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le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
architecte
     1. n. Personne diplômée dont la profession consiste à concevoir des édifices et à en diriger la construction.
     2. n. Personne qui conçoit ou élabore quelque chose.
           Il a fallu toute une équipe d'architectes pour concevoir ce nouvel avion.
           Le grand architecte de l'Univers
a
     1. n. (Familier) Pronom personnel (indéterminé en genre et en personne : première, deuxième ou troisième).
           Quoi qu'a dit ? – A dit rin.
     2. n. (Québec) (Familier) Elle.
           C'était pendant l'congé d'Noël
     3. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif de avoir.
     avoir
          1. v. Être en relation possessive, soit concrète ou abstraite, soit permanente ou occasionnelle, dont le possesseur est le sujet et le possédé est le complément d'objet direct.
                Pierre a deux filles. Cadet Rouselle a trois maisons.
                La Mongolie n'a que deux voisins : la Russie et la Chine.
                L'antilope a plusieurs prédateurs. J'ai un beau chapeau.
                J'ai un très bon emploi.
                Nous avons un logement très agréable.
                Hélas ! Il mourra donc ! Il n'a pour sa défense
                Je n'ai plus beaucoup d'argent.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est inanimé)
                Il avait ce jour-là un costume bleu. (porter)
                Vous avez de la boue sur vos habits.
                Ce bébé a de très beaux yeux.
                J'ai un bras cassé.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est une qualité, caractéristique physique ou matérielle)
                Avoir affaire à quelqu'un ou avec quelqu'un.
                Avoir l'âge de raison, avoir vingt ans.
                Avoir de l'agilité.
                Avoir quelque chose en aversion, sur le cœur.
                Avoir peur, avoir la crainte de quelque chose.
                Avoir des douleurs, avoir de la fièvre, la grippe, une angine, le sida, la tuberculose…
                Avoir de la force, être fort.
                Avoir soin de faire quelque chose.
                Avoir froid, chaud, avoir faim, soif…
                J'ai mal à la tête.
                Cet oiseau a un très beau chant.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est une caractéristique morale)
                Avoir de l'ascendant, de l'autorité sur quelqu'un.
                Avoir la confiance de quelqu'un.
                Tu peux avoir confiance en lui, je le connais.
                Avoir l'estime de quelqu'un, avoir de l'estime pour quelqu'un.
                Avoir des qualités, avoir des vertus, des vices…
                J'ai eu beaucoup de peine en apprenant son décès.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est une caractéristique abstraite)
                Avoir la foi (en quelque chose ou en quelqu'un)
                Avoir honte (de quelque chose)
                Avoir pitié (de quelqu'un)
                Avoir raison, avoir tort.
                Avoir des sentiments (pour quelqu'un)
                Avoir du temps devant soi, avoir le temps…
                Cet enfant a peur du loup.
                Vous n'avez pas le droit de faire ça.
                (L'objet n'a aucune valeur spécifique)
                Avoir de la pluie, du beau temps…
                Nous allons sûrement avoir beau temps cet après-midi.
                (Le sujet est un être animé, l'objet est un être animé)
                Avoir un père, une mère, une femme, des enfants, une nombreuse parenté…
                Avoir un médecin, un notaire, un avocat…
                Avoir un maître, des domestiques, un chef…
                Avoir des élèves, des auditeurs…
                Avoir des poux, des puces…
                Avoir des convives, des hôtes…
                Avoir des amis, des ennemis…
                Avoir des correspondants, des associés, des complices…
                Avoir des gens à sa suite.
                Avoir quelqu'un chez soi.
                Avoir une personne à dîner, à déjeuner…
                (Le sujet est un être inanimé, l'objet est un être inanimé matériel ou abstrait)
                Cette ville a de beaux édifices, des rues larges, de vastes promenades.
                Votre château a un parc magnifique.
                Ma maison a cinq étages, a une belle vue.
                Cette table a deux tiroirs.
                Cette plante a de très belles fleurs.
                Cette planche a six pieds de long.
                Ce fruit a une forme allongée, une belle couleur.
                L'architecture de cet édifice a un caractère imposant.
                Cette poésie a de la douceur et de la grâce.
                Ce rêve a quelque chose d'effrayant.
                Cette pièce a beaucoup de succès.
                Un tel accident peut avoir des suites.
                Les plaisirs ont leurs dangers.
                (Le sujet est un être inanimé, l'objet est un être animé)
                Cette maison a vingt locataires.
                Cette ville a dix mille habitants.
                Cet ouvrage a pour auteur un écrivain distingué.
                Cette doctrine a de nombreux partisans.
                (Avoir + article défini + nom + adjectif) Son … est …, comme caractère personnel.
                Il a l'œil bleu.
                Il a les cheveux blonds.
                (Avoir pour + nom + de + infinitif) C'est son … de faire cela.
          2. v. (Utilisé intransitivement, sans objet) Se passer, arriver.
                Qu'est-ce que tu as ? Tu te sens mal ?
          3. v. Se procurer, obtenir quelque chose.
                Il a eu tout ce qu'il demandait.
                J'ai eu ce cheval à très bon marché.
                Puis-je avoir la parole ?
          4. v. (Familier) Tromper, berner, leurrer quelqu'un.
                J'ai l'impression que je me suis fait avoir.
                Je t'ai eu.
          5. v. (J'ai … qui …) (popu) Introduit une nouvelle information concernant le locuteur sans relation thème-rhème.
                J'ai ma mère qui est malade.
          6. v. (Auxiliaire) Auxiliaire servant à former les temps composés, signifiant le passé, la complétion ou l'expérience. (note) Certains verbes demandent être comme auxiliaire. En français moderne, le passé composé est beaucoup plus courant que le passé sim
                J'ai bien mangé.
                Nous avons bien ri à lire toutes ces finesses, mais c'est beau l'instruction, quand même.
          7. n-m. (Philosophie) Ce que possède un individu.
          8. n-m. Ensemble des biens et richesses appartenant à un individu ou à une personne morale, possession.
          9. n-m. (En particulier) (comptabilité) Somme d'argent qu'un établissement commercial (banque, entreprise, etc.) doit à son client, solde créditeur.
                Vous avez un avoir de cent euros.
          10. n-m. Le fait de posséder, par opposition au fait d'être ou de faire.
choisi
     1. adj. Qui a fait l'objet d'un choix, qui est excellent, qui est meilleur en son genre.
           Livre de morceaux choisis.
           Il ne se sert en parlant que de termes choisis.
           Il ne reçoit qu'une société choisie.
     2. v. Participe passé masculin singulier de choisir.
     choisir
          1. v. Action de faire un choix ; prendre une personne ou une chose de préférence à une autre ou à plusieurs autres.
                (absol) — Il y a chez ce marchand de quoi choisir.
                (intrans) — Nous choisirons parmi ces objets.
                Je vous donne à choisir.
Une
     1. n-f. Autre graphie de une.
     2. n-f. Chose portant le numéro 1.
           Je vous ai réservé la une, votre place préférée.
     3. n-f. Première page d'un journal contenant les grands titres.
     4. adj. Féminin de un.
           Je voudrais une sucrette, s'il vous plaît.
     5. adj. Féminin de un.
           La République française est une et indivisible.
     6. art. Féminin de un.
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
     7. n. Féminin de un.
           Une des mes amies.
Anse
     1. n. (Géographie) Commune française, située dans le département du Rhône.
     2. n-f. Partie saillante, souvent de forme annulaire, servant à saisir ou à porter certains récipients ou objets.
           Cette amphore est magnifiquement décorée, cependant une de ses anses est cassée.
           Faire danser (sauter) l'anse du panier, majorer indûment, à son bénéfice, le prix des achats que l'on est amené à faire pour son employeur ou pour son ménage.
     3. n-f. (Par analogie) Objet recourbé.
           L'occlusion intestinale est parfois due à l'étranglement d'une anse par son incarcération dans l'orifice d'une hernie.
           L'anse d'un cadenas bloquait l'ouverture du portail.
     4. n-f. (Mathématiques) Assemblage géométrique, ressemblant à une moitié d'ellipse, construit par juxtaposition d'un nombre impair d'arcs de cercles (souvent trois) de centres différents.
           Il est plus facile de dessiner une anse de panier qu'une ellipse, car on peut utiliser un compas.
     5. n-f. (Archi) Voûte surbaissée réalisée suivant le dessin d'une anse de panier.
           L'architecte a choisi une anse pour couronner la porte du château.
     6. n-f. (Marine) Petite baie peu profonde.
     7. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de anser.
     8. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de anser.
     9. v. Première personne du singulier du subjonctif présent de anser.
     10. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de anser.
     11. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de anser.
     anser
          1. v. (Technologie) Garnir d'une anse.
pour
     1. prep. Au motif de ; dans le but de ; afin de ; à destination de.
           Cet homme fait de l'exercice pour sa santé.
           Cette lettre n'est pas pour lui.
           Ces gens-là semblent faits, sont faits l'un pour l'autre.
           Cet homme n'est pas fait pour le métier qu'il a choisi.
           Travailler pour la gloire.
           Des vêtements pour enfants.
     2. prep. À cause de, en considération de.
           Il fera cela pour vous.
           Faites cela pour Dieu, pour l'amour de Dieu.
           Il ne fera cela ni pour or, ni pour argent.
           Je ne ferais pas cela pour un empire.
           Il se lâche pour rien.
           C'est pour cette raison qu'il est parti.
           Il a été puni pour une faute légère.
           Il est estimé pour ses vertus.
     3. prep. En faveur de, en vue de la défense de.
           Ce que je dis est autant pour vous que pour moi.
           Je lui parlerai pour vous.
           Je tiens pour vous contre lui.
           Tous les honnêtes gens sont pour vous.
           Il avait tout le monde pour lui.
           Plaider pour un tel contre tel autre.
           Mourir pour la patrie.
     4. prep. Envers, à l'égard de.
           La tendresse d'une mère pour ses enfants.
           Son amour pour la patrie.
           Mon affection, mon attachement pour vous.
           Il est un peu refroidi pour moi.
           J'ai du respect pour sa mémoire.
           Mes sentiments pour vous ne sont pas douteux.
           La haine, l'aversion qu'il a pour lui.
           Ce remède est bon pour la fièvre.
     5. prep. Il sert aussi à marquer le rapport entre une chose qui affecte en bien ou en mal et la personne qui en est ou qui en doit être affectée.
           C'est une grande perte pour vous.
           C'est un grand bonheur pour moi.
           C'est pour eux une grande consolation, un grand avantage.
           Cela est heureux, malheureux pour votre ami.
           Il y aurait du déshonneur pour vous.
           Il y aura beaucoup de gloire pour lui.
     6. prep. Eu égard à, par rapport à.
           Cette robe est bien chaude pour la saison.
           La porte est bien étroite pour une pareille maison.
           Sa dépense est peu considérable pour son revenu.
           Son train est mesquin pour un ambassadeur.
           Vous êtes trop savant pour moi.
           Il est bien grand pour son âge.
           Voilà une grande faiblesse pour un philosophe.
           Ce qui est bon pour vous ne serait pas bon pour moi.
           Cela ne vaut rien pour votre estomac.
           Voilà une mauvaise affaire pour un homme accoutumé à en faire de si bonnes.
     7. prep. Précédé des mots assez et trop, il s'emploie dans les phrases qui expriment la suffisance ou l'excès. (note) Quelquefois on peut supprimer l'adverbe assez.
           Y en a-t-il assez pour tout le monde ?
           Cela est assez bon pour lui.
           C'est assez pour aujourd'hui.
           Ce couvercle est assez grand pour le vase.
           Cet habit est trop petit pour ma taille.
           Il a trop vécu pour sa gloire.
           Il y en aura (sous-entendu : assez) pour tout le monde.
     8. prep. Pour que, afin de, à l'effet de, en vue de, dans le dessein de. - (usage) Il est alors suivi d'un verbe à l'infinitif.
           Il est encore assez jeune pour s'instruire.
           Je suis assez votre ami pour ne pas vous flatter.
           Il est trop franc pour vous tromper.
           J'ai fait tout mon possible pour gagner son amitié.
           Je manque de termes pour exprimer ce que je sens.
           J'avais dit cela pour rire, et non pour vous fâcher.
           Pour ne vous rien déguiser.
           Pour ainsi dire.
           Pour vous parler net.
           Pour vous parler franc.
           Pour dire le vrai.
           Semer pour récolter.
           Je suis venu pour le complimenter.
           On l'a envoyé pour traiter de l'échange des prisonniers.
           On le cherche pour l'arrêter.
     9. prep. Moyennant un certain prix, en échange de.
           J'ai donné mon argenterie pour un diamant.
           Il a cédé sa voiture pour un morceau de pain.
           À cette vente, on avait des tableaux de maître pour rien.
     10. prep. (Commerce) (Finance) À proportion de.
           Cinq pour cent, dix pour cent, cent pour cent, etc.
     11. prep. À la place de, au lieu de, au nom de.
           Il répondit pour un tel à la sommation.
           Jouez pour moi.
           Ce mot s'emploie souvent pour tel autre.
           Pour le président, le secrétaire général.
     12. prep. Comme, en qualité de, en guise de.
           Ils l'ont laissé pour mort sur la place.
           Tenez-moi pour un méchant homme si… pour qui me prenez-vous ?
           Prendre quelqu'un pour employé, pour domestique.
           Il l'a prise pour femme.
           L'avoir pour ami.
           On m'a pris pour dupe.
           Je tiens pour certain.
           J'ai pour principe.
           Je me le tiens pour dit.
           Il a pour lit une simple paillasse.
           Être pour beaucoup, pour peu dans quelque chose, n'y être pour rien, Y avoir beaucoup de part, peu de part, n'en avoir point du tout.
           Il n'est pas pour peu dans cette affaire.
           Je suis pour beaucoup dans la résolution qu'il a prise.
couronner
     1. v. Ceindre d'une couronne.
           Couronner de fleurs, de laurier, de myrte. - Couronner d'une couronne d'or, d'une couronne d'argent.
     2. v. Ceindre solennellement d'une couronne la tête d'un souverain, lors de son sacre.
     3. v. Transmettre ou conférer le titre de roi, de souverain.
           Ce monarque, avant de mourir, fit couronner son fils.
     4. v. Récompenser en en décernant une couronne ou un prix.
           Couronner un ouvrage. - Les livres que l'Académie a couronnés.
           (figuré) Couronner la vertu. - N'est-ce pas couronner le crime que d'élever un tel homme à cette dignité?
     5. v. Placer des couronnes sur certaines choses.
           Les anciens couronnaient la poupe de leurs vaisseaux en signe d'allégresse.
     6. v. (Soutenu) Orner ou entourer la tête en manière de couronne.
           De simples fleurs couronnaient cette tête charmante. - Un front couronné de cheveux blancs.
     7. v. Occuper la partie supérieure d'une chose, en surmonter d'autres.
           Un entablement couronne l'édifice.
           (figuré) (poétique) Déjà les forêts se couronnent de feuillage. - Les arbres de nos vergers se couronnaient de fleurs.
           (militaire) Des batteries redoutables couronnaient la hauteur, toutes les hauteurs. - Couronner une position, une hauteur, les glacis.
     8. v. (Figuré) Apporter la dernière perfection ; mettre le dernier ornement à quelque chose.
           Il a couronné sa vie par une mort généreuse. - Le succès a couronné son entreprise.
     9. v. (Figuré) Environner, ceindre.
           Plusieurs coteaux couronnent cette ville.
     10. v. Faire se blesser, un cheval, au genou.
           Il a couronné son cheval. - Un cheval couronné.
     11. v. Se blesser aux genoux en tombant, en parlant d'un cheval.
la
     1. art. Féminin singulier de le. Détermine un groupe nominal féminin singulier.
           La navette Atlantis fut remisée en 2010.
           La Franche-Comté.
     2. n-f. Féminin singulier de le. Représente un groupe nominal féminin singulier complément d'objet direct (pour le pronom féminin complément d'objet indirect, voir lui).
           Je la reconnais et non pas Je reconnais <s>elle</s>.
     3. n-m. (Musique) Sixième note de la gamme. Le la de référence a une fréquence de 440 hertz.
           Donner le la.
     4. n-m. Première lettre de l'alphabet santâlî : &#x1c5a;.
Porte
     1. n. (Histoire) Gouvernement de l'empire ottoman jusqu'en 1918.
           Voici les principales conditions proposées par les insurgés:
     2. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Turin dans la région du Piémont.
     3. n. Nom de famille français.
     4. n-f. (Menuiserie) Ouverture battante dans un mur qui permet d'entrer ou sortir d'un endroit.
     5. n-f. Élément qui ferme certains meubles ou certaines constructions servant à divers usages.
           Les portes d'un buffet.
           La porte d'une cage.
           La porte d'un four.
     6. n-f. Ouverture permettant le passage dans l'enceinte d'une ville ; accès à cette ville souvent fortifié et défendu dans une muraille.
     7. n-f. (Par analogie) Tout passage d'un lieu ou d'une situation, à un autre.
           Bon vin, bons mots, gaillardes chansonnettes
           Cet emploi est la porte qui vous mènera aux plus hautes fonctions.
     8. n-f. (Sport) Espace entre deux piquets lors d'un slalom.
     9. n-f. (Figuré) Territoire permettant d'accéder à un autre.
           La Turquie représente la porte de l'Orient.
     10. n-f. (Géographie) Gorge ; défilé.
           Les portes de Cilicie.
     11. n-f. (Télécommunications) Signal permettant de sélectionner les parties d'une onde au cours d'un ou plusieurs intervalles de temps.
     12. n-f. Sorte de petit anneau où l'on fait entrer le crochet d'une agrafe et qui sert à la retenir.
           Il faut mettre cette porte bien en face de cette agrafe.
     13. adj. (Anatomie) Qualifie les parties du système circulatoire des vertébrés qui vont d'un réseau capillaire à un autre, sans passer par le cœur.
     14. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de porter.
     15. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de porter.
     16. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de porter.
     17. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de porter.
     18. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de porter.
     porter
          1. v. Soutenir quelque chose ou quelqu'un.
                Porter un sac de blé, un ballot de livres. — Le cheval qui le portait. — Ce vaisseau porte cinq cents hommes d'équipage et des vivres pour six mois.
          2. v. (Figuré) Être accablé d'un malheur, d'une souffrance, etc. ; supporter, souffrir, endurer.
                Il porte patiemment sa disgrâce.
          3. v. (En particulier) Être chargé de travail.
                Avoir plus de travail, plus d'affaires qu'on n'en peut porter. — Il porte tout le poids de ses affaires.
          4. v. (Figuré) Soutenir ; choisir ; élire.
          5. v. (En particulier) Mettre en avant quelqu'un comme candidat, dans une élection.
                Il sera porté par la majorité de l'assemblée.
          6. v. (Figuré) Tenir son rang, sa dignité, son honneur, etc.
                Il porte bien sa nouvelle dignité.
          7. v. Avoir sur soi ou tenir à la main.
                Il ne porte jamais d'argent sur lui.
          8. v. Mettre sur soi, en parlant de l'habillement, de la parure, etc.
                — Hmm, a rétorqué Toby. Je croyais que c'était la nuque longue que tu portais en sixième ?
          9. v. Asséner ; donner.
          10. v. Tenir son corps, sa tête, ses bras, etc., et de tout ce qui regarde la contenance et le geste.
                Porter la tête haute.
                Porter le bras en écharpe.
          11. v. Transporter.
                Des tuyaux qui portent l'eau dans un jardin.
          12. v. Pousser, étendre, élever, faire aller, conduire.
                Il faut porter cette haie encore plus loin.
                La tempête porta le navire contre un écueil.
          13. v. (Figuré) Transporter, transmettre, pousser, étendre, élever.
                Il a porté dans ces contrées quelques-uns des arts de l'Europe.
                Il porta la guerre dans l'Asie.
                Il a porté le fer et la flamme dans cette province.
          14. v. Inscrire ; enregistrer.
                Porter un article sur un registre, sur un livre de comptes.
          15. v. Indiquer.
                Mais je m'écarte de l'histoire Hapley-Pawkins.
          16. v. (Droit) Soumettre à une juridiction, à un examen, à un jugement.
                La cause sera portée à l'audience.
                Je porte à votre connaissance qu'une vacance s'est produite dans cette administration.
          17. v. Induire ; exciter à quelque chose.
                Les heures du soir portent à la mélancolie.
          18. v. Être en grossesse, en parlant des femmes ; être gravide en parlant des femelles des animaux.
          19. v. Produire, en parlant de la terre, des arbres, etc.
                Un arbre qui porte de beaux fruits.
                Cette somme porte intérêt.
          20. v. Causer, produire, amener.
                Toute bonne action porte avec soi sa récompense.
          21. v. Manifester, montrer, en parlant de l'esprit, du caractère.
                Il porte en toutes choses un grand esprit de justice.
          22. v. Avoir, présenter, offrir.
                Il porte la tristesse peinte sur son visage.
                Il porte en lui le germe des plus heureuses qualités.
                Ce monument porte telle inscription.
          23. v. (Héraldique) Afficher.
                Il porte d'azur au lion d'argent.
          24. v. Déclarer, dire ou exprimer, en parlant d'actes publics, de lettres et d'autres écrits.
                L'ordonnance porte que…. — L'arrêt porte condamnation. — Il est porté par le contrat que… — Les peines portées par la loi.
          25. v. Poser, être soutenu.
                Une poutre qui porte sur la muraille.
                Tout l'édifice porte sur ces colonnes.
          26. v. (Figuré) Peser.
                La perte dans ce combat a porté principalement sur ce corps d'armée, c'est lui qui a principalement souffert, et qui a perdu le plus de soldats.
          27. v. (Figuré) Concerner, avoir pour objet.
                Cette observation, cette critique, cette objection porte sur telle chose, etc.
                Cet examen porte sur la géographie.
          28. v. (Marine) Se diriger vers.
                Porter au sud. — Porter au large, porter à terre.
          29. v. Atteindre ; en parlant des armes à feu et des armes de jet, ainsi que de leurs projectiles.
          30. v. (Figuré) Faire impression ; être décisif, atteindre son but.
                Son discours a porté. — Cette objection ne porte pas.
          31. v. Parcourir une distance, en parlant du son, du regard, du vent, etc.
                Sa vue porte loin.
                Le bruit de la fusillade portait à deux kilomètres.
                Quand le vent porte, le bruit des cloches du village voisin vient jusqu'ici.
          32. v. (Pétanque) Lancer très haut de sorte qu'elle s'immobilise rapidement après sa retombée au sol, en parlant d'une boule.
                Porter une boule demande une grande maitrise.
          33. v. (Informatique) Faire fonctionner un logiciel, ou une fonctionnalité d'un logiciel, dans un autre contexte que le contexte initial (par exemple, sur un autre type de machine).
                Cette fonctionnalité devra être portée sur notre SAAS, qui devra à terme remplacer l'application de bureau existante.
                Ce programme n'a pas encore été porté pour Windows 64 bits.
                Une petite équipe est en train de porter cette application sur linux.
          34. v. (Pronominal) Aller ; se transporter.
                La foule se porte à tel endroit.
                Cette pièce réussit, la foule s'y porte, on s'y porte en foule.
          35. v. (Pronominal) (familier) Affluer, se diriger, en parlant de diverses choses.
                Le sang s'est porté à la tête. — Tout le poids se porte de ce côté.
                La curiosité, l'intérêt se portait principalement sur lui.
          36. v. (Pronominal) (vieilli) En parlant de la disposition de l'esprit, de l'inclination, de la pente qu'on a à faire quelque chose.
                C'est un jeune homme qui se porte au bien.
                Il s'est porté à cela de lui-même.
                Il se porte avec ardeur à tout ce qu'il fait.
                Il se porte au mal.
          37. v. (Pronominal) (vieilli) Se présenter comme candidat à un poste électif.
                Il se porte dans le premier arrondissement.
          38. v. (Pronominal) (droit) Se présenter en justice.
                Se porter partie civile contre quelqu'un.
                Se porter héritier, pour héritier.
          39. v. (Pronominal) (médecine) Être dans quelque état de santé.
                (figuré) — Ses affaires ne s'en portent pas plus mal.
          40. v. (Pronominal) Être objet de mode, comme vêtement ou comme parure.
                Cette étoffe ne se porte plus.
                Les pendants d'oreille se portent moins aujourd'hui qu'autrefois.
          41. n-m. (Bières) Type de bière anglaise de couleur noire opaque.
du
     1. art. Une quantité indéfinie de. (usage) Utilisé avec un nom indénombrable.
           Il faut boire du lait tous les jours.
     2. art. (Faire du …) Une activité d'une certaine durée de. (usage) Utilisé avec un nom dénombrable.
           J'ai fait du tennis.
     3. art. (Au masculin) (du + nom de l'auteur) Une certaine œuvre de. (usage) Utilisé même devant une voyelle.
           Voyons ce tableau, on dirait du Claude Monet.
           J'ai lu du Françoise Sagan.
     4. art. Article contracté, formé de la préposition de et de l'article le.
           Il vient du nord. de + le nord
     de
          1. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
                Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
          2. prep. Particule dans les noms de famille.
                Charles de Gaulle.
          3. prep. Indique la possession.
                La voiture de Sylvie.
          4. prep. Indique une association à la matière.
                Le pot de fer.
                Deux litres de bière.
                Le renard des sables.
          5. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
                Un groupe de 5.
                La température était de 30 °C.
          6. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
                Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
                Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
          7. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
                D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
                Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
                Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
                Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
                Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
                Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
                L'huile qu'on extrait des olives.
                Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
                Je l'ai reçu de ses mains.
                Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
                Parler, écouter, de loin, de près.
          8. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
                Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
          9. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
                Paris est à trente lieues d'Orléans.
                Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
                Il se vit à deux doigts de sa perte.
                Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
                D'aujourd'hui en huit.
                Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
          10. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
                Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
          11. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
                Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
                Différer du tout au tout.
                Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
                De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
          12. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
                Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
                Il perdit une partie de sa fortune
                (Par analogie)
                Il perdit la totalité de sa fortune.
                Une portion, une partie du territoire.
                Le reste du temps.
                Donnez-lui un morceau de ce pain.
                Cela n'a rien diminué de sa gloire.
                Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
          13. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
                Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
                De l'eau bonne à boire.
                Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
                Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
                Prendre des oiseaux au piège.
                Donner de l'argent.
          14. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
                Je n'ai de volonté que la tienne.
                Je ne connais pas d'homme plus importun.
                Parler sans faire de fautes.
                Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
                N'avez-vous pas d'enfants ?
                (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
                N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
                Il ne peut parler sans faire des fautes.
          15. prep. Servir à marquer la conformité.
                Je suis de votre avis.
                Cela n'est pas de mon goût.
                Les cérémonies d'usage.
                Cela n'est plus de mode.
                Cela n'est pas de jeu.
          16. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
                Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
                Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
                Le nom, la condition, la profession d'une personne.
                Les actions de quelqu'un.
                Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
                La beauté d'une femme.
                Le sujet d'un discours.
                Le sens d'un mot.
                La largeur d'un fleuve.
                (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
                Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
                Bien de famille.
                La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
                Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
                Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
                Voix de femme. – Tableau de genre.
          17. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
                Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
          18. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
                Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
          19. prep. Rapport au temps, à l'époque.
                Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
                Les mœurs du temps. – Les hommes d'à présent, d'aujourd'hui.
     le
          1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
                Le petit chat dort sur le canapé.
          2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
                Le drapeau des États-Unis.
                Le chef-lieu de ce canton.
          3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
                Le lion est un mammifère carnivore.
          4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
                Le Canada.
                Le Rhône.
          5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
                Le Royaume de Suède.
          6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
                Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
          7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
                Alexandre le Grand.
          8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
          9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
                Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
          10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
Château
     1. n. (Géographie) Commune française, située dans le département de la Saône-et-Loire.
     2. n. Surnom donné par les médias français au palais de l'Élysée.
     3. n-m. Forteresse environnée de fossés et de gros murs flanqués de tours ou de bastions.
           Château situé sur un rocher, sur une montagne.
           Des châteaux forts.
           Le château commandait la ville.
           Le château de Vincennes.
           Cet examen de la naissance des principautés territoriales en Francie occidentale, Espagne et Angleterre au X(e) siècle est par ailleurs très révélateur, car à chaque fois apparaît le moyen militaire qui permet cette indépendance : le château.
     4. n-m. (Histoire) Habitation seigneuriale ou royale.
           Il se retira dans son château.
           Un vieux château.
           Le château de Chambord.
           Les châteaux de la Loire.
           Le château de Versailles.
     5. n-m. (Arts) Toute maison de plaisance vaste et magnifique.
           Il y a de beaux châteaux dans cette province.
           La vie de château.
     6. n-m. (Familier) Grand cru de Bordeaux (dont le nom commence souvent par « château... »).
           Boire un château.
     7. n-m. (Par métonymie) Exploitation viticole qui élabore son propre vin, en particulier dans le Bordelais.
     8. n-m. (Marine) Édifice surélevé placé à la poupe ou à la proue du navire.
     9. n-m. (Héraldique) Meuble représentant la bâtisse du même nom dans les armoiries. Il est généralement représenté sous la forme de deux tours liées par un mur. Si le nombre de tours change de l'ordinaire, on doit le blasonner. Quand il s'agit d'une représe
           D'azur au château d'argent, ouvert de trois portes, posé sur une terrasse de sinople, qui est de la commune de Blangy-le-Château du Calvados → voir illustration « armoiries avec un château »
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire