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imite
     1. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de imiter.
     2. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de imiter.
     3. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de imiter.
     4. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de imiter.
     5. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de imiter.
     imiter
          1. v. Faire ou s'efforcer de faire exactement la même chose que fait une personne.
                Imitez-le dans tout ce que vous lui verrez faire.
                Le singe imite l'homme.
                Imiter les manières, la voix de quelqu'un.
          2. v. (En particulier) Prendre la conduite, les actions d'une personne pour modèle.
                Imiter ses ancêtres; imiter leurs vertus.
          3. v. (Beaux-Arts) Faire l'image, la ressemblance d'une chose.
                Ce peintre, ce sculpteur s'attache à bien imiter la nature.
                La musique imite le bruit du tonnerre, les gémissements, les cris, etc.
          4. v. S'efforcer de prendre, dans ses compositions, le style, le genre, la manière d'un autre, en parlant d'un écrivain, d'un artiste.
          5. v. Faire un ouvrage dont l'idée principale, le plan, etc., lui ont été suggérés par l'ouvrage d'un autre.
                Imiter Cicéron, Virgile, etc.
                Imiter la manière des grands maîtres.
                Ce tableau est imité de Raphaël.
          6. v. Ressembler à, en parlant des choses.
                Cette pierre imite bien le rubis.
                Ce papier imite le velours.
                Le bruit de cette cataracte imite celui du tonnerre.
Ton
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Trente dans la région du Trentin-Haut-Adige.
     2. adj. Adjectif possessif dont le possesseur est la deuxième personne du singulier et le possédé est masculin singulier.
           As-tu pensé à prendre ton livre ?
           Ton manteau est joli.
     3. adj. Adjectif possessif dont le possesseur est la deuxième personne du singulier et le possédé est féminin singulier. Forme supplétive de ta utilisée pour effectuer une liaison obligatoire avec le mot suivant qui commence par une voyelle ou un h muet.
           Une ville, ta ville ; une île, ton île ; une habitation, ton habitation.
           Une maison, ta maison, ton immense maison.
     4. n-m. Son d'une certaine fréquence.
     5. n-m. Qualité de la voix.
     6. n-m. (Musique) Espace entre certaines notes.
           Il y a un ton entre do et ré, mais un demi-ton entre mi et fa.
     7. n-m. (En particulier) Gamme, nom de la première note de la gamme dont la musique est formée.
     8. n-m. (Ling) Hauteur et modulation d'un son, typiquement d'une syllabe, comme trait phonologique.
     9. n-m. Manière de s'exprimer.
     10. n-m. (Colorimétrie) Niveau de luminosité d'une couleur de base.
           Différents tons de rouge.
     11. n-m. (Cartographie) Caractère d'une couleur associé à la couleur qui produit sur l'œil une sensation lumineuse de niveau élevé.
     12. n-m. (Marine) Partie supérieure du mât.
exemple
     1. n-m. Ce qui peut servir de modèle, ce qui peut être imité.
           … le bon sens ne serait pas le bon sens s'il ne reconnaissait pas la valeur de l'exemple.
     2. n-m. Châtiment, peine infligée à quelqu'un et qui est un avertissement pour les autres.
           Faire un exemple.
           Que cela te serve d'exemple !
     3. n-m. Chose qui est pareille à celle dont il s'agit et qui sert pour l'autoriser, pour la confirmer, ou seulement pour la faire bien connaître, pour en donner une idée plus exacte.
           Ce que vous dites là est sans exemple.
           Il n'y en a point d'exemple.
           Donnez-m'en un exemple.
           Je vous en trouverai cent exemples dans l'histoire.
           Vous dites que cette façon de parler est correcte, apportez-m'en des exemples tirés des bons auteurs.
           Dans cette grammaire, chaque règle est accompagnée de nombreux exemples.
           Citer un exemple.
           Ceci est un exemple que les plus grands esprits peuvent se tromper.
     4. n-m. (Mathématiques) Étude d'une situation sur laquelle s'appliquent des résultats plus généraux énoncés avant.
     5. n-m. (Calligraphie) Patron, modèle sur lequel l'écolier qui apprend à écrire forme ses caractères.
           Un bel exemple d'écriture anglaise, de ronde.
           Un cahier, un livre d'exemples.
     6. n-m. (Par ellipse) Par exemple.
et
     1. conj. Concatène plusieurs concepts dans une même relation. Plusieurs adjectifs peuvent partager le même nom, et plusieurs préfixes peuvent partager le même radical.
           Pierre et Paul vont au marché.
     2. conj. (Logique) Indique une simultanéité de caractéristiques. Énonce la véracité de tous les éléments qu'il relie, indépendamment de l'ordre dans lequel ils sont énoncés.
           Un oiseau est un animal ailé et ovipare.
           Ses yeux sont bruns et le ciel est bleu.
           Le ciel est bleu et ses yeux sont bruns.
           Je n'aime une personne que si elle est cultivée et sympathique et drôle et généreuse.
     3. conj. À la suite de quoi, après quoi. (note) Énonce l'induction entre deux événements, l'ordre ayant une importance.
     4. conj. Il est quelquefois emphatique, au commencement des phrases.
           Et voilà que tout d'un coup…
           Et ainsi, vous osez me dire…
     5. conj. A souvent le sens de mais.
           Il plie et ne rompt pas.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
Ton
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Trente dans la région du Trentin-Haut-Adige.
     2. adj. Adjectif possessif dont le possesseur est la deuxième personne du singulier et le possédé est masculin singulier.
           As-tu pensé à prendre ton livre ?
           Ton manteau est joli.
     3. adj. Adjectif possessif dont le possesseur est la deuxième personne du singulier et le possédé est féminin singulier. Forme supplétive de ta utilisée pour effectuer une liaison obligatoire avec le mot suivant qui commence par une voyelle ou un h muet.
           Une ville, ta ville ; une île, ton île ; une habitation, ton habitation.
           Une maison, ta maison, ton immense maison.
     4. n-m. Son d'une certaine fréquence.
     5. n-m. Qualité de la voix.
     6. n-m. (Musique) Espace entre certaines notes.
           Il y a un ton entre do et ré, mais un demi-ton entre mi et fa.
     7. n-m. (En particulier) Gamme, nom de la première note de la gamme dont la musique est formée.
     8. n-m. (Ling) Hauteur et modulation d'un son, typiquement d'une syllabe, comme trait phonologique.
     9. n-m. Manière de s'exprimer.
     10. n-m. (Colorimétrie) Niveau de luminosité d'une couleur de base.
           Différents tons de rouge.
     11. n-m. (Cartographie) Caractère d'une couleur associé à la couleur qui produit sur l'œil une sensation lumineuse de niveau élevé.
     12. n-m. (Marine) Partie supérieure du mât.
éperon
     1. n-m. (Équitation) Pièce de métal à deux branches, qui s'adapte au talon du cavalier et dont l'extrémité pointue ou portant une molette sert à piquer les flancs du cheval pour le stimuler.
     2. n-m. (Botanique) Prolongement en forme de tube de la corolle ou du calice (ne concerne parfois qu'un pétale ou sépale particulier).
     3. n-m. (Marine) Partie de la proue d'un bâtiment qui se termine en pointe et qui a plus ou moins de saillie en avant.
           L'éperon supportait la figure qui donnait son nom au vaisseau.
           L'éperon des galères antiques était armé de fer.
     4. n-m. (Maçonnerie)
           Sorte de fortification en angle saillant qu'on élève au milieu des courtines, ou devant des portes, pour les défendre.
           Ouvrage en pointe qui sert à rompre le cours de l'eau, devant les piles des ponts, ou sur les bords des rivières.
           Tout pilier qu'on construit extérieurement d'un mur de terrasse de distance en distance, et qui se lie avec le corps du mur pour tenir la poussée des terres (Contrefort, anciennement contre-fort).
     5. n-m. (Géographie) Partie d'un contrefort, d'une chaîne de collines ou de montagnes qui se termine en pointe.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
argent
     1. n-m. (Éléments) Métal solide en conditions atmosphériques, de numéro atomique 47, de symbole chimique Ag. Connu depuis l'antiquité, ce métal blanc, ductile, est considéré comme précieux tant pour sa rareté que pour ses qualités physicochimiques.
     2. n-m. (Chimie) Élément chimique de ce métal.
     3. n-m. (Vieilli) Ressource monétaire sous forme de pièces de monnaie dans ce métal.
           Voulez-vous être payé en or ou en argent ?
           On a battu cette année à la Monnaie tant de millions en argent et tant en or.
     4. n-m. (Commerce) Toute valeur monétaire.
     5. n-m. Couleur gris neutre clair à très clair. Induit souvent une idée de brillance.
     6. n-m. Couleur ou colorant argenté.
     7. n-m. (Héraldique) Métal servant à décrire la couleur blanche d'un élément des armoiries : écu, partition, pièce, meuble, etc.
           D'argent à la bande de sinople chargée de trois sapins du champ, qui est de Les Bouchoux → voir illustration « écu d'argent »
     8. adj. De couleur argent, gris neutre clair à très clair, induisant souvent une idée de brillance.
           Une voiture argent.
d'argent
     1. adj. (Héraldique) Blanc en parlant d'un élément des armoiries : écu, partition, pièce, meuble, etc. L'argent fait partie des métaux.
           D'argent à la bande de sinople chargée de trois sapins du champ, qui est de LesBouchoux → voir illustration « écu d'argent »
Se
     1. n. (Religion) Sainte (comme titre).
           Se Cécile.
     2. n. Pronom personnel de la troisième personne des deux genres et des deux nombres, utilisé comme complément d'objet d'un verbe transitif direct ou indirect.
     3. n. Sert de complément d'objet d'un verbe pronominal réfléchi.
           Il se couche tôt.
           Il s'abstient.
     4. n. Sert de complément d'objet d'un verbe pronominal réciproque.
           Ils se battent.
     5. n. Sert de complément d'objet d'un verbe pronominal de sens passif.
           Ce produit se vend bien.
enfonce
     1. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de enfoncer.
     2. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de enfoncer.
     3. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de enfoncer.
     4. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enfoncer.
     5. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de enfoncer.
     enfoncer
          1. v. Mettre au fond, pousser vers le fond, faire pénétrer bien avant.
                Enfoncer des pieux, des pilotis. — Enfoncer un clou dans la muraille.
                Enfoncer le burin dans le cuivre. — Il lui enfonça son épée dans le corps.
          2. v. Rompre, briser en poussant, en pesant, etc.
          3. v. (Mili) Percer, rompre, renverser en y pénétrant, en parlant d'une ligne de front.
                Enfoncer un bataillon, enfoncer un escadron, enfoncer les rangs, etc.
          4. v. Presser fortement, pour bien faire sentir la pression.
                Enfoncer les éperons à un cheval.
          5. v. (Intransitif) Aller au fond.
                La nacelle enfonça dans l'eau. — Un cheval qui enfonce dans la boue jusqu'au poitrail.
          6. v. (Pronominal) Rentrer dans quelque chose, être aspiré, absorbé par quelque chose.
                Les racines de cet arbre s'enfoncent horizontalement dans ce mur.
          7. v. (Pronominal) (figuré) Se donner tout entier à quelque chose ; s'y absorber entièrement.
                Cet homme s'enfonce dans l'étude, dans la débauche, dans le jeu.
                S'enfoncer dans de profondes rêveries. — S'enfoncer dans ses méditations
          8. v. (Pronominal) Faire de mauvaises affaires ; échouer dans une entreprise.
                Ce banquier a fait de mauvaises spéculations : il s'est enfoncé. — Une affaire qui s'enfonce.
          9. v. (Pronominal) Être entraîné dans une situation négative, sans pouvoir ou sans vouloir réagir.
                Plus les années passaient et plus je m'enfonçais dans le mensonge.
          10. v. (Pronominal) (figuré) Avancer en pénétrant.
          11. v. (Emploi;au passif) Avoir le dessous.
                Le voilà enfoncé.
s'enfoncer
     1. v. (Forme pronominale;enfoncer).
Dans
     1. n. Nom de famille.
     2. prep. Préposition de lieu qui marque le rapport d'une personne ou d'une chose à ce qui la contient. Introduit un complément circonstanciel de lieu.
           Dans la forêt, il y a des arbres.
           Il y a du fer dans les lentilles.
           Il nage comme un poisson dans l'eau.
           Il est dans la salle à manger.
           Être dans la chambre, entrer dans la chambre.
           Dans telle ou telle circonstance. Dans l'occurrence.
           Mettre quelque chose dans une armoire, un tiroir, etc.
           Avoir quelque chose dans la bouche.
           L'épée lui est entrée bien avant dans le corps.
           Ce passage est dans tel ouvrage.
           Une glose qui a passé dans le texte.
           Insérer un article dans un journal.
           Être dans ses meubles : Avoir des meubles à soi.
     3. prep. S'applique à des termes abstraits pour désigner la situation qu'une personne occupe, l'état où elle est, la disposition où elle se trouve, etc.
           Entrer dans la magistrature.
           Se mettre dans les affaires.
           Être dans l'infanterie.
           Vieillir dans la misère.
           Vivre dans l'oisiveté.
           Il est dans l'attente, dans l'affliction, dans les larmes.
           Entrer dans les vues, dans les sentiments de quelqu'un.
           Dans sa fureur, il ne voulut rien entendre.
     4. prep. Avec.
           Il a fait cela dans la pensée d'en tirer de l'utilité.
           Il a fait cela dans le dessein, dans la vue de s'établir.
     5. prep. Selon.
           Il est dans sa nature de parler à tort et à travers.
           Ce mot est employé dans telle acception.
           On doit prendre ce passage dans un tout autre sens.
     6. prep. Avec des mots qui indiquent une époque, une durée.
           Il fait deux fois plus d'ouvrage que son frère dans le même temps.
           Ces événements eurent lieu dans la même année. Dans sa jeunesse. Dans mon enfance.
           Dans tel temps signifie aussi Après tel temps, au bout de tel temps.
     7. prep. Indique un moment postérieur au moment de l'énonciation.
           Il arrivera dans trois jours.
           Dans combien de temps ? Dans un moment. Dans peu de temps.
           Dans cinq ans, je serais grand.
Les
     1. n. (Géographie) Commune d'Espagne, située dans la province de Lérida et la Communauté autonome de Catalogne.
     2. art. Pluriel de le ou la.
     3. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
           Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
dans les
     1. v. (Avec un numéral) Environ ; à peu près.
flancs
     1. n-m. Pluriel de flanc.
     flanc
          1. n-m. Chacune des parties latérales du corps de l'homme ou des animaux, qui est depuis le défaut des côtes jusqu'aux hanches.
                Le flanc droit. — Le flanc gauche. — Il eut le flanc percé d'un coup de flèche.
          2. n-m. Partie qui va de la patte d'avant à la patte d'arrière, chez les quadrupèdes.
                Les flancs d'un cheval. — Presser les flancs de sa monture. — Le lion se bat les flancs avec sa queue.
          3. n-m. Ventre ou partie du ventre qui est comprise entre les deux flancs.
                Le fils que ses flancs ont porté.
                Le flanc qui l'a conçu.
          4. n-m. (Par analogie) Côté de diverses choses.
                (architecture) Le flanc d'un bastion.
                (marine) Le flanc d'un vaisseau.
                Une voiture sur le flanc.
                Un flanc bas.
                Un flanc rasant.
                (militaire) Le flanc d'un bataillon, d'un escadron.
                (militaire) Les flancs d'une colonne, d'une armée.
                (militaire) Une marche de flanc.
                (militaire) Couvrir le flanc d'un bataillon.
                (militaire) Prêter le flanc à l'ennemi.
                (militaire) Découvrir le flanc.
                (militaire) Attaquer l'ennemi par le flanc.
                (militaire) Une attaque de flanc : Une attaque sur le flanc, contre le flanc de l'ennemi.
                (militaire) Prendre les ennemis de flanc.
                (militaire) Par le flanc droit, par le flanc gauche : Termes de commandement militaire dont on se sert pour ordonner aux soldats d'une troupe de se tourner chacun à droite ou à gauche.
          5. n-m. (Héraldique) Le côté dextre ou sinistre de l'écu ; pièce qui correspond au bord de l'écu.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
Ton
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Trente dans la région du Trentin-Haut-Adige.
     2. adj. Adjectif possessif dont le possesseur est la deuxième personne du singulier et le possédé est masculin singulier.
           As-tu pensé à prendre ton livre ?
           Ton manteau est joli.
     3. adj. Adjectif possessif dont le possesseur est la deuxième personne du singulier et le possédé est féminin singulier. Forme supplétive de ta utilisée pour effectuer une liaison obligatoire avec le mot suivant qui commence par une voyelle ou un h muet.
           Une ville, ta ville ; une île, ton île ; une habitation, ton habitation.
           Une maison, ta maison, ton immense maison.
     4. n-m. Son d'une certaine fréquence.
     5. n-m. Qualité de la voix.
     6. n-m. (Musique) Espace entre certaines notes.
           Il y a un ton entre do et ré, mais un demi-ton entre mi et fa.
     7. n-m. (En particulier) Gamme, nom de la première note de la gamme dont la musique est formée.
     8. n-m. (Ling) Hauteur et modulation d'un son, typiquement d'une syllabe, comme trait phonologique.
     9. n-m. Manière de s'exprimer.
     10. n-m. (Colorimétrie) Niveau de luminosité d'une couleur de base.
           Différents tons de rouge.
     11. n-m. (Cartographie) Caractère d'une couleur associé à la couleur qui produit sur l'œil une sensation lumineuse de niveau élevé.
     12. n-m. (Marine) Partie supérieure du mât.
coursier
     1. n-m. (Littéraire) (Soutenu) Cheval grand et beau.
     2. n-m. (Marine) Canon de chasse des chaloupes canonnières, etc., lequel est placé à l'avant.
     3. n-m. (Hydraulique) Passage qu'on donne à l'eau, entre deux rangs de pieux, pour la conduire à la roue d'un moulin.
     4. n. (Commerce) Personne qui fait les courses pour un commerce ou une administration. Personne qui livre de petits colis et des enveloppes.
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