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je
     1. n. Pronom de la première personne du singulier. Peut aussi bien être masculin que féminin. Utilisé exclusivement en tant que sujet. Devant une voyelle ou un h muet, il s'élide en j'.
           Je suis en France.
           Je m'appelle « Isabelle ».
           J'habite à Paris.
           J'organise un voyage.
           (informel) Hé ! J'te cause !
           (informel) J'prendrais bien un p'tit verre, et toi ?
     2. n. (Psychologie) (souvent entre guillemets) Entité perçue par le sujet comme le cœur et l'essence même de son existence en tant qu'individu.
ai
     1. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de avoir.
     2. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent du verbe auxiliaire avoir.
           Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu.
su
     1. v. Participe passé masculin singulier du verbe savoir.
     2. n-m. Connaissance qu'on a de quelque chose.
     savoir
          1. v. Connaître ; avoir connaissance de.
                Tu sais, ô mon seigneur, que je sais que tu sais
          2. v. Avoir dans la mémoire.
                L'écolier sait sa leçon. L'actrice sait mal son rôle. — L'orateur savait son discours par cœur.
          3. v. Posséder quelque science, quelque art, être instruit, habile en quelque profession, en quelque exercice.
                On ne peut tout savoir. — Savoir jouer du violon. — Savoir danser. — Savoir se battre.
          4. v. (Absolument) Avoir l'esprit orné et rempli de choses utiles.
                C'est un homme qui sait. — Il a un grand désir de savoir.
          5. v. Être accoutumé ou exercé à une chose, la bien faire.
                Savoir parler aux foules. — Il sait persuader. — Il sait plaire.
                Il sait plaisanter. — Il sait vaincre ses passions. — Il sait se modérer, se contenter de peu.
          6. v. Avoir le pouvoir, la force, le moyen, l'adresse, l'habileté de faire quelque chose.
                Je saurai bien le faire obéir. — Je saurai bien me défendre.
                Je n'y sais, je n'y saurais que faire. — Il n'a su en venir à bout.
          7. v. Pouvoir. — (note) Dans ce sens, il s'emploie surtout avec le conditionnel et avec la négation ne.
                Je ne saurais faire ce que vous me dites. — Ne sauriez-vous aller jusque-là ? — On ne saurait avoir plus d'esprit.
          8. v. (Belgique) Pouvoir — (note) Il peut être à l'indicatif, dans une phrase positive.
                Sais-tu me passer le sel ?
                Je ne sais pas venir au rendez-vous, j'ai un empêchement.
          9. v. Apprendre, être instruit ou être informé de quelque chose.
          10. v. (En parlant d'une personne ou d'une chose) Être informé qu'une personne ou qu'une chose existe ou peut être trouvée.
                Je sais un habile horloger qui demeure près d'ici.
          11. n-m. Ensemble des connaissances acquises par l'étude, par l'expérience.
          12. conj. (Par ellipse) À savoir.
                Ainsi, en ce qui concerne le travail national, il est encouragé dans la mesure de 15 fr., savoir :
          13. conj. (Familier) Pour marquer qu'on doute que quelque chose.
                Vous me dites qu'ils contribueront tous également à cette affaire, savoir si vous en serez approuvé.
savoir
     1. v. Connaître ; avoir connaissance de.
           Tu sais, ô mon seigneur, que je sais que tu sais
     2. v. Avoir dans la mémoire.
           L'écolier sait sa leçon. L'actrice sait mal son rôle. — L'orateur savait son discours par cœur.
     3. v. Posséder quelque science, quelque art, être instruit, habile en quelque profession, en quelque exercice.
           On ne peut tout savoir. — Savoir jouer du violon. — Savoir danser. — Savoir se battre.
     4. v. (Absolument) Avoir l'esprit orné et rempli de choses utiles.
           C'est un homme qui sait. — Il a un grand désir de savoir.
     5. v. Être accoutumé ou exercé à une chose, la bien faire.
           Savoir parler aux foules. — Il sait persuader. — Il sait plaire.
           Il sait plaisanter. — Il sait vaincre ses passions. — Il sait se modérer, se contenter de peu.
     6. v. Avoir le pouvoir, la force, le moyen, l'adresse, l'habileté de faire quelque chose.
           Je saurai bien le faire obéir. — Je saurai bien me défendre.
           Je n'y sais, je n'y saurais que faire. — Il n'a su en venir à bout.
     7. v. Pouvoir. — (note) Dans ce sens, il s'emploie surtout avec le conditionnel et avec la négation ne.
           Je ne saurais faire ce que vous me dites. — Ne sauriez-vous aller jusque-là ? — On ne saurait avoir plus d'esprit.
     8. v. (Belgique) Pouvoir — (note) Il peut être à l'indicatif, dans une phrase positive.
           Sais-tu me passer le sel ?
           Je ne sais pas venir au rendez-vous, j'ai un empêchement.
     9. v. Apprendre, être instruit ou être informé de quelque chose.
     10. v. (En parlant d'une personne ou d'une chose) Être informé qu'une personne ou qu'une chose existe ou peut être trouvée.
           Je sais un habile horloger qui demeure près d'ici.
     11. n-m. Ensemble des connaissances acquises par l'étude, par l'expérience.
     12. conj. (Par ellipse) À savoir.
           Ainsi, en ce qui concerne le travail national, il est encouragé dans la mesure de 15 fr., savoir :
     13. conj. (Familier) Pour marquer qu'on doute que quelque chose.
           Vous me dites qu'ils contribueront tous également à cette affaire, savoir si vous en serez approuvé.
Ce
     1. adj. (Rare) Centième.
     2. adj. Déterminant utilisé pour mettre en évidence une chose ou une personne dont on a la représentation devant soi. Lorsque l'objet est en nombre multiple ou lorsqu'on veut appuyer encore plus sur ce qu'on veut montrer, on rajoute -ci ou -là (selon la dis
           Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n'y a qu'un seul chien)
           Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
           Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l'autre chien, le plus éloigné)
           Je vais prendre ce chemin.
           Je me suis adressé à cet homme.
           Cette femme est mère de trois enfants.
           Ces livres sont intéressants.
           Il est impossible de sortir par ce temps-là.
     3. adj. Lorsqu'on veut mettre en évidence un objet ou une personne en rapport avec un(e) autre, on utilise les adverbes -ci et -là après chaque nom (bien que l'usage tende à utiliser les pronoms celui-là, celle-là, ceux-là ou celles-là cela pour éviter la r
           Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
           Plutôt que d'acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
     4. adj. Dans les expressions où ce est utilisé avec un nom indiquant une période, le -ci représente le présent, alors que le -là représente le passé (la distance devient temporelle).
           Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
           Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
           Qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
           Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
           — Je suis passé vers dix heures hier soir.
     5. adj. On l'utilise également pour reprendre l'objet ou la personne décrit dans la phrase précédente.
           La semaine dernière, j'ai lu L'Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
           Je cherche depuis tout à l'heure un marteau. J'ai vraiment besoin de cet outil.
     6. n. Utilisé en tant que pronom démonstratif neutre et impersonnel, notamment avec des verbes comme être, devoir ou pouvoir, référant à la situation actuelle, à la phrase précédente ou à n'importe quelle chose qui n'est pas encore exprimée.
           Ce serait le comble qu'il ne vienne pas !
           C'est mon anniversaire aujourd'hui.
           Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
           Ça sonne ! Ce doit être lui !
           Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
           Sur ce, au revoir !
           Ç'avait été plus intéressant qu'on ne l'avait imaginé.
     7. n. Dans les locutions conjonctives ce que, ce qui, ce dont, ce sur quoi, il sert à représenter une idée ou une action dont il a été question plus tôt.
           Les hirondelles s'envolent, ce qui montre que l'hiver n'est pas loin.
           Ce que je voulais dire, c'est que tu dois t'en occuper au plus vite.
           C'est exactement ce dont j'avais besoin.
           Le temps, c'est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
     8. n. Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
           Le temps, c'est de l'argent.
     9. n. (C'est … ; c'est … qui … ; c'est … que …) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
     10. n. (C'est … qui …) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
           — Qu'est-ce qui se passe ?
     11. n-f. (Vieilli) Abréviation de case.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
ce que
     1. n. La chose que. Pronom relatif de l'objet direct inanimé utilisé sans antécédent.
     2. n. (A est à B ce que C est à D) Montre une analogie proportionnelle de quatre choses ou personnes. A : B = C : D.
     3. n. Pronom interrogatif de l'objet direct inanimé utilisé seulement en interrogation indirecte.
           J'aimerais savoir ce que je vais devenir.
           Il demande ce qu'il peut faire.
c'était
     ce
          1. adj. Déterminant utilisé pour mettre en évidence une chose ou une personne dont on a la représentation devant soi. Lorsque l'objet est en nombre multiple ou lorsqu'on veut appuyer encore plus sur ce qu'on veut montrer, on rajoute -ci ou -là (selon la dis
                Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n'y a qu'un seul chien)
                Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
                Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l'autre chien, le plus éloigné)
                Je vais prendre ce chemin.
                Je me suis adressé à cet homme.
                Cette femme est mère de trois enfants.
                Ces livres sont intéressants.
                Il est impossible de sortir par ce temps-là.
          2. adj. Lorsqu'on veut mettre en évidence un objet ou une personne en rapport avec un(e) autre, on utilise les adverbes -ci et -là après chaque nom (bien que l'usage tende à utiliser les pronoms celui-là, celle-là, ceux-là ou celles-là cela pour éviter la r
                Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
                Plutôt que d'acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
          3. adj. Dans les expressions où ce est utilisé avec un nom indiquant une période, le -ci représente le présent, alors que le -là représente le passé (la distance devient temporelle).
                Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
                Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
                Qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
                Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
                — Je suis passé vers dix heures hier soir.
          4. adj. On l'utilise également pour reprendre l'objet ou la personne décrit dans la phrase précédente.
                La semaine dernière, j'ai lu L'Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
                Je cherche depuis tout à l'heure un marteau. J'ai vraiment besoin de cet outil.
          5. n. Utilisé en tant que pronom démonstratif neutre et impersonnel, notamment avec des verbes comme être, devoir ou pouvoir, référant à la situation actuelle, à la phrase précédente ou à n'importe quelle chose qui n'est pas encore exprimée.
                Ce serait le comble qu'il ne vienne pas !
                C'est mon anniversaire aujourd'hui.
                Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
                Ça sonne ! Ce doit être lui !
                Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
                Sur ce, au revoir !
                Ç'avait été plus intéressant qu'on ne l'avait imaginé.
          6. n. Dans les locutions conjonctives ce que, ce qui, ce dont, ce sur quoi, il sert à représenter une idée ou une action dont il a été question plus tôt.
                Les hirondelles s'envolent, ce qui montre que l'hiver n'est pas loin.
                Ce que je voulais dire, c'est que tu dois t'en occuper au plus vite.
                C'est exactement ce dont j'avais besoin.
                Le temps, c'est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
          7. n. Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
                Le temps, c'est de l'argent.
          8. n. (C'est … ; c'est … qui … ; c'est … que …) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
          9. n. (C'est … qui …) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
                — Qu'est-ce qui se passe ?
          10. n-f. (Vieilli) Abréviation de case.
     était
          1. v. Troisième personne du singulier de l'imparfait du verbe être.
     être
          1. v. Définir un état, une caractéristique du sujet. (note) En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu'il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, ex
                Je suis petit et barbu.
                Est-il malade ?
                Cet homme est président de ce pays depuis quatre ans.
                L'eau nous est indispensable.
                — D'où est-il ?
          2. v. Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
                Nous sommes en ville.
          3. v. (Absolument) Exister.
                Être, ou ne pas être, c'est là la question.
                Il n'est plus, il est mort.
          4. v. (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
                Il est des hommes que la résistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage.
                Il est, près de ces lieux, une retraite ignorée.
          5. v. (Impersonnel) Le moment de la journée. (note) Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C'est quelle heure ?
                — Quelle heure est-il ?
                Il est l'heure de partir.
                Il est tard.
          6. v. Le jour de la semaine ou la date du moment.
                — Quel jour sommes-nous ?
                Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
          7. v. (Familier) Aller, se rendre. (note) Avec l'auxiliaire avoir.
                Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
          8. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d'état et tous les verbes réflexifs.
                Il est passé.
                Il est tombé.
                Il s'est trompé.
          9. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
                Quand il sera aimé.
          10. v. (Construit avec sur ou dessus) S'occuper d'une affaire particulière, s'en occuper.
          11. n-m. Existence, c'est-à-dire le fait d'exister, au sens abstrait.
          12. n-m. Organisme, créature vivante.
          13. n-m. Personnalité ; âme.
          14. n-m. (Plus rare) Ce qui constitue une chose.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
être de
     1. v. Être originaire de.
           Nous sommes tous de Fort-de-France.
     2. v. Être obligé à faire.
           Aujourd'hui, c'est Jacques qui est de corvée de vaisselle.
           Ce week-end, je suis d'astreinte.
     3. v. Être invité, ou s'être engagé, à participer, assister, à un événement (avec parfois une notion de contrainte, ou de promesse qu'on ne peut annuler).
           Ah, non, désolé, je ne peux pas venir : je suis de mariage.
           Pour le 11 novembre, tu es de cérémonie.
être
     1. v. Définir un état, une caractéristique du sujet. (note) En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu'il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, ex
           Je suis petit et barbu.
           Est-il malade ?
           Cet homme est président de ce pays depuis quatre ans.
           L'eau nous est indispensable.
           — D'où est-il ?
     2. v. Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
           Nous sommes en ville.
     3. v. (Absolument) Exister.
           Être, ou ne pas être, c'est là la question.
           Il n'est plus, il est mort.
     4. v. (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
           Il est des hommes que la résistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage.
           Il est, près de ces lieux, une retraite ignorée.
     5. v. (Impersonnel) Le moment de la journée. (note) Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C'est quelle heure ?
           — Quelle heure est-il ?
           Il est l'heure de partir.
           Il est tard.
     6. v. Le jour de la semaine ou la date du moment.
           — Quel jour sommes-nous ?
           Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
     7. v. (Familier) Aller, se rendre. (note) Avec l'auxiliaire avoir.
           Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
     8. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d'état et tous les verbes réflexifs.
           Il est passé.
           Il est tombé.
           Il s'est trompé.
     9. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
           Quand il sera aimé.
     10. v. (Construit avec sur ou dessus) S'occuper d'une affaire particulière, s'en occuper.
     11. n-m. Existence, c'est-à-dire le fait d'exister, au sens abstrait.
     12. n-m. Organisme, créature vivante.
     13. n-m. Personnalité ; âme.
     14. n-m. (Plus rare) Ce qui constitue une chose.
pauvre
     1. adj. Qui est dans la pauvreté ; qui ne dispose pas de ressources suffisantes.
     2. adj. Qui dénote la pauvreté.
           Une ville, une maison pauvre.
     3. adj. Qui ne renferme, ne dispose que de peu de quelque chose.
           Un aliment pauvre en gras, en fer, en vitamines, en sel.
           Une personne pauvre d'esprit, d'argent, de talent, de ressources.
           Une terre pauvre.
     4. adj. Qui inspire la pitié, la compassion.
           Mon pauvre ami, vous voici bien ennuyé.
           Ce pauvre petit s'est perdu.
           Je suis une pauvre rate
           Il se dit aussi par manière de plainte.
           Voilà mon pauvre manteau tout gâté.
           Nos pauvres vignes sont toutes gelées.
           Il a eu en me voyant un pauvre sourire.
     5. adj. Qui inspire le mépris.
           Pauvre imbécile !
           Il a fait un pauvre discours.
     6. adj. (Midi) Mort, décédé.
           Mon pauvre grand-père.
     7. adj. Sans variété ; sans subtilité.
           Cet enfant à un vocabulaire bien pauvre pour son âge.
     8. adj. Employé dans au sens figuré, il précède en général le nom, et il le suit quand il est employé au propre.
           Un pauvre écrivain n'est pas la même chose qu'un écrivain pauvre ; dans le premier cas l'écrivain manque de talent ; dans le second cas, il manque d'argent.
     9. n. Personne qui vit dans la misère.
     10. n. (Figuré) Personne à qui il manque une qualité.
           Pauvres en esprit, ceux qui ont le cœur et l'esprit détachés des biens de la terre.
     11. n. Personne qui n'a pas de quoi subsister honorablement selon sa condition.
           Cet homme fait le pauvre, il feint de n'avoir pas le nécessaire convenable à son état.
     12. interj. (Provence, Gard) Exprime la surprise, généralement négative ; s'utilise habituellement précédé de oh.
           Oh pauvre ! Tu as vu le prix le prix des billets ? On pourra jamais retourner à Cassis à ce prix-là !
En
     1. n. (Géographie) Ancienne commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales.
     2. prep. Utilisé après certains verbes.
           Croire en Dieu.
           Mise en œuvre.
     3. prep. Permet de préciser une matière.
           Un évier en émail.
     4. prep. Indique le lieu.
           Être en France. — Aller en Amérique.
           Mettre quelqu'un en prison.
           Marcher en tête.
           Mettre en ligne.
     5. prep. Cette préposition a divers emplois spéciaux. Ainsi, très souvent, elle précède un mot qui indique ou détermine l'état absolu ou relatif, la manière d'être, la disposition, la modification d'une personne ou d'une chose.
           Un habit en lambeaux.
           Teindre, colorer en bleu, en rouge.
     6. prep. Elle introduit également le mot qui indique ou détermine :
           À quoi une personne est occupée, appliquée.
           Être en affaire, en prières.
           Le résultat d'un changement de nature.
           Narcisse fut métamorphosé en fleur.
           Éclater en sanglots.
           La forme.
           Des arbres taillés en buisson. — Une fenêtre en ogive.
           Le genre de culture.
           Cet hectare est en vignes. — Ce terrain a été mis en potager, est en potager.
           Le mode de division.
           Diviser en deux, en trois, etc.
           Une comédie en cinq actes.
           L'espèce de vêtement qu'une personne a sur elle.
           Être en uniforme. — Être en pantoufles.
     7. prep. Elle introduit aussi très fréquemment le mot qui détermine à quoi est relative, à quoi est restreinte, ou de quel point de vue est considérée la chose, la qualité, l'action, etc., dont il s'agit.
           Bon en mathématiques. — Docteur en médecine.
           Une terre fertile en blé.
     8. prep. Elle sert encore, particulièrement, à marquer la conformité.
           En bonne règle. — Je vous le dis en vérité.
     9. prep. Elle sert à indiquer encore :
           La manière dont se fait une action.
           Je vous expliquerai la chose en deux mots.
           Ils s'y rendirent en toute hâte.
           Le langage ou le genre d'écriture qu'on emploie.
           Écrire un ouvrage en grec, en français, en latin, etc.
           Ils s'entretenaient en anglais.
           La destination.
           Mettre en vente.
           Donner en otage.
           Le motif qui fait agir ou La fin qu'on se propose.
           En vue de lui plaire.
     10. prep. Il sert de plus à marquer le rapport au temps et signifie durant, pendant.
           En hiver. — En votre absence. — En temps de paix.
     11. prep. Permet de préciser un moyen de transport. (note) Traditionnellement, on utilise en pour des moyens de transport dans lesquels on se trouve (en voiture, par exemple), et à pour ceux qu'on enfourche, sur le modèle de à cheval. Mais il semble y avoir u
           Je suis allé en Corse en avion, mais je suis revenu en bateau.
     12. prep. Forme un gérondif qui marque le temps, la durée.
           Lambert hochait la tête en souriant. (Beauvoir, Mandarins, 1954)
           En allant à l'université, j'ai rencontré une belle fille.
     13. prep. Remplace à la ou à l' du locatif du nom d'un pays ou d'un continent. Cet usage est parallèle à la suppression de l'article dans de la ou de l' de l'ablatif correspondant. Il y a d'autres noms qui suivent cette règle, comme les noms des saisons.
     14. n. (remplaçant un COI avec de) De ça.
           J'en ai été informé. — Je n'en sais rien.
     15. n. (Remplaçant un nom sans déterminant ou un nom indéfini du COD ou du sujet de la copule) Personne, chose de cette espèce, d'entre eux, d'entre elles. (usage) Utilisé tout seul ou avec une quantification.
           Lucien : Dis donc, Charlot, as-tu un sou ?
           — Halte ! Avez-vous des allumettes ?
           Lady Caroline : On m'a dit que vous n'aviez pas de manoir, en Amérique ?
     16. n. (remplaçant un nom avec de dans le COD, dans le sujet de la copule ou dans l'attribut) De ça. (usage) Pour une personne, on utilise de lui, d'elle, etc. ou un adjectif possessif.
     17. n. (Adverbe de lieu) De ce lieu. De là. De ce côté-là
           La piscine ? J'en viens !
désirant
     1. adj. Qui désire.
     2. v. Participe présent du verbe désirer.
     désirer
          1. v. Vouloir posséder un bien ou un avantage qu'on n'a pas.
                Il désirait cette promotion plus que tout au monde.
          2. v. Souhaiter.
                Je désire ta présence à cet événement.
                (Commerce, hôtellerie) Que désire Madame ? Monsieur désire ? Vous désirez ?
          3. v. Éprouver un désir charnel pour un homme ou une femme, avoir envie de faire l'amour avec cette personne.
la
     1. art. Féminin singulier de le. Détermine un groupe nominal féminin singulier.
           La navette Atlantis fut remisée en 2010.
           La Franche-Comté.
     2. n-f. Féminin singulier de le. Représente un groupe nominal féminin singulier complément d'objet direct (pour le pronom féminin complément d'objet indirect, voir lui).
           Je la reconnais et non pas Je reconnais <s>elle</s>.
     3. n-m. (Musique) Sixième note de la gamme. Le la de référence a une fréquence de 440 hertz.
           Donner le la.
     4. n-m. Première lettre de l'alphabet santâlî : &#x1c5a;.
fortune
     1. n-f. Hasard, chance.
           La fortune des armes. J'en courrai la fortune. La mauvaise fortune le poursuit.
     2. n-f. (Marine)
           Tempête.
           (par extension) Péril en mer, aléa, et donc voile de réserve en cas de tempête : la « fortune carrée ».
     3. n-f. (Galanterie) Les faveurs d'une femme.
           Il a eu beaucoup de bonnes fortunes. Un homme à bonnes fortunes.
     4. n-f. Tout ce qui arrive ou peut arriver de bien ou de mal à quelqu'un.
           Je partageai sa bonne et sa mauvaise fortune.
           Nous ne pouvons prédire quelle sera la fortune de ce livre, de cet ouvrage. La fortune des états, des empires.
           Cette doctrine a eu des fortunes très diverses.
     5. n-f. Avancement, établissement dans les emplois, dans les honneurs, dans les biens.
     6. n-f. (Religion) Divinité païenne qui était censée distribuer, à son gré, le bonheur et le malheur. — (note) S'emploie, par allusion à ce sens, dans un grand nombre de phrases figurées.
           La fortune est aveugle, inconstante, capricieuse, changeante.
           L'inconstance, le caprice, la bizarrerie, les revers, les rigueurs de la fortune.
           La fortune distribue inégalement ses faveurs. Il est maltraité de la fortune.
           La fortune lui sourit. La fortune lui a tourné le dos.
     7. n-f. Les biens, richesses, ressources pécuniaires.
pour
     1. prep. Au motif de ; dans le but de ; afin de ; à destination de.
           Cet homme fait de l'exercice pour sa santé.
           Cette lettre n'est pas pour lui.
           Ces gens-là semblent faits, sont faits l'un pour l'autre.
           Cet homme n'est pas fait pour le métier qu'il a choisi.
           Travailler pour la gloire.
           Des vêtements pour enfants.
     2. prep. À cause de, en considération de.
           Il fera cela pour vous.
           Faites cela pour Dieu, pour l'amour de Dieu.
           Il ne fera cela ni pour or, ni pour argent.
           Je ne ferais pas cela pour un empire.
           Il se lâche pour rien.
           C'est pour cette raison qu'il est parti.
           Il a été puni pour une faute légère.
           Il est estimé pour ses vertus.
     3. prep. En faveur de, en vue de la défense de.
           Ce que je dis est autant pour vous que pour moi.
           Je lui parlerai pour vous.
           Je tiens pour vous contre lui.
           Tous les honnêtes gens sont pour vous.
           Il avait tout le monde pour lui.
           Plaider pour un tel contre tel autre.
           Mourir pour la patrie.
     4. prep. Envers, à l'égard de.
           La tendresse d'une mère pour ses enfants.
           Son amour pour la patrie.
           Mon affection, mon attachement pour vous.
           Il est un peu refroidi pour moi.
           J'ai du respect pour sa mémoire.
           Mes sentiments pour vous ne sont pas douteux.
           La haine, l'aversion qu'il a pour lui.
           Ce remède est bon pour la fièvre.
     5. prep. Il sert aussi à marquer le rapport entre une chose qui affecte en bien ou en mal et la personne qui en est ou qui en doit être affectée.
           C'est une grande perte pour vous.
           C'est un grand bonheur pour moi.
           C'est pour eux une grande consolation, un grand avantage.
           Cela est heureux, malheureux pour votre ami.
           Il y aurait du déshonneur pour vous.
           Il y aura beaucoup de gloire pour lui.
     6. prep. Eu égard à, par rapport à.
           Cette robe est bien chaude pour la saison.
           La porte est bien étroite pour une pareille maison.
           Sa dépense est peu considérable pour son revenu.
           Son train est mesquin pour un ambassadeur.
           Vous êtes trop savant pour moi.
           Il est bien grand pour son âge.
           Voilà une grande faiblesse pour un philosophe.
           Ce qui est bon pour vous ne serait pas bon pour moi.
           Cela ne vaut rien pour votre estomac.
           Voilà une mauvaise affaire pour un homme accoutumé à en faire de si bonnes.
     7. prep. Précédé des mots assez et trop, il s'emploie dans les phrases qui expriment la suffisance ou l'excès. (note) Quelquefois on peut supprimer l'adverbe assez.
           Y en a-t-il assez pour tout le monde ?
           Cela est assez bon pour lui.
           C'est assez pour aujourd'hui.
           Ce couvercle est assez grand pour le vase.
           Cet habit est trop petit pour ma taille.
           Il a trop vécu pour sa gloire.
           Il y en aura (sous-entendu : assez) pour tout le monde.
     8. prep. Pour que, afin de, à l'effet de, en vue de, dans le dessein de. - (usage) Il est alors suivi d'un verbe à l'infinitif.
           Il est encore assez jeune pour s'instruire.
           Je suis assez votre ami pour ne pas vous flatter.
           Il est trop franc pour vous tromper.
           J'ai fait tout mon possible pour gagner son amitié.
           Je manque de termes pour exprimer ce que je sens.
           J'avais dit cela pour rire, et non pour vous fâcher.
           Pour ne vous rien déguiser.
           Pour ainsi dire.
           Pour vous parler net.
           Pour vous parler franc.
           Pour dire le vrai.
           Semer pour récolter.
           Je suis venu pour le complimenter.
           On l'a envoyé pour traiter de l'échange des prisonniers.
           On le cherche pour l'arrêter.
     9. prep. Moyennant un certain prix, en échange de.
           J'ai donné mon argenterie pour un diamant.
           Il a cédé sa voiture pour un morceau de pain.
           À cette vente, on avait des tableaux de maître pour rien.
     10. prep. (Commerce) (Finance) À proportion de.
           Cinq pour cent, dix pour cent, cent pour cent, etc.
     11. prep. À la place de, au lieu de, au nom de.
           Il répondit pour un tel à la sommation.
           Jouez pour moi.
           Ce mot s'emploie souvent pour tel autre.
           Pour le président, le secrétaire général.
     12. prep. Comme, en qualité de, en guise de.
           Ils l'ont laissé pour mort sur la place.
           Tenez-moi pour un méchant homme si… pour qui me prenez-vous ?
           Prendre quelqu'un pour employé, pour domestique.
           Il l'a prise pour femme.
           L'avoir pour ami.
           On m'a pris pour dupe.
           Je tiens pour certain.
           J'ai pour principe.
           Je me le tiens pour dit.
           Il a pour lit une simple paillasse.
           Être pour beaucoup, pour peu dans quelque chose, n'y être pour rien, Y avoir beaucoup de part, peu de part, n'en avoir point du tout.
           Il n'est pas pour peu dans cette affaire.
           Je suis pour beaucoup dans la résolution qu'il a prise.
la
     1. art. Féminin singulier de le. Détermine un groupe nominal féminin singulier.
           La navette Atlantis fut remisée en 2010.
           La Franche-Comté.
     2. n-f. Féminin singulier de le. Représente un groupe nominal féminin singulier complément d'objet direct (pour le pronom féminin complément d'objet indirect, voir lui).
           Je la reconnais et non pas Je reconnais <s>elle</s>.
     3. n-m. (Musique) Sixième note de la gamme. Le la de référence a une fréquence de 440 hertz.
           Donner le la.
     4. n-m. Première lettre de l'alphabet santâlî : &#x1c5a;.
donner
     1. v. Faire un don ; transférer, sans rétribution, la propriété d'une chose que l'on possède ou dont on jouit, à une autre personne.
           Offrir à des invités un dîner, une fête, un bal, etc.
           Donner un dîner, une soirée, une fête, une matinée musicale, dansante, un bal, un concert, la comédie.
           Offrir ; présenter.
           Donner des sièges.
     2. v. Livrer, mettre entre les mains, remettre, confier.
           Donner un paquet au voiturier. - Donner des papiers à un homme d'affaires, à un notaire. - Donner de l'argent pour aller au marché.
     3. v. Transmettre en échange, en retour de quelque chose, de quelque service.
           Combien voulez-vous que je vous en donne ? - Je n'en veux pas donner plus de trente francs. - Il n'a pas voulu me le donner à moins de six euros.
     4. v. Fournir, surtout en parlant de garanties, de gages, de preuves.
           Donner des assurances, des gages, des sûretés. - Donner caution.
           Donner un répondant. - Donnez-nous-en la preuve.
     5. v. Administrer.
           Donner des remèdes. - On lui a donné les sacrements. - Donner le viatique, l'extrême-onction.
     6. v. Infliger, en parlant de supplices, de châtiments, de mauvais traitements.
           Donner le fouet. - Donner une pénitence. - Donner un pensum. - Donner une tâche. - Donner la chasse.
     7. v. Livrer un assaut, une bataille.
           Il résolut de donner l'assaut pendant la nuit. - La bataille se donna le troisième jour.
     8. v. Diriger, appliquer l'action, l'impression, l'effet de quelque chose sur un objet.
           Donner un baiser. - Donner un coup de poing, un coup de pied, un soufflet. - Donner un coup de sabre, de baïonnette, de bistouri, de lancette, un coup de balai, un coup de peigne, de rabot, de lime, etc.
     9. v. Accorder ; octroyer.
           Donner une permission, du repos. - Donnez-moi le loisir d'y penser. - Il ne saurait vous payer, si vous ne lui donnez du temps.
     10. v. (Figuré) (Familier) Sacrifier par dévouement pour quelqu'un, pour quelque chose.
           Il est prêt à donner sa vie pour eux. - Donner son sang pour la patrie.
     11. v. (Figuré) Mettre sous la direction d'un précepteur, d'un gouverneur, d'un maître.
           Donner un précepteur, un gouverneur à un enfant; lui donner un maître de dessin, de danse, etc.
     12. v. (Familier) (Exagération) Vendre à bas prix.
           On donne cela, cela se donne partout au plus bas prix.
           C'est pas donné !
     13. v. (Familier) Payer un salaire, des appointements.
           Combien donnez-vous à vos domestiques par mois ? - On lui donne pour cela mille francs, le logement et la nourriture.
     14. v. Conférer.
     15. v. Représenter devant le public.
     16. v. Faire représenter une pièce de théâtre.
           Racine a donné « Britannicus » en 1669.
     17. v. Prononcer devant un auditoire.
           Donner une conférence, un sermon.
     18. v. Publier ; faire imprimer.
           Donner un livre, un ouvrage au public. - Il a donné une relation de son voyage.
     19. v. (Figuré) Annoncer ou présenter une personne ou une chose pour telle ou telle, comme telle ou telle.
           Je vous donne cet homme-là pour le plus grand fourbe. - Il me l'a donné pour ce qu'il y avait de meilleur, comme ce qu'il y avait de meilleur.
     20. v. Indiquer.
     21. v. Passer du temps avec quelqu'un.
           Donner sa journée, sa soirée, etc. - Vous êtes bien aimable de nous donner votre soirée.
     22. v. Employer, consacrer du temps.
           Donner du temps à quelque chose. - Donner la matinée aux affaires. - Il donne tout son temps à l'étude. - Je donne deux heures par jour à ce travail.
     23. v. Exposer, énoncer, communiquer, faire connaître par le discours ou autrement.
           Donner de longs détails. - Donner la description de quelque chose. - Donner des renseignements de vive voix.
           Donner une explication, des explications. - Donner ses raisons. - Donner pour prétexte. - Donner une réponse.
     24. v. Imposer, prescrire, établir ou indiquer.
           Donner des lois. - Donner des règles. - Donner à faire quelque chose à quelqu'un. - La leçon que je lui ai donnée à étudier.
           C'est lui qui donne le ton dans cette société. - Donner un nom à quelqu'un, à une plante, à un animal. Donner un titre à un ouvrage.
     25. v. Attribuer.
           Tout le monde lui donne tort. - On lui donne un tel pour père. - On donne un tel pour amant à cette femme.
           On lui donne tout le blâme, tout l'honneur, toute la gloire. - Se donner l'honneur, la gloire d'une chose qu'on n'a pas faite. - Quel âge donnez-vous à cette personne ? On ne lui donnerait pas plus de trente ans.
     26. v. (En particulier) Faire prendre à une chose, par un travail, par une action, par un moyen quelconque, une situation, une forme, des dimensions, une apparence, des qualités.
           Donner de la pente à un terrain. - Donner de l'ampleur à une robe. - Donner de la solidité à un édifice. - Donner le poli à une pièce de métal.
     27. v. Fournir, produire, rapporter.
           Cette fontaine a cessé de donner de l'eau. - Cette source donne de l'eau à toute la ville. - Cette plante a donné de nombreux rejetons.
           (absolument) Ce champ a beaucoup donné cette année. - Le blé, le vin a donné, n'a pas donné.
     28. v. Enfanter, procréer.
           Sa femme lui a donné un fils. - Elle lui a donné beaucoup d'enfants.
           (figuré) Les grands hommes que cette ville a donnés à la France. - Cette école a donné des peintres célèbres.
     29. v. Causer ; procurer ; faire avoir.
     30. v. (Exagération) (Surtout au conditionnel) S'engager à faire de grands sacrifices pour qu'une chose fût ou ne fût pas.
           Je donnerais tout au monde - Je donnerais dix ans de ma vie - Je donnerais tout l'or du monde - Que ne donnerais-je pas pour le revoir !
     31. v. Communiquer à quelqu'un une maladie contagieuse dont on est atteint.
           Il lui a donné le sida.
     32. v. Faire contracter en parlant des goûts, des inclinations, etc., que l'on a soi-même.
     33. v. (Argot) Dénoncer ; trahir.
           — Où qu'il travaille ?
     34. v. (Intransitif) Faire la charité, l'aumône.
     35. v. (Intransitif) Distribuer les cartes à jouer.
           Je viens de faire, c'est à vous de donner.
     36. v. (Intransitif) Heurter ; frapper.
           Le vent donne dans les voiles : Il souffle dans les voiles.
           Le soleil donne à plomb : Il darde ses rayons à plomb.
     37. v. (Intransitif) Avoir vue sur.
           Mes fenêtres donnent sur la rue.
     38. v. (Intransitif) Avoir issue.
           Ma maison donne d'un côté dans telle rue, et de l'autre dans un passage.
     39. v. (Intransitif) Tomber, se jeter, se porter dans ou à.
           Donner dans le piège. - Donner dans une embuscade. - Le brouillard les empêcha de s'apercevoir qu'ils donnaient dans la flotte ennemie. - Un navire qui donne à la côte.
     40. v. (Intransitif) (Militaire) (absolument) Aller à la charge contre l'ennemi.
           Donner sur les ennemis. - Ces troupes n'avaient pas encore donné. - Le général fit donner l'aile gauche, la cavalerie.
     41. v. (Intransitif) Se livrer, par goût, à une activité.
           Donner dans le jeu, dans le luxe, dans la dépense.
     42. v. (Pronominal)
     43. v. (Pronominal) S'attacher à quelqu'un ; se dévouer à lui.
           Il s'est donné à un bon maître. - Ce chien s'est donné à moi.
     44. v. (Pronominal) (figuré) Annoncer ou présenter une personne ou une chose pour telle ou telle, comme telle ou telle.
           Se donner pour riche, pour savant. - Se donner pour ce qu'on n'est pas.
     45. v. (Pronominal) Se mettre sous la domination de quelqu'un.
     46. v. (Pronominal) Vouer à quelqu'un toute son affection.
           Un cœur qui se donne tout entier.
     47. v. (Pronominal) Accorder les dernières faveurs, coucher avec un homme, en parlant d'une femme.
     48. v. Désigner une autre personne ; s'appeler entre personnes.
           Dans ce genre de banquets, on se donne du Docteur par-ci, du Monsieur le Ministre par-là.
à
     1. prep. Introduit un complément circonstanciel de lieu.
           avec déplacement vers l'endroit cité
           Je vais à la plage.
           Arriver à bord.
           Il vient à nous.
           Tournez à droite, puis à gauche.
           J'irai jusqu'à tel endroit.
           La route de Paris à Versailles.
           sans déplacement
           Mettre pied à terre.
           Conseiller à la Cour de cassation.
           Avocat à la Cour d'appel de Paris.
           Travailler à la mairie.
     2. prep. Introduit un complément circonstanciel indiquant la provenance.
           Puiser de l'eau à une fontaine.
           Prendre à un tas.
           La poésie grecque commence à Homère.
     3. prep. Introduit un complément circonstanciel de temps.
           Les cloches sonnent à midi.
           À ma mort, il héritera de cette maison.
           À la troisième sommation, ils se retirèrent.
           Louer à l'année.
           À bientôt.
     4. prep. Introduit un complément circonstanciel de manière.
           Ils sont partis à l'anglaise.
           Aller à la débandade.
           À la hâte.
           À l'improviste.
           À merveille.
           À la légère.
           À la diable.
     5. prep. Introduit un complément circonstanciel de moyen, et peut se remplacer par « au moyen de ».
           Pêcher à la ligne.
           Jouer à la paume.
           Se battre à l'épée, au pistolet.
           Mesurer à l'aune, au mètre.
           Dessiner à la plume.
           Tracer au crayon, au compas.
           Travailler à l'aiguille. On dit de même par ellipse Des bas à l'aiguille, au métier, etc.
     6. prep. Introduit un complément circonstanciel d'agent. Dans ce cas, à équivaut à par ou de.
     7. prep. Introduit un complément d'attribution.
           Ce livre est à moi.
           Cette ferme appartient à mon père.
           Rendez à César ce qui est à César.
           Il a un style, une manière bien à lui.
           Donner une bague à quelqu'un.
           J'ai prêté ce livre à mon frère.
           Enseigner la géographie à un enfant.
     8. prep. Introduit un complément d'objet indirect.
           Écrire à son ami.
           Obéir à la loi.
           Il demande à sortir.
     9. prep. Suivi d'un nombre, indique une action faite conjointement par plusieurs personnes.
           Louer une maison à trois.
           Être à deux de jeu.
     10. prep. Introduit un complément du nom
           indiquant la destination ou l'usage.
           Moulin à farine.
           Pot à eau.
           Maison à vendre.
           Chambre à coucher.
           Vache à lait.
           Prendre quelqu'un à témoin.
           indiquant l'accompagnement, et peut se remplacer par « avec ».
           Table à tiroir.
           Canne à épée.
           Voiture à deux roues.
           Clou à crochet.
           indiquant la possession
           devant un pronom.
           C'est un ami à moi.
           familièrement, devant un nom. En langage plus soutenu, on utilise la préposition de.
           Ça, c'est la maison à mon père.
           Tu vois qui c'est, la sœur à Marion ?
           La femme au cordonnier, elle m'a acheté dix litres de lait aujourd'hui.
     11. prep. Introduit une locution adverbiale
           comme synonyme de selon, suivant.
           À mon gré.
           À sa fantaisie.
           À sa manière.
           À mon choix.
           À votre avis.
           À ma gauche.
           À leur jugement.
           Chapeau à la mode.
           Habit à ma taille.
           Parler à son tour.
           Marcher à son rang.
           À la rigueur, on pourrait admettre cette opinion.
           À votre compte, je serais votre débiteur.
           À ce que je crois, vous voulez partir.
           Boire à sa soif.
           Manger à sa faim.
           Dieu fit l'homme à son image.
           Il voulut, à l'exemple de son père… à la vérité, à plus forte raison, etc.
           pour indiquer un prix.
           Dîner à trente francs par tête.
           Emprunter à gros intérêts.
           Placer ses fonds à cinq pour cent.
           Les places sont à dix francs.
Mon
     1. n. (Géographie) Commune du canton des Grisons en Suisse.
     2. adj. (Génériquement) (Sens propre) Marque la possession ou l'appartenance. Le possesseur est le locuteur, ce qu'il possède est au masculin singulier. (note) Il s'emploie également dans le cas où la chose possédée est un féminin commençant par une voyelle
     3. adj. (Figuré) Pour exprimer des rapports d'habitude, de connaissance, de proximité, etc.
           (familier) Avec, en plus, une note d'affection.
           Avec une marque de respect ou de reconnaissance.
           Avec un caractère identificatoire.
           Avec une marque de subordination.
           (militaire) Est une forme d'allégeance ou de soumission (obligatoire dans sa forme vocative). (note) Par dérivation de l'expression ancienne mon sire ou mon sieur. Cette forme ne s'applique pas aux grades inférieurs (caporal, sergent, …), aux
     4. v. (Arch) Assurément, vrai. (usage) Utilisé avec le pronom ce et le verbe être, avoir ou faire.
           C'est mon.
           Ç'a mon.
     5. interj. (Lorraine) (Familier) (interjection) Interjection exprimant l'étonnement, la surprise ou l'admiration. (note) Abréviation de mon Dieu.
           Mon ! Le beau petit chien !
     6. n-m. Insigne héraldique japonais.
enfant
     1. n. Garçon ou fille qui n'a pas encore atteint l'adolescence.
     2. n. Fils ou fille, de tout âge, par relation au père ou à la mère.
           Enfant légitime, naturel, naturelle, adoptif, adoptive / d'adoption, du premier lit, du second lit.
     3. n. Descendant, descendante en ligne directe et indirecte.
           Nous sommes tous enfants d'Adam.
     4. n. Personne proche de manière affective, amicale, filiale.
           Ma belle enfant.
           Venez, mon enfant.
           Ma chère enfant, écoutez-moi.
           Courage, enfants, criait-il à ses soldats.
           Voilà une belle enfant !
           Vous êtes une aimable enfant.
     5. n. (Figuré) (Vieilli) Chose qui est produite par une autre, qui en naît, qui en résulte.
           Le remords est enfant du crime.
     6. adj. Qui a le caractère d'un enfant.
           Il est très enfant.
     7. adj. Qui a pratiquement l'âge d'un enfant.
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