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il
     1. n. Pronom de la troisième personne du singulier masculin (utilisé exclusivement en tant que sujet). Désigne une personne, un animal ou une chose dont le genre est masculin.
           Il est le plus intelligent.
           Qu'est-ce qu'il veut ?
           Le journal ? Il est sur le bureau.
     2. n. Sujet explétif d'un verbe sans actant.
           Il neige.
           Il fait beau.
           Il faut marcher plus vite pour arriver au sommet.
     3. n. Sujet explétif introduisant un nouveau sujet réel d'existence ou d'apparition. (note) Le verbe reste alors au singulier, bien que le véritable sujet soit au pluriel.
           Il y a un chat.
           Il vient beaucoup de monde.
           Il est venu deux personnes.
           Il est survenu de fâcheux événements.
     4. n. Sujet explétif introduisant un sujet réel montré par de ou par que.
           Il est honteux de mentir.
           Il est douteux qu'elle vienne.
     5. n. Cela. — (note) Uniquement dans l'expression il est vrai, intercalée dans une phrase.
           Je devais partir, il est vrai, mais j'en ai été empêché.
vient
     1. v. Troisième personne du singulier à l'indicatif présent de venir.
     venir
          1. v. Se rendre sur le lieu où se trouve celui qui parle ou dont on parle.
          2. v. S'étendre jusqu'à un point précis, atteindre une limite.
                La marée vient jusqu'à la falaise.
                Votre fils me vient à l'épaule.
          3. v. Survenir, arriver, se produire inopinément, fortuitement.
                Le vent vient brutalement.
                Un malheur ne vient jamais seul.
          4. v. Se déplacer en sens inverse, quand celui qui parle invite un autre à l'accompagner.
                Nous allons nous promener, venez avec nous.
          5. v. Parvenir à la connaissance de quelqu'un.
                Cette rumeur est venue jusqu'ici.
                Il me vint à l'esprit de lui faire cette proposition.
                Ce goût lui est venu naturellement.
          6. v. Arriver par succession, échoir.
                Les biens qui viennent du côté du père, de la mère.
          7. v. Succéder.
                Le printemps vient après l'hiver.
                Un jour viendra ou vous perdrez tout.
          8. v. Provenir de, trouver son origine dans.
                Ce mot vient du latin.
                Mon aversion pour les chiens vient d'une vieille morsure.
          9. v. Naître .
                Cet enfant est venu à terme.
          10. v. Pousser ; croître ; être produit.
          11. v. Semi-auxiliaire du passé récent. .
          12. v. Forme impersonnelle, voir aussi revenir.
                Il me vient une idée !
                Il vient un moment où il faut savoir faire preuve de tempérance.
          13. v. (Intransitif) Jouir.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
venir de
     1. v. Trouver son origine en ou dans, découler de.
           Le vin vient de la fermentation du raisin.
           Beaucoup de métaux précieux viennent de l'Asie.
           Ce tableau vient d'une personne que j'estime beaucoup.
           D'où vient cet usage, cette façon de parler ?
           On dit que les grands sentiments viennent du cœur.
     2. v. (Auxiliaire) Avoir fait tout à l'heure. (usage) Semi-auxiliaire utilisé pour marquer un passé récent. Il est suivi de l'infinitif.
           Il vient de tomber.
           Elle vient juste de lui aborder.
apprendre
     1. v. Acquérir une connaissance ou un savoir-faire.
     2. v. Contracter une disposition, une habitude.
           Il apprit à régler ses passions.
           J'ai appris de vous à modérer mes désirs.
           N'apprendrez-vous jamais à vous taire ? J'ai appris à mes dépens à me méfier de lui.
     3. v. Connaître par une information.
     4. v. Retenir dans sa mémoire.
           (Pronominal) — Les vers s'apprennent plus facilement que la prose. — L'anglais s'apprend dès le primaire maintenant
           (absol) — Il apprend bien ; il refuse d'apprendre.
     5. v. Enseigner, donner quelque connaissance à une personne, faire savoir.
           C'est lui qui m'a appris ce que je sais.
           Le maitre qui lui a appris le dessin.
           Il nous a appris de grandes nouvelles.
           On m'apprend qu'il se marie.
           Il y a des choses que l'usage seul apprend.
           La tradition nous apprend que… Cette mésaventure lui apprendra à être circonspect, à se conduire avec prudence.
     6. v. Éduquer par la menace.
           Je lui apprendrai bien à vivre, je lui apprendrai bien son devoir, Je le rangerai à son devoir.
           Je lui apprendrai à parler, Je le forcerai de parler avec plus de convenance, de respect.
           Je vous apprendrai à mentir, Je vous apprendrai ce qu'il en coute de mentir.
     7. v. (Impersonnel, employé au futur) (familier) Donner une leçon, tenir lieu de punition.
           Il a eu un accident de voiture ? C'est bien fait ! Ça lui apprendra à faire des queues de poisson.
           Prends ça ! Ça t'apprendra à me raconter des salades.
           S'il se fait expulser du lycée, je serai la première à fêter son départ, et ça lui apprendra à faire accuser les gens à sa place.
     8. v. (Familier) Éduqué.
           C'est un homme mal appris, C'est un homme qui parait n'avoir point reçu d'éducation.
la
     1. art. Féminin singulier de le. Détermine un groupe nominal féminin singulier.
           La navette Atlantis fut remisée en 2010.
           La Franche-Comté.
     2. n-f. Féminin singulier de le. Représente un groupe nominal féminin singulier complément d'objet direct (pour le pronom féminin complément d'objet indirect, voir lui).
           Je la reconnais et non pas Je reconnais <s>elle</s>.
     3. n-m. (Musique) Sixième note de la gamme. Le la de référence a une fréquence de 440 hertz.
           Donner le la.
     4. n-m. Première lettre de l'alphabet santâlî : &#x1c5a;.
maladie
     1. n-f. (Médecine) Condition anormale du corps ou de l'esprit d'un être humain qui cause de l'inconfort ou du dysfonctionnement. Problème de santé chez un être vivant qui se traduit par une baisse des capacités physiques, de la fatigue (animaux) ou plus gén
     2. n-f. (Familier) Affection excessive pour quelque chose ; manie.
           Tu regardes tous les jours ce vieux feuilleton ? C'est une vraie maladie !
     3. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de maladier.
     4. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de maladier.
     5. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de maladier.
     6. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de maladier.
     7. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de maladier.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
Son
     1. n. (Militaire) Section.
     2. n. (Géographie) Commune française, située dans le département des Ardennes.
     3. n. (Géographie) Ville des Pays-Bas située dans la commune de Son en Breugel.
     4. adj. Troisième personne du sujet, objet masculin singulier.
           J'ai lu son livre.
           Son coup droit fait mal.
     5. adj. (Familier) Indique des rapports d'habitude, de connaissance, etc.
           Voilà son public.
           Posséder son Homère.
           Il sait bien son arithmétique.
     6. adj. Joint aux verbes « sentir, faire » dans le langage familier, il renforce le sens de la phrase.
           Il sent son homme de qualité ; il sent son hypocrite.
           Il fait son malin.
     7. adj. Forme supplétive de sa, utilisée quand la chose possédée est au féminin, pour effectuer une liaison obligatoire avec le mot suivant qui commence par une voyelle ou un h muet.
           Une ville, sa ville ; une île, son île.
           Une maison, sa maison, son immense maison.
     8. n-m. Quelque chose que l'on peut écouter, entendre.
     9. n-m. (En particulier) Bruit harmonieux produit par un instrument de musique, caractérisé par un timbre et représenté par une note.
     10. n-m. Genre musical cubain ou mexicain.
     11. n-m. (Linguistique) Phone.
           Le phonème par exemple correspond aux sons : r, ɾ, ʀ, ʁ, ʳ, ɹ, etc.
     12. n-m. (Meunerie) Résidu de la mouture du blé et d'autres céréales, provenant du péricarpe des grains.
     13. n-m. (Par analogie) (Familier) Déchets de bois produits lorsque l'on scie, sciure.
     14. n. (Militaire) Section.
fils
     1. n. Tout être humain du sexe masculin considéré par rapport à son père et à sa mère, ou à un des deux seulement.
     2. n. (Figuré) Celui qu'on regarde ou qu'on aime comme son fils.
           L'orphelin qu'il avait protégé devint pour lui un véritable fils.
     3. n. Descendant de sexe masculin.
           Jésus, fils de David.
     4. n. (Plus rare) (Au pluriel) Descendants directs, quel que soit leur sexe.
     5. n. (Familier) (Ironique) (plaisanterie) S'emploie couramment pour désigner son interlocuteur de façon paternaliste voire condescendante.
           Et tout s'arrangeait ou se réglait à la danse
     6. n-m. (Monnaies) Monnaie subdivisionnaire de plusieurs pays arabes.
     7. n-m. Pluriel de fil.
     fil
          1. n-m. Petite partie longue et déliée qu'on détache de l'écorce du chanvre, du lin, etc.
          2. n-m. Substance flexible et très déliée que les chenilles et les araignées tirent de leur corps.
          3. n-m. L'assemblage des petits brins longs et déliés du chanvre, du lin, etc., tordus ensemble entre les doigts, avec le fuseau ou le rouet, ou obtenus par des procédés mécaniques, et qu'on emploie principalement pour faire de la toile et pour coudre.
          4. n-m. L'assemblage de petits brins de soie, de laine, de coton, etc., tordus ensemble.
                C'est un fil de soie d'une grande résistance.
                Fil de laine, de coton, de soie, etc.
                Tendre les fils de la chaîne d'une étoffe.
          5. n-m. Sens du tissage d'un tissu.
          6. n-m. Brin de métal lorsqu'il est tiré en long d'une manière si déliée qu'il semble que ce soit du fil.
          7. n-m. (Par analogie) Un tel brin d'un métal conducteur de l'électricité recouvert d'un isolant électrique.
          8. n-m. (Figuré) Suite, liaison, enchaînement.
                Perdre le fil d'une affaire.
                Interrompre le fil du discours, le fil de l'histoire, de la narration.
                Suivre le fil de ses idées.
                Suivre le fil d'une intrigue.
                Débrouiller les fils d'un complot.
                Au fil des jours, Dans la suite des jours.
          9. n-m. (Internet) Enchaînement des commentaires à un article donné, dans les échanges au sein d'un forum ou entre utilisateurs du courrier électronique.
                Heureusement, j'avais conservé tout le fil de nos messages.
          10. n-m. Tranchant d'un instrument qui coupe.
                Le fil d'un rasoir, d'un sabre, d'une épée.
                Attention au fil du rasoir.
          11. n-m. Petites parties longues et déliées dont l'assemblage forme le corps des végétaux, et principalement des arbres.
                Suivre le fil du bois.
                Prendre le fil du bois.
          12. n-m. Il s'applique, dans un sens analogue, aux viandes.
                Couper une pièce de bœuf dans le fil.
          13. n-m. Défaut de continuité dans le marbre ou dans la pierre.
                Il y avait un fil à l'endroit où cette table de marbre vient de se casser.
          14. n-m. Courant de l'eau.
                Suivre le fil de l'eau.
                Aller contre le fil de l'eau.
          15. n-m. Eau de vie servie dans les cafés ruraux. Le fil en 2, en 4, ou en 6, valait 2, 4 ou 6 sous le petit verre, en fonction du degré d'alcool. Ce dernier était symbolisé par un fil faisant n fois le tour du goulot.
          16. n-m. (Absolument) Toile de lin.
          17. n-m. (Héraldique) Partie du listel ou du lambel qui relie les pendants entre eux.
                De gueules à deux chevrons jumelés d'azur et d'argent, accompagnés de trois quarte-feuilles d'or boutonnées du même ; au lambel à l'antique, le fil d'or et les pendants du même vidés du champ, qui est de Chevry-Cossigny → voir illustration « l
          18. n-m. Téléphone ; communication téléphonique.
il
     1. n. Pronom de la troisième personne du singulier masculin (utilisé exclusivement en tant que sujet). Désigne une personne, un animal ou une chose dont le genre est masculin.
           Il est le plus intelligent.
           Qu'est-ce qu'il veut ?
           Le journal ? Il est sur le bureau.
     2. n. Sujet explétif d'un verbe sans actant.
           Il neige.
           Il fait beau.
           Il faut marcher plus vite pour arriver au sommet.
     3. n. Sujet explétif introduisant un nouveau sujet réel d'existence ou d'apparition. (note) Le verbe reste alors au singulier, bien que le véritable sujet soit au pluriel.
           Il y a un chat.
           Il vient beaucoup de monde.
           Il est venu deux personnes.
           Il est survenu de fâcheux événements.
     4. n. Sujet explétif introduisant un sujet réel montré par de ou par que.
           Il est honteux de mentir.
           Il est douteux qu'elle vienne.
     5. n. Cela. — (note) Uniquement dans l'expression il est vrai, intercalée dans une phrase.
           Je devais partir, il est vrai, mais j'en ai été empêché.
Se
     1. n. (Religion) Sainte (comme titre).
           Se Cécile.
     2. n. Pronom personnel de la troisième personne des deux genres et des deux nombres, utilisé comme complément d'objet d'un verbe transitif direct ou indirect.
     3. n. Sert de complément d'objet d'un verbe pronominal réfléchi.
           Il se couche tôt.
           Il s'abstient.
     4. n. Sert de complément d'objet d'un verbe pronominal réciproque.
           Ils se battent.
     5. n. Sert de complément d'objet d'un verbe pronominal de sens passif.
           Ce produit se vend bien.
désespère
     1. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de désespérer.
     2. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de désespérer.
     3. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de désespérer.
     4. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de désespérer.
     5. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de désespérer.
     désespérer
          1. v. Perdre l'espoir de quelque chose.
                (absolument) On désespère alors qu'on espère toujours.
          2. v. Ne plus espérer une amélioration, un amendement, une bonne fin, en parlant d'une personne.
                Je désespère de cet enfant, il est vraiment incorrigible.
                Les médecins désespèrent de ce malade et n'espèrent plus sa guérison.
          3. v. Mettre, pousser au désespoir.
                Il ne faut pas désespérer un peuple.
                Cela me désespère.
                Vous me désespérez par vos rigueurs.
                Cet enfant me désespère, il ne fait aucun progrès.
          4. v. Se tourmenter, s'agiter avec de grandes démonstrations de douleur, d'affliction.
                Il vient d'apprendre la maladie de son fils, il se désespère.
                Pourquoi tant vous désespérer ?
                Ne vous désespérez pas!
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire