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Analyseur de phrases françaises

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je
     1. n. Pronom de la première personne du singulier. Peut aussi bien être masculin que féminin. Utilisé exclusivement en tant que sujet. Devant une voyelle ou un h muet, il s'élide en j'.
           Je suis en France.
           Je m'appelle « Isabelle ».
           J'habite à Paris.
           J'organise un voyage.
           (informel) Hé ! J'te cause !
           (informel) J'prendrais bien un p'tit verre, et toi ?
     2. n. (Psychologie) (souvent entre guillemets) Entité perçue par le sujet comme le cœur et l'essence même de son existence en tant qu'individu.
crois
     1. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de croire.
     2. v. Deuxième personne du singulier de l'indicatif présent de croire.
     3. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de croire.
     croire
          1. v. Tenir pour véritable.
          2. v. (En particulier) (absolument) (religion) Avoir la foi et recevoir avec soumission d'esprit tout ce que la religion enseigne.
          3. v. Tenir pour sincère ou véridique.
                C'est un menteur avéré, on ne le croit plus, il ne peut plus se faire croire.
          4. v. S'en rapporter à quelqu'un, à quelque chose.
                Si vous m'en croyez, vous ne ferez pas cela.
          5. v. Tenir pour vraisemblable, réel ou possible.
          6. v. Penser, estimer, s'imaginer, présumer.
          7. v. (Populaire) Croire naïvement, être trop optimiste.
                Tu pensais qu'il allait t'écouter ? T'as cru ou quoi ?
                Nan mais le mec il a trop cru que j'allais le laisser copier sur moi...
          8. v. Ajouter foi à quelqu'un ou à quelque chose ; s'y fier.
                Croire aux astrologues, à l'astrologie.
                Croire en Dieu.
                Il proteste de son innocence, mais je n'y crois pas.
          9. v. Avoir confiance en quelqu'un, en ses talents, en sa parole.
          10. v. S'imaginer.
          11. v. (Familier) Être vaniteux.
          12. n. (Par substantivation) (didact) (philo) Phénomène par lequel l'individu ou une collectivité a tendance à croire à quelque chose de l'ordre du spirituel.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
éducation
     1. n-f. Action d'élever, de former un enfant, un jeune homme, une jeune fille, de développer ses facultés intellectuelles et morales ; résultat de cette action.
     2. n-f. (Spécialement) Cette activité dans le cadre structuré d'un système scolaire.
     3. n-f. (Plus largement) Élévation morale, intellectuelle des hommes de tout âge ou d'une collectivité.
           L'éducation de la démocratie.
           Il se voue à l'éducation du peuple.
     4. n-f. Développement donné méthodiquement à une faculté déterminée.
           L'éducation de l'œil, de l'oreille, du goût.
     5. n-f. Connaissance et pratique des usages de la société, relativement aux manières, aux égards, à la politesse.
     6. n-f. Action de surveiller le développement, la reproduction, de certains animaux.
           (en particulier) (Sériculture)
           Élevage des vers à soie.
           Un certain nombre de vers à soie.
     7. n-f. (Par analogie) Ensemble des soins donnés à une plante.
           L'éducation de cette plante est difficile.
devrait
     1. v. Troisième personne du singulier du conditionnel de devoir.
     devoir
          1. v. Avoir à payer une somme d'argent, à rendre ou à donner quelque chose que ce soit.
                Je vous paierai à la date fixée tout ce que je vous dois.
                Devoir plus qu'on ne possède.
                (absol) Il doit à tout le monde.
                (prov) Devoir à Dieu et à diable, au tiers et au quart ; devoir de tous côtés, devoir beaucoup, avoir beaucoup de dettes.
                (prov) Qui a terme ne doit rien, On ne peut être obligé de payer avant que le terme soit échu.
          2. v. Être obligé à quelque chose par la morale, par la loi, par sa condition, par l'honneur, par la bienséance, etc.
                On se doit à soi-même de respecter les bienséances.
                Je me devais de faire cette démarche.
                Un honnête homme sait ce qu'il se doit.
                Un homme d'honneur doit tenir sa parole.
                Vous devriez vous conduire autrement.
                Il ne devrait pas abandonner ses parents.
                (prov) Fais ce que dois, advienne que pourra.
                La loi doit une égale protection à tous les citoyens.
          3. v. Être dans la nécessité de. — (note) Il est alors suivi d'un infinitif.
          4. v. Être redevable à, tenir de.
                Il vous doit son bonheur, son salut, sa fortune.
                Racine doit beaucoup à Euripide.
                Corneille doit à Sénèque la belle scène d'Auguste et de Cinna.
                L'auteur a dû le succès de sa pièce au talent des acteurs.
                Cette colline doit son nom à un événement qu'on nous raconta.
                Je lui dois tous mes maux.
          5. v. Il se dit aussi pour marquer qu'il y a une espèce de justice, de raison, de nécessité, etc., qu'une chose soit.
                Un bon ouvrier doit être plus employé qu'un autre.
                Il me semble que cela devrait les réconcilier.
                Il devrait y avoir une garnison dans cette ville.
          6. v. Être inévitable.
          7. v. Suivi d'un infinitif, il joue aussi en quelque sorte le rôle d'un auxiliaire et se dit de ce qui paraît vraisemblable, probable, plus ou moins certain.
                Blandine ne peut s'empêcher de rire.
                Une fois réparé de cette façon, cet instrument doit marcher.
          8. v. Il se dit de ce qu'on croit, ou qu'on présume, ou qu'on suppose qui arrivera.
                Le courrier doit être ici dans peu de jours.
                Je dois recevoir cette somme après-demain.
                Le bonheur que doivent goûter les élus.
                Quand même je devrais y périr.
                Il doit y avoir demain une assemblée générale.
          9. v. À l'imparfait du subjonctif, et en tête de la phrase, il s'emploie dans le sens de quand même.
                Dussè-je y périr.
                Dût ma fortune être anéantie.
                Quand je devrais y périr.
          10. v. Il se dit aussi pour marquer l'intention qu'on a de faire quelque chose.
                Je dois aller demain à la campagne.
          11. v. (Pronominal) Se dit spécialement pour être dans l'obligation morale de se donner, de se dévouer à sa famille, à sa patrie, à ses amis.
                Vous vous devez à vos enfants.
                Cela se doit, se dit de ce qui doit être, de ce qu'il convient de faire.
          12. v. Le beau temps est dû à l'anticyclone.
          13. v. La pluie est due aux nuages.
          14. v. Les retards sont dus aux incidents.
          15. v. Les sommes sont dues à la date d'échéance.
          16. n-m. Ce à quoi on est obligé par la raison, par la morale, par la loi, par sa condition, par la bienséance, etc.
                Manquer à son devoir.
                S'écarter de son devoir.
                Négliger, oublier ses devoirs.
                Les devoirs de son état.
                Les devoirs de l'amitié.
                Les devoirs d'un père de famille.
                Le devoir conjugal.
                Les devoirs réciproques.
                Faire une chose par devoir.
                Vous n'avez fait que votre devoir.
                Se faire un devoir de.
                être à son devoir, être à son poste.
                Se mettre en devoir de, Se disposer à.
                Se mettre en devoir de faire quelque chose.
                Il se mit en devoir d'exécuter sa promesse.
                Rentrer dans son devoir, dans le devoir, Se remettre dans l'obéissance, dans la subordination dont on s'était écarté.
                Ramener quelqu'un à son devoir, au devoir.
                Retenir quelqu'un dans le devoir.
                Ranger quelqu'un à son devoir, L'obliger à faire ce qu'il doit.
                Se ranger à son devoir.
                Devoir pascal.
                Aller rendre ses devoirs à quelqu'un, Aller le saluer chez lui, lui faire une visite de politesse.
                derniers devoirs, honneurs funèbres, cérémonie pour les funérailles de quelqu'un.
                Rendre à quelqu'un les derniers devoirs, L'accompagner jusqu'à sa dernière demeure.
          17. n-m. Exercices scolaires qu'ont à faire les élèves dans un lycée, un collège, une école.
                (au pluriel) (en particulier) Exercices scolaires qu'ont à faire les élèves en dehors du lycée, du collège, de l'école.
être
     1. v. Définir un état, une caractéristique du sujet. (note) En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu'il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, ex
           Je suis petit et barbu.
           Est-il malade ?
           Cet homme est président de ce pays depuis quatre ans.
           L'eau nous est indispensable.
           — D'où est-il ?
     2. v. Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
           Nous sommes en ville.
     3. v. (Absolument) Exister.
           Être, ou ne pas être, c'est là la question.
           Il n'est plus, il est mort.
     4. v. (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
           Il est des hommes que la résistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage.
           Il est, près de ces lieux, une retraite ignorée.
     5. v. (Impersonnel) Le moment de la journée. (note) Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C'est quelle heure ?
           — Quelle heure est-il ?
           Il est l'heure de partir.
           Il est tard.
     6. v. Le jour de la semaine ou la date du moment.
           — Quel jour sommes-nous ?
           Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
     7. v. (Familier) Aller, se rendre. (note) Avec l'auxiliaire avoir.
           Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
     8. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d'état et tous les verbes réflexifs.
           Il est passé.
           Il est tombé.
           Il s'est trompé.
     9. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
           Quand il sera aimé.
     10. v. (Construit avec sur ou dessus) S'occuper d'une affaire particulière, s'en occuper.
     11. n-m. Existence, c'est-à-dire le fait d'exister, au sens abstrait.
     12. n-m. Organisme, créature vivante.
     13. n-m. Personnalité ; âme.
     14. n-m. (Plus rare) Ce qui constitue une chose.
laïque
     1. adj. (Variante de;laïc).
           Un habit laïque.
     2. n. (Variante de;laïc).
     3. n. (Par ellipse) (FR) L'école républicaine, par opposition, à l'école confessionnelle.
et
     1. conj. Concatène plusieurs concepts dans une même relation. Plusieurs adjectifs peuvent partager le même nom, et plusieurs préfixes peuvent partager le même radical.
           Pierre et Paul vont au marché.
     2. conj. (Logique) Indique une simultanéité de caractéristiques. Énonce la véracité de tous les éléments qu'il relie, indépendamment de l'ordre dans lequel ils sont énoncés.
           Un oiseau est un animal ailé et ovipare.
           Ses yeux sont bruns et le ciel est bleu.
           Le ciel est bleu et ses yeux sont bruns.
           Je n'aime une personne que si elle est cultivée et sympathique et drôle et généreuse.
     3. conj. À la suite de quoi, après quoi. (note) Énonce l'induction entre deux événements, l'ordre ayant une importance.
     4. conj. Il est quelquefois emphatique, au commencement des phrases.
           Et voilà que tout d'un coup…
           Et ainsi, vous osez me dire…
     5. conj. A souvent le sens de mais.
           Il plie et ne rompt pas.
non
     1. v. Mot utilisé pour apporter une réponse négative. Il marque le désaccord sur une question affirmative et l'accord sur une question négative.
           Tu es français ? — Non, je suis québécois.
           Vous ne voyagez pas souvent ? — Non, par manque de temps.
     2. v. (Afrique) Au contraire. — (note) Dans ce sens il est utilisé pour infirmer une prédication négative ou interronégative.
     3. v. Qui n'est pas. Manque de la qualité signifiée par l'adjectif suivant.
           Une organisation non gouvernementale.
     4. v. (Archaïque) Adverbe de phrase employé plutôt que ne ou ne … pas, ceux-ci étant plus propres à nier seulement le verbe ou le groupe verbal.
           Il était son rival et non pas son ami.
     5. v. Au début d'une phrase négative, il en accentue le caractère. On le redouble même quelquefois pour s'exprimer plus énergiquement.
           Non, je n'en ferai rien.
           Non, non, cent fois non.
     6. v. (Vieux) Sert, soit seul, soit avec pas, à opposer une négation à une affirmation.
           Que vous m'approuviez ou non, je continuerai d'agir de même.
     7. v. Il sert encore à infirmer, à nier fortement ce qui est exprimé par un des termes de la proposition.
           Il est vraiment fâché, non sans raison.
     8. v. (Popu) (À la fin d'une phrase affirmative) N'est-ce pas ?
     9. interj. Utilisé seul, souvent de manière exclamative et en réponse à une question ou une situation, marque un refus, une opposition.
     10. n-m. Réponse de non.
           Le non français au traité constitutionnel européen.
           Il ne faut pas tant de discours, on ne vous demande qu'un oui ou un non.
enracinée
     1. adj. Féminin singulier de enraciné.
     2. v. Participe passé féminin singulier de enraciner.
Dans
     1. n. Nom de famille.
     2. prep. Préposition de lieu qui marque le rapport d'une personne ou d'une chose à ce qui la contient. Introduit un complément circonstanciel de lieu.
           Dans la forêt, il y a des arbres.
           Il y a du fer dans les lentilles.
           Il nage comme un poisson dans l'eau.
           Il est dans la salle à manger.
           Être dans la chambre, entrer dans la chambre.
           Dans telle ou telle circonstance. Dans l'occurrence.
           Mettre quelque chose dans une armoire, un tiroir, etc.
           Avoir quelque chose dans la bouche.
           L'épée lui est entrée bien avant dans le corps.
           Ce passage est dans tel ouvrage.
           Une glose qui a passé dans le texte.
           Insérer un article dans un journal.
           Être dans ses meubles : Avoir des meubles à soi.
     3. prep. S'applique à des termes abstraits pour désigner la situation qu'une personne occupe, l'état où elle est, la disposition où elle se trouve, etc.
           Entrer dans la magistrature.
           Se mettre dans les affaires.
           Être dans l'infanterie.
           Vieillir dans la misère.
           Vivre dans l'oisiveté.
           Il est dans l'attente, dans l'affliction, dans les larmes.
           Entrer dans les vues, dans les sentiments de quelqu'un.
           Dans sa fureur, il ne voulut rien entendre.
     4. prep. Avec.
           Il a fait cela dans la pensée d'en tirer de l'utilité.
           Il a fait cela dans le dessein, dans la vue de s'établir.
     5. prep. Selon.
           Il est dans sa nature de parler à tort et à travers.
           Ce mot est employé dans telle acception.
           On doit prendre ce passage dans un tout autre sens.
     6. prep. Avec des mots qui indiquent une époque, une durée.
           Il fait deux fois plus d'ouvrage que son frère dans le même temps.
           Ces événements eurent lieu dans la même année. Dans sa jeunesse. Dans mon enfance.
           Dans tel temps signifie aussi Après tel temps, au bout de tel temps.
     7. prep. Indique un moment postérieur au moment de l'énonciation.
           Il arrivera dans trois jours.
           Dans combien de temps ? Dans un moment. Dans peu de temps.
           Dans cinq ans, je serais grand.
la
     1. art. Féminin singulier de le. Détermine un groupe nominal féminin singulier.
           La navette Atlantis fut remisée en 2010.
           La Franche-Comté.
     2. n-f. Féminin singulier de le. Représente un groupe nominal féminin singulier complément d'objet direct (pour le pronom féminin complément d'objet indirect, voir lui).
           Je la reconnais et non pas Je reconnais <s>elle</s>.
     3. n-m. (Musique) Sixième note de la gamme. Le la de référence a une fréquence de 440 hertz.
           Donner le la.
     4. n-m. Première lettre de l'alphabet santâlî : &#x1c5a;.
religion
     1. n-f. Système de représentation du monde et de croyances fondé sur la foi, et consolidé par l'accomplissement de rites dans le cadre d'un culte rendu à une ou plusieurs puissances, souvent célestes.
           L'aumônier répondit : Que sa religion, son état, les bonnes mœurs et l'honnêteté ne lui permettaient pas d'accepter ces offres.
     2. n-f. (Religion) Culte qu'on rend à la divinité.
           La religion antique, chrétienne, hindoue, juive, japonaise, musulmane ; une religion de la nature, païenne, primitive, polythéïste ; une fausse religion, une religion nouvelle.
           La religion dominante; une religion minoritaire, opprimée, persécutée, disparue.
           Et même, (Par extension) Une religion laïque.
     3. n-f. (Sens courant) Doctrine religieuse.
           Les Deux sources de la morale et de la religion est un ouvrage de Bergson (1932).
     4. n-f. Foi ; croyance ; piété ; dévotion.
     5. n-f. (En particulier) Conception particulière de la foi qu'un croyant fidèle à l'Église exprime dans son œuvre.
           La religion de Pascal, de Claudel, de Mauriac, de Bernanos, de Teilhard de Chardin.
     6. n-f. (Droit canon) État des personnes s'étant engagées par des vœux solennels à suivre une règle au sein d'un ordre monastique.
           Ce bénédictin a trente ans de religion.
           Mademoiselle X., en religion sœur sainte Geneviève, sœur Angèle.
     7. n-f. (Désuet) (Absolument) Ordre de Malte.
           Ce chevalier avait servi tant d'années la religion. — Les galères de la religion.
     8. n-f. (Désuet) (Absolument) Religion prétendue réformée.
           — Beaucoup de huguenots, oui, Monsieur, répondit brusquement La Hurière ; puis se reprenant : Ah ! pardon, dit-il ; ces Messieurs sont peut-être de la religion ?
     9. n-f. Scrupule, obligation rigoureuse qu'on s'impose, respect de règles presque sacrées.
           Si l'orthographe est devenue une religion, Monsieur P. passe à coup sûr auprès des téléspectateurs pour en être le grand-prêtre.
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