Trouver un tuteur en ligne


Lexis Rex - Accueil

Trouver un tuteur en ligne






Analyseur de phrases françaises

Utilisez cette page pour analyser et apprendre du texte en français. Vous pouvez copier du texte dans le champ ci-dessous ou obtenir une phrase prise au hasard dans notre base de données. Cliquez sur le bouton Analyser pour avoir la traduction du texte et des mots.




les
     1. art. Pluriel de le ou la.
     2. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
           Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
élastiques
     1. n-m. Pluriel de élastique.
     2. adj. Pluriel de élastique.
     élastique
          1. adj. Qui peut se déformer temporairement sous l'action d'une force puis retrouver sa forme initiale au repos.
                Un corps élastique.
                Les gaz sont très élastiques.
                Des bretelles élastiques.
                Une balle élastique.
                Une déformation élastique.
          2. adj. (Figuré) Pour exprimer un manque de fermeté morale.
                Il a la conscience élastique.
          3. n-f. Bande en caoutchouc, souvent circulaire.
          4. n-f. (Hippisme) Longue bande élastique servant à lancer le départ de certaines courses hippiques.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
tes
     1. adj. Pluriel de ton, ta.
           J'aime beaucoup tes copains
           As-tu pensé à prendre tes clés.
chaussettes
     1. n-f. Pluriel de chaussette.
     chaussette
          1. n-f. (Habillement) Bas qui s'arrête à mi-jambe, qui se porte à l'intérieur d'une chaussure.
          2. n-f. (Par analogie) Partie inférieure de la patte d'un quadrupède lorsque la coloration de son pelage est différente à cet endroit.
                Mon chat est blanc avec des chaussettes et des lunettes noires.
          3. n-f. (Désuet) Bas que l'on mettait sous d'autres bas. Sorte de bas sans pied.
          4. n-f. (Cuisine) (Vieilli) Sorte de tube fermé en tissu, qui servait à filtrer le café.
          5. n-f. (Technologie des réacteurs) Tube étanche fermé à une extrémité permettant d'introduire un objet dans un milieu, sans contact direct.
          6. n-f. (Pêche à la mouche) Segment de tresse servant à la jonction de la soie et du backing.
sont
     1. v. Troisième personne du pluriel de l'indicatif présent de être.
     être
          1. v. Définir un état, une caractéristique du sujet. (note) En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu'il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, ex
                Je suis petit et barbu.
                Est-il malade ?
                Cet homme est président de ce pays depuis quatre ans.
                L'eau nous est indispensable.
                — D'où est-il ?
          2. v. Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
                Nous sommes en ville.
          3. v. (Absolument) Exister.
                Être, ou ne pas être, c'est là la question.
                Il n'est plus, il est mort.
          4. v. (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
                Il est des hommes que la résistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage.
                Il est, près de ces lieux, une retraite ignorée.
          5. v. (Impersonnel) Le moment de la journée. (note) Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C'est quelle heure ?
                — Quelle heure est-il ?
                Il est l'heure de partir.
                Il est tard.
          6. v. Le jour de la semaine ou la date du moment.
                — Quel jour sommes-nous ?
                Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
          7. v. (Familier) Aller, se rendre. (note) Avec l'auxiliaire avoir.
                Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
          8. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d'état et tous les verbes réflexifs.
                Il est passé.
                Il est tombé.
                Il s'est trompé.
          9. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
                Quand il sera aimé.
          10. v. (Construit avec sur ou dessus) S'occuper d'une affaire particulière, s'en occuper.
          11. n-m. Existence, c'est-à-dire le fait d'exister, au sens abstrait.
          12. n-m. Organisme, créature vivante.
          13. n-m. Personnalité ; âme.
          14. n-m. (Plus rare) Ce qui constitue une chose.
relâchés
     1. adj. Masculin pluriel de relâché.
     2. v. Participe passé masculin pluriel de relâcher.
     relâché
          1. adj. Distendu, ayant perdu son ressort, sa tenue.
                Les élastiques de tes chaussettes sont relâchés; elles te tombent sur les chevilles !
          2. adj. (Figuré) Être détendu, sans pression.
                J'aime ce temps relâché, plein de tranquillité, pour avoir de longues conversations avec mes enfants.
          3. adj. (Figuré) Relatif au relâchement des mœurs, des devoirs de la religion, de la conduite.
                Cependant les idées de l'époque étaient si relâchées, à l'endroit du clergé, soit monastique, soit séculier, que le prieur Aymer jouissait d'une réputation assez honnête dans le
          4. v. Participe passé masculin singulier de relâcher.
elles
     1. n. Pronom clitique de la troisième personne du pluriel féminin sujet, pour parler d'un groupe de femmes, d'animaux ou de choses grammaticalement féminines.
           J'ai retrouvé tes sœurs ; elles étaient dans la chambre.
           J'ai retrouvé les fleurs ; elles étaient dans la chambre.
     2. n. Pronom tonique de la troisième personne du pluriel féminin.
           Elles, elles n'ont rien fait !
           J'ai fait cela pour elles.
     3. n. (Après un sujet féminin pluriel) Quant à elles par contre.
te
     1. n. Pronom à la deuxième personne du singulier, utilisé pour désigner celui à qui l'on parle, en tant que complément d'objet direct ou indirect.
           Je te laisse, je n'ai pas le temps. / Je t'envie. (COD)
           Je te donne tout ce que tu veux / Il t'en veut beaucoup. (COI)
     2. n. Te se place toujours devant le verbe dont il est le complément.
           Je te répète depuis longtemps que …
     3. n. Te se place aussi avant en et y :
           Tu ne t'en occupes pas suffisamment.
           Tu devais t'y attendre un peu.
     4. n. Te, complément d'objet indirect, se place avant le complément d'objet direct lorsqu'il est présent :
           Je te l'avais dit !
           Tiens, je te les donne.
     5. n. Dans un style archaïsant, te se prépose à un impératif dont il est le complément d'objet direct (syntaxe moderne: enivre-toi) :
     6. n. Te ne se place après le verbe que lorsque le verbe est à l'impératif dans une proposition affirmative, et que de plus il est accompagné de en :
           Forme affirmative : Occupe-t'en un peu ! (par contre, on ne dit jamais prépare-t'y, c'est incorrect ; on dit plutôt : prépare-toi à ça).
           Forme négative : Ne t'en occupe pas !
tombent
     1. v. Troisième personne du pluriel du présent de l'indicatif de tomber.
     2. v. Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif de tomber.
     tomber
          1. v. Être entraîné en bas par son poids.
          2. v. (Figuré) Descendre rapidement.
          3. v. Perdre son équilibre ; être renversé ou abattu.
                Tomber à terre, par terre ; tomber dans l'eau ; tomber dans un fossé.
                Tomber de son haut, de toute sa hauteur ; tomber tout à plat, tout de son long.
                Tomber sur les genoux ; tomber à la renverse.
                Tomber d'une fenêtre, par la fenêtre.
                Tomber de cheval.
                Il tomba percé de coups.
                Il a failli tomber ; il a voulu courir et il est tombé.
                Elle releva son enfant qui était tombé.
                Cet homme est tombé les quatre fers en l'air : Il est tombé à la renverse.
                La chaise tomba par terre.
                Tomber aux pieds, aux genoux de quelqu'un : S'y jeter. (figuré) S'abaisser devant lui aux plus humbles supplications.
          4. v. Tendre vers le bas, de l'autre côté.
                Sa robe tombe bien.
                (figuré) Laisser tomber sur quelqu'un un regard de pitié, de dédain, etc. : Le regarder avec pitié, avec dédain, etc.
          5. v. (Figuré) Surprendre, être extrêmement surpris de quelque chose, dans les expressions :
                Tomber de haut.
                Quand je vois cela, je tombe de mon haut.
                Les bras m'en tombent, m'en sont tombés : Ma surprise fut si grande que je demeurai comme paralysé.
                Tomber du ciel : Survenir à l'improviste.
                Cet homme est tombé du ciel pour nous venir en aide.
                Ce secours nous est tombé du ciel.
                Tomber des nues.
          6. v. Se détacher.
                Toutes ses dents sont tombées ; ses cheveux tombent.
                Ce fruit est tombé ; les feuilles commencent à tomber.
                (figuré) Mes illusions sont tombées une à une.
                Faire tomber la tête de quelqu'un : Le décapiter ; sa tête tomba sur l'échafaud.
                (figuré) Faire tomber les armes des mains : Fléchir quelqu'un, l'apaiser.
                Les soumissions de ses ennemis lui firent tomber les armes des mains.
                (figuré) Faire tomber la plume des mains : Décourager quelqu'un, le dégoûter d'écrire, faire qu'il s'interrompe tandis qu'il écrit.
                Cette funeste nouvelle m'a fait tomber la plume des mains.
          7. v. (Figuré) Se jeter, se précipiter, fondre sur quelqu'un, sur quelque chose, le charger, l'attaquer vigoureusement.
                Il tomba sur lui avec fureur et le frappa.
                Ils sont tombés l'un sur l'autre avec impétuosité, à bras raccourcis.
                Les ennemis, qui étaient en embuscade, tombèrent sur la patrouille.
                Six vaisseaux de guerre tombèrent tout à coup sur une flotte de navires marchands.
                (figuré) Tomber sur quelqu'un : Dire de quelqu'un des choses dures et désobligeantes.
          8. v. (Figuré) Découvrir par hasard, fortuitement
          9. v. Arriver inopinément.
                Cela m'est tombé sous les yeux : Je l'ai vu par hasard.
                Tomber bien : Arriver au bon moment, rencontrer heureusement.
                Vous tombez bien : j'ai justement quelque chose à vous dire.
                Tomber sur les bras de quelqu'un : Se trouver inopinément à sa charge.
                Si, en rangeant votre bibliothèque, ce volume vous tombe sous la main, je vous prie de le mettre à part.
          10. v. Se trouver fortuitement, subitement dans une situation désavantageuse, dans une position fâcheuse.
                Tomber entre les mains des ennemis, au pouvoir de l'ennemi.
                Tomber dans une embuscade, dans un piège. — Ces navires marchands tombèrent dans une flotte de vaisseaux ennemis.
                Il tomba au milieu de gens qui lui étaient inconnus.
                (figuré) Tomber sous la main de quelqu'un : Se trouver sous sa dépendance, à portée de sa colère, de son ressentiment.
                S'il tombe jamais sous ma main, il se repentira de m'avoir offensé.
          11. v. Devenir, en parlant d'un état physique ou moral, le plus souvent fâcheux, où l'on se trouve plus ou moins brusquement.
                Tomber en défaillance, en démence, en syncope.
                Tomber en pâmoison, en langueur, en enfance, en léthargie.
                Tomber dans l'erreur, dans la contradiction, dans le ridicule.
                Tomber amoureux, enceinte, malade.
                Tomber du haut mal, avoir une crise d'épilepsie.
                Tomber de faiblesse, d'inanition : Être dans une extrême faiblesse, être près de se trouver mal, faute de nourriture.
                Tomber dans la misère, dans le malheur : Devenir pauvre, malheureux.
                Tomber dans le mépris : Devenir un objet de mépris.
                Tomber en disgrâce : N'être plus dans les bonnes grâces de quelqu'un, n'avoir plus de part à sa bienveillance, à sa faveur.
                Faire tomber quelqu'un en confusion : Lui faire éprouver, lui causer une grande confusion.
                Tomber dans la dévotion : Devenir dévot.
                Tomber dans l'aveuglement, dans l'endurcissement : Devenir insensible aux vérités de la religion.
          12. v. (Religion) Pécher.
                Tomber dans le péché : Commettre une faute, céder au péché.
                Le juste tombe sept fois le jour.
          13. v. Dégénérer, descendre, se laisser aller à quelque chose de blâmable.
                Cet auteur prétend au sublime et tombe souvent dans le galimatias.
          14. v. Passer d'un état positif à un état défavorable.
                Tomber en désuétude.
                Cela est tombé dans l'oubli.
                Tomber à rien : Se réduire à très peu de chose.
                Toute sa fortune est tombée à rien.
                Cette maison est tombée en quenouille : Il n'en reste que des filles.
                Cette couronne, cette souveraineté tombe en quenouille : Les filles en peuvent hériter au défaut des mâles.
                Tomber en putréfaction, en pourriture : Pourrir.
                Tomber en poussière : Se réduire en poussière.
          15. v. Déchoir de réputation, de crédit, perdre de sa vogue.
                Ce livre a eu d'abord quelque succès, mais il est tombé.
                Cet homme n'a pas été longtemps en crédit, il est bientôt tombé.
                Ces fabriques, ces manufactures sont tombées.
                Cette mode commence à tomber.
                Ces études sont tombées : On les néglige beaucoup aujourd'hui.
                Son goût pour les tableaux, pour la musique est bien tombé : Il s'est bien affaibli.
          16. v. Succomber ; périr ; s'anéantir.
                Tomber raide mort, tomber mort : Mourir tout d'un coup en tombant.
                Il est tombé sur le champ de bataille.
                On vit ces empires tomber les uns après les autres.
                Le ministère est tombé : Il a été mis en minorité, il est obligé de quitter le pouvoir.
          17. v. Ne pas réussir.
                Cette pièce est tombée à la première représentation.
                C'est tombé à plat.
          18. v. (Argot) Être arrêté, se faire prendre, en parlant d'un acte de délinquance.
                Finalement, elle est tombée pour proxénétisme.
          19. v. Cesser ; discontinuer.
                La fièvre est tombée.
                Le jour tombe : La nuit approche.
Sur
     1. n. (Géographie) Commune du canton des Grisons en Suisse.
     2. prep. Indique une position plus élevée.
           Le chat est sur le lit.
     3. prep. Indique une supériorité.
           La France l'a emporté sur le Brésil.
     4. prep. Indique une direction.
     5. prep. Indique une position temporelle, un instant donné.
           Je suis sur le point de partir.
     6. prep. Indique l'origine, la base ou ce qui sert de garantie morale.
           Je me suis basé sur vos dires.
           Il jure sur son honneur.
     7. prep. Indique un rapport de dimension.
           Un carré de cinq mètres sur cinq.
     8. prep. Indique un rapport de proportion.
           Deux cents personnes sur mille s'y sont déclarées favorables.
           Une note de cinq sur dix.
     9. prep. Indique un rapport de répétition.
     10. prep. (Math) Indique une fraction.
           a/b se lit a divisé par b ou simplement a sur b.
     11. prep. Exprime une idée de contact.
           Il avait le nez sur la fenêtre.
           Les frites sont collées les unes sur les autres.
     12. prep. (Familier) (France) Indique une proximité géographique. NB : L'Académie française juge cet emploi inapproprié, mais en supposant que le mot est employé dans le sens de à.
           J'habite sur Paris.
           Ce site gratuit propose des petites annonces immobilières sur Lyon.
     13. prep. (Vieilli) Indique une approximation de temps ; vers.
     14. prep. Indique une idée de connaissance.
           As-tu appris quelque chose sur lui ?
     15. adj-m. Qui a un goût acide et aigrelet.
           Fruit sur.
           Lait sur.
           Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures
           L'oseille est très sure.
           Combinez le sucre, le sel, la crème sure, l'oignon vert et le vinaigre.
     16. adj-m. (Chimie) Qualifie les eaux servant à amollir les cuirs, ou bien l'eau résiduelle issue de l'extraction de sels, de cristaux ou d'amidon.
           Vous pouvez jeter l'eau sure, nous n'utiliserons que les cristaux.
Les
     1. n. (Géographie) Commune d'Espagne, située dans la province de Lérida et la Communauté autonome de Catalogne.
     2. art. Pluriel de le ou la.
     3. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
           Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
chevilles
     1. n-f. Pluriel de cheville.
     2. v. Deuxième personne du singulier de l'indicatif présent de cheviller.
     3. v. Deuxième personne du singulier du subjonctif présent de cheviller.
     cheviller
          1. v. Joindre, assembler avec des chevilles.
                Cheviller une table, une armoire, une porte, etc.
          2. v. Remplir de chevilles (des vers, des poèmes qu'on écrit).
          3. v. (Absolument) (Versification) Faire des vers remplis de chevilles.
                Un poète qui cheville.
          4. v. (Histoire des techniques) Tordre la soie, durant sa teinture.
          5. n-m. Cheval qui est placé à la cheville ouvrière d'un attelage.
          6. n-m. (Musique) (Lutherie) Dispositif d'accueil des chevilles sur un instrument à cordes.
     cheville
          1. n-f. (Construction) Morceau de bois ou de métal qu'on fait entrer dans un trou pour le boucher, pour faire des assemblages ou pour d'autres usages.
          2. n-f. (Métrologie) (désuet)
                CHEVILLE. Mesure anciennement usitée en Normandie pour le bois de charpente. La cheville représentait un morceau de bois d'un pied de long sur un pouce d'écarrissage, = 12 pouces cubes de Paris = 238 centimètres cubes. La marque se composait t
          3. n-f. Pièce, souvent en plastique que l'on enfonce dans un mur avant de fixer une vis.
          4. n-f. (Vieilli) Principal mobile, du principal agent d'une affaire.
          5. n-f. (Musique) Petit morceau de bois ou de métal qui, dans les instruments à cordes, servent à tendre ou à détendre les cordes.
                Il manque une cheville à ce violon.
          6. n-f. (Anatomie) Articulation qui relie la jambe et le pied, formant une saillie osseuse.
          7. n-f. (Anatomie) (Vétérinaire) Apophyse osseuse qui supporte les cornes chez les animaux.
          8. n-f. (Figuré) (Versification) Mots inutiles au vers que l'on rajoute pour obtenir le bon nombre de pieds ou la rime.
                Cette épithète est une cheville.
          9. n-f. Industrie, activité du chevillard.
          10. n-f. (Au pluriel) (Chasse) (vieilli) Andouillers.
          11. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de cheviller.
          12. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de cheviller.
          13. v. Première personne du singulier du subjonctif présent de cheviller.
          14. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de cheviller.
          15. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de cheviller.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire