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Analyseur de phrases françaises

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les
     1. art. Pluriel de le ou la.
     2. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
           Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
médecins
     1. n-m. Pluriel de médecin.
     médecin
          1. n. Personne qui a un diplôme de docteur en médecine. Professionnel de santé chargé de guérir et soigner les maladies, les pathologies, les blessures, etc.
          2. n. (En particulier) Dans l'armée française, premier grade militaire conféré aux médecins diplômés officiers du Corps de Santé des Armées, à l'issue de leur internat.
          3. n. Remède ; ce qui soigne.
                C'est le chabrol qui ravigote
          4. n. Guérisseur.
                En certains cas, le médecin de l'âme est plus nécessaire que le médecin du corps.
                Le temps est un grand médecin.
désespèrent
     1. v. Troisième personne du pluriel du présent de l'indicatif de désespérer.
     2. v. Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif de désespérer.
     désespérer
          1. v. Perdre l'espoir de quelque chose.
                (absolument) On désespère alors qu'on espère toujours.
          2. v. Ne plus espérer une amélioration, un amendement, une bonne fin, en parlant d'une personne.
                Je désespère de cet enfant, il est vraiment incorrigible.
                Les médecins désespèrent de ce malade et n'espèrent plus sa guérison.
          3. v. Mettre, pousser au désespoir.
                Il ne faut pas désespérer un peuple.
                Cela me désespère.
                Vous me désespérez par vos rigueurs.
                Cet enfant me désespère, il ne fait aucun progrès.
          4. v. Se tourmenter, s'agiter avec de grandes démonstrations de douleur, d'affliction.
                Il vient d'apprendre la maladie de son fils, il se désespère.
                Pourquoi tant vous désespérer ?
                Ne vous désespérez pas!
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
Ce
     1. adj. (Rare) Centième.
     2. adj. Déterminant utilisé pour mettre en évidence une chose ou une personne dont on a la représentation devant soi. Lorsque l'objet est en nombre multiple ou lorsqu'on veut appuyer encore plus sur ce qu'on veut montrer, on rajoute -ci ou -là (selon la dis
           Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n'y a qu'un seul chien)
           Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
           Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l'autre chien, le plus éloigné)
           Je vais prendre ce chemin.
           Je me suis adressé à cet homme.
           Cette femme est mère de trois enfants.
           Ces livres sont intéressants.
           Il est impossible de sortir par ce temps-là.
     3. adj. Lorsqu'on veut mettre en évidence un objet ou une personne en rapport avec un(e) autre, on utilise les adverbes -ci et -là après chaque nom (bien que l'usage tende à utiliser les pronoms celui-là, celle-là, ceux-là ou celles-là cela pour éviter la r
           Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
           Plutôt que d'acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
     4. adj. Dans les expressions où ce est utilisé avec un nom indiquant une période, le -ci représente le présent, alors que le -là représente le passé (la distance devient temporelle).
           Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
           Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
           Qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
           Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
           — Je suis passé vers dix heures hier soir.
     5. adj. On l'utilise également pour reprendre l'objet ou la personne décrit dans la phrase précédente.
           La semaine dernière, j'ai lu L'Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
           Je cherche depuis tout à l'heure un marteau. J'ai vraiment besoin de cet outil.
     6. n. Utilisé en tant que pronom démonstratif neutre et impersonnel, notamment avec des verbes comme être, devoir ou pouvoir, référant à la situation actuelle, à la phrase précédente ou à n'importe quelle chose qui n'est pas encore exprimée.
           Ce serait le comble qu'il ne vienne pas !
           C'est mon anniversaire aujourd'hui.
           Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
           Ça sonne ! Ce doit être lui !
           Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
           Sur ce, au revoir !
           Ç'avait été plus intéressant qu'on ne l'avait imaginé.
     7. n. Dans les locutions conjonctives ce que, ce qui, ce dont, ce sur quoi, il sert à représenter une idée ou une action dont il a été question plus tôt.
           Les hirondelles s'envolent, ce qui montre que l'hiver n'est pas loin.
           Ce que je voulais dire, c'est que tu dois t'en occuper au plus vite.
           C'est exactement ce dont j'avais besoin.
           Le temps, c'est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
     8. n. Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
           Le temps, c'est de l'argent.
     9. n. (C'est … ; c'est … qui … ; c'est … que …) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
     10. n. (C'est … qui …) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
           — Qu'est-ce qui se passe ?
     11. n-f. (Vieilli) Abréviation de case.
malade
     1. adj. Dont la santé est altérée.
     2. adj. Se dit aussi des choses.
           Ne touchez pas son bras malade.
           Ces plantes, ces arbres sont malades.
     3. adj. (Familier) Fou, dérangé.
           Mais il est malade ce type !
     4. adj. (Familier) Génial, excellent, qui sort de l'ordinaire.
           Je suis allé voir un concert hier, c'était malade.
           Hein, c'est malade comme idée, il faut absolument qu'on le fasse un jour.
     5. n. Personne en mauvaise santé.
     6. n. (Familier) Quelqu'un de fou, de dingue, de dérangé.
et
     1. conj. Concatène plusieurs concepts dans une même relation. Plusieurs adjectifs peuvent partager le même nom, et plusieurs préfixes peuvent partager le même radical.
           Pierre et Paul vont au marché.
     2. conj. (Logique) Indique une simultanéité de caractéristiques. Énonce la véracité de tous les éléments qu'il relie, indépendamment de l'ordre dans lequel ils sont énoncés.
           Un oiseau est un animal ailé et ovipare.
           Ses yeux sont bruns et le ciel est bleu.
           Le ciel est bleu et ses yeux sont bruns.
           Je n'aime une personne que si elle est cultivée et sympathique et drôle et généreuse.
     3. conj. À la suite de quoi, après quoi. (note) Énonce l'induction entre deux événements, l'ordre ayant une importance.
     4. conj. Il est quelquefois emphatique, au commencement des phrases.
           Et voilà que tout d'un coup…
           Et ainsi, vous osez me dire…
     5. conj. A souvent le sens de mais.
           Il plie et ne rompt pas.
Ne
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Gênes dans la région de Ligurie.
     2. art. Négation. Première partie d'un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d'un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archa
           Je ne mange pas.
           Je n'en peux plus.
           Je n'y vois goutte.
     3. art. Devant un verbe à l'infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
           Ne pas se pencher au dehors.
     4. art. Il s'emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
           Il ne sait rien.
           Personne n'est venu.
           Aucun de nous n'y a pensé.
           Il ne dit jamais la vérité.
           Cette mère ne s'occupe guère de ses enfants.
     5. art. Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
           Nul ne s'en doute.
           Il n'a nul souci.
           Ni l'or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
     6. art. L'ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
           Que personne ne bouge.
     7. art. S'emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
           Il n'est pas d'homme qui ne désire être heureux.
           Y a-t-il quelqu'un dont il ne médise ?
     8. art. Il peut aussi s'employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
           Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
           Je n'ose (soutenu) (pour : J'oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n'ose pas)
           Je n'ose vous promettre. (pour : Je n'ose pas vous promettre.)
           Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
           Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
     9. art. Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
           N'importe ! (locution figée pour : Cela n'importe pas !)
           N'aie crainte. (locution figée pour : N'aie aucune crainte.)
           Qu'à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu'à cela !)
           Il ne dit mot. (soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
           N'en avoir cure. (soutenu) (locution verbale figée pour : 'N'en avoir aucune cure.)
           N'en pouvoir mais. (vieilli) (locution verbale figée pour : N'en plus pouvoir.)
           À Dieu ne plaise! (vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
     10. art. Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n'a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
     11. art. (Vieilli) S'emploie encore (de façon aujourd'hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
           Après les verbes qui expriment la crainte.
           Je crains qu'il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu'il ne vienne pas.)
           Je redoute qu'il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu'il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
           Après le verbe empêcher.
           Empêche qu'il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu'il tombe.)
           Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
           Il est plus riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi pauvre qu'on le croit.)
           Il est moins riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi riche qu'on le croit.)
           Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
           C'est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
           Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
           Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
           Vous n'avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
espèrent
     1. v. Troisième personne du pluriel du présent de l'indicatif de espérer.
     2. v. Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif de espérer.
     espérer
          1. v. (Vieilli) (Soutenu) ou (Acadie) et (Poitevin-Saintongeais) (transitif) Attendre la venue de quelqu'un.
                Nous vous espérons demain à la maison pour le diner.
          2. v. (Absol) (Religion) Attendre les bienfaits divins.
          3. v. Considérer l'objet de son souhait comme réalisable.
plus
     1. v. Comparatif de beaucoup. On peut l'utiliser avec que.
           Ne m'en dites pas plus. — Vous n'offrez pas assez, donnez quelque chose de plus.
     2. v. (Avec de) Comparatif de beaucoup de. Davantage de. On peut l'utiliser avec que.
           Il y a plus de gens qu'hier.
     3. v. (Avec un adjectif ou un adverbe) Indique le comparatif d'un adjectif ou d'un adverbe. Davantage. On peut l'utiliser avec que.
     4. v. (Avec le) Superlatif de beaucoup, comme un adverbe pour le verbe. Le premier en quantité ou en intensité.
           Les livres que j'ai le plus aimés.
     5. v. (Avec un déterminant défini comme le, mon, etc., et avec un adjectif ou un adverbe) Indique le superlatif d'un adjectif ou d'un adverbe. Le premier en cette qualité, ou au pluriel, du premier à un certain rang. (usage) L'adverbe prend toujours la fo
           Il est l'homme le plus grand du monde.
           Ma plus belle histoire d'amour.
           Les trois pays les plus peuplés du monde sont la Chine, l'Inde et les États-Unis.
           Paris est l'une des plus belles villes du monde.
           Elle court le plus vite de ma classe.
     6. v. Employé avec répétition, ou avec moins pour indiquer une relation proportionnelle.
           Puis, en grosses lettres, cette phrase : « Plus il y aura d'acheteurs de blé, meuniers ou négociants, plus les agriculteurs vendront le leur facilement et cher. »
     7. v. Avec la négation, il sert à marquer la cessation d'une action ou d'un état, la privation d'un bien. Cela provient de l'expression euphémique ancienne « pas plus » (l'équivalent du "nicht mehr" allemand).
           Je n'y pense plus. — Il n'a plus envie d'y retourner.
     8. v. (Par ellipse) (Avec de) Il n'y a plus, il ne faut plus.
           Plus de crainte, tout est fini !
     9. v. (Vieux) Sans négation, dans le corps de la phrase, il s'emploie dans le sens d'encore, davantage, désormais.
           Il leur défendit d'y plus songer.
     10. conj. (Mathématiques) Somme des nombres précédent et suivant.
           Un plus un égale deux.
     11. conj. (Familier) Outre cela, et ; c'est alors une sorte de formule dont on se sert dans les inventaires, dans les états de compte, de recette.
           Plus un lit en bois.
     12. n-m. (Mathématiques) +. Signe en forme de croix. Symbole de l'addition et signe positif.
           Un plus et un moins.
     13. n-m. Avantage.
           Ce stage est un plus pour votre CV.
     14. n-m. La plus grande quantité, le maximum.
           C'est le plus que je puisse faire.
           Le plus que vous en pourrez espérer, c'est une réponse évasive.
     15. n-m. (Familier) Borne positive d'un circuit électrique ou d'une pile.
           Le vendeur m'a dit de connecter le fil rouge au plus de la batterie.
     16. v. Première personne du singulier du passé simple de plaire.
     17. v. Deuxième personne du singulier du passé simple de plaire.
Sa
     1. n. Nom de famille.
     2. adj. Déterminant utilisé pour rendre l'idée de possession d'un objet ayant un rapport avec la personne dont on parle.
           Tu as vu sa jupe ?
           A-t-il pensé à prendre sa clé ?
     3. n. Langue océanienne parlée au Vanuatu dans le sud de l'île de Pentecôte, qui a pour code ISO 639-3 sax.
guérison
     1. n-f. Action de guérir.
           Guérison entière, parfaite, imparfaite.
           Il doit sa guérison à tel médecin, à tel remède.
           Il ne pourra partir qu'après sa guérison, qu'après guérison.
           La guérison de ces sortes de maux, de maladies est lente, est difficile.
           Ce sont les machines qui, littéralement, enfantent notre monde. Et qui, de cet enfantement, permettent l'émergence d'un nouvel écosystème, d'une nouvelle espèce : depuis un peu moins d'un siècle, vous, moi, tous ceux qui lisent ce livre, doive
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire