Cette proposition souleva toute l'assemblée. Tout le monde s'est soulevé contre un projet si hardi.
          7. v. Exciter, provoquer.
                Soulever l'indignation, l'enthousiasme. Soulever une discussion. Soulever des difficultés.
          8. v. (Argot) Dérober, prendre avec adresse ce qui est à autrui.
          9. v. (Droit) Avancer un argument, s'appuyer dessus.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
coeur
     cœur
          1. n-m. (Anatomie) Organe musculaire, creux et pulsatile assurant la circulation sanguine dans le corps humain ou animal.
          2. n-m. (En particulier) Organe considéré comme susceptible de mouvements causés par les passions.
          3. n-m. Être aimant et aimé.
          4. n-m. Partie de la poitrine où les battements du cœur se font sentir.
                Il le pressa, il le serra tendrement contre son cœur. - Mettre la main sur son cœur.
          5. n-m. (Familier) Estomac.
                Mal de cœur. - Il a mal au cœur. - Il a le cœur barbouillé. - Cela lui fait mal au cœur. - Il est sujet à des maux de cœur. - Cela lui fait soulever le cœur.
          6. n-m. (Figuré) Organe considéré comme le siège de la sensibilité morale, des sentiments et des passions.
                (En particulier) Quant à la tendresse, l'amour et l'affection.
                (En particulier) Quant aux qualités morales liées à la compassion, vertu, générosité.
          7. n-m. (Vieilli) Courage ; fermeté d'âme ; constance.
          8. n-m. Personnage qui possède ces qualités de courage, de vaillance, etc.
          9. n-m. (Figuré) Centre de l'affectivité par opposition à la raison, à l'esprit.
          10. n-m. Pensée intime, dispositions de l'âme.
                Le langage du cœur. - Son cœur a parlé. - Son cœur démentait sa bouche.
                Quand il vous offre ses services, on sent que cela sort du cœur, vient du cœur, part du cœur.
          11. n-m. (Familier) Sujet des affections de quelqu'un.
                Ça va comme tu veux, mon cœur ?
          12. n-m. Ce qui rappelle la forme de l'organe.
                Une croix d'or surmontée d'un cœur. - Une feuille en cœur, des pétales en cœur, etc.
          13. n-m. (Région) Bigarreau.
          14. n-m. (Cartes) L'une des quatre enseignes d'un jeu de cartes, dans la tradition franco-anglaise. — (note) Le symbole du cœur est un triangle, pointe en bas, surmonté de 2 demi-cercles. Ce symbole est toujours rouge (♥).
          15. n-m. (Par analogie) Milieu de quelque chose, particulièrement d'un état ou d'une ville, centre, parfois symbolique, d'un objet, d'un endroit.
                Cette pomme, cette poire est gâtée dans le cœur. - Le cœur de cet ananas est gâté. - Le cœur d'une laitue. - Les cœurs de céleri sont tendres.
          16. n-m.
                Armoiries avec 3 cœurs (sens héraldique a) (Héraldique) Meuble représentant un cœur stylisé (cardioïde) dans les armoiries. À rapprocher de cœur vendéen.
                D'azur à une étoile d'argent accompagnée de trois cœurs d'or, qui est de la commune de Condat-sur-Gavaneix de Corrèze → voir illustration « armoiries avec 3 cœurs »
                Porte en cœur (sens héraldique b) (héraldique) Centre de l'écu. Voir en cœur.
                Gironné de gueules et d'argent de douze pièces, à la porte de fort d'or brochant en cœur, qui est de la commune d'Eix de la Meuse → voir illustration « porte en cœur »
          17. n-m. (Sylviculture) Partie centrale du corps ligneux des arbres.
                Du cœur de chêne, de poirier, de cormier, etc. - Une table faite de cœur de noyer.
          18. n-m. (Technologie des réacteurs) Partie d'un réacteur nucléaire à fission dans laquelle est placé le combustible nucléaire et qui est agencée de manière à permettre une réaction de fission en chaîne.
          19. n-m. (Technologie des réacteurs) Quantité de combustible nucléaire située dans cette partie du réacteur.
          20. n-m. (Composants) Cœur de processeur.
                Processeur multi-cœur : processeur contenant plusieurs cœurs qui fonctionnent en parallèle.
          21. n-m. (Ferro) Partie d'un aiguillage où se croisent deux rails.
          22. n-m. (Horlogerie) Dispositif en forme de cœur, inventé en 1862 par le suisse Adolphe Nicole et permettant aux chronographes de remettre rapidement l'aiguille à zéro d'une seule pression.
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