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Analyseur de phrases françaises

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il
     1. n. Pronom de la troisième personne du singulier masculin (utilisé exclusivement en tant que sujet). Désigne une personne, un animal ou une chose dont le genre est masculin.
           Il est le plus intelligent.
           Qu'est-ce qu'il veut ?
           Le journal ? Il est sur le bureau.
     2. n. Sujet explétif d'un verbe sans actant.
           Il neige.
           Il fait beau.
           Il faut marcher plus vite pour arriver au sommet.
     3. n. Sujet explétif introduisant un nouveau sujet réel d'existence ou d'apparition. (note) Le verbe reste alors au singulier, bien que le véritable sujet soit au pluriel.
           Il y a un chat.
           Il vient beaucoup de monde.
           Il est venu deux personnes.
           Il est survenu de fâcheux événements.
     4. n. Sujet explétif introduisant un sujet réel montré par de ou par que.
           Il est honteux de mentir.
           Il est douteux qu'elle vienne.
     5. n. Cela. — (note) Uniquement dans l'expression il est vrai, intercalée dans une phrase.
           Je devais partir, il est vrai, mais j'en ai été empêché.
Ne
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Gênes dans la région de Ligurie.
     2. art. Négation. Première partie d'un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d'un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archa
           Je ne mange pas.
           Je n'en peux plus.
           Je n'y vois goutte.
     3. art. Devant un verbe à l'infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
           Ne pas se pencher au dehors.
     4. art. Il s'emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
           Il ne sait rien.
           Personne n'est venu.
           Aucun de nous n'y a pensé.
           Il ne dit jamais la vérité.
           Cette mère ne s'occupe guère de ses enfants.
     5. art. Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
           Nul ne s'en doute.
           Il n'a nul souci.
           Ni l'or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
     6. art. L'ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
           Que personne ne bouge.
     7. art. S'emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
           Il n'est pas d'homme qui ne désire être heureux.
           Y a-t-il quelqu'un dont il ne médise ?
     8. art. Il peut aussi s'employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
           Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
           Je n'ose (soutenu) (pour : J'oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n'ose pas)
           Je n'ose vous promettre. (pour : Je n'ose pas vous promettre.)
           Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
           Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
     9. art. Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
           N'importe ! (locution figée pour : Cela n'importe pas !)
           N'aie crainte. (locution figée pour : N'aie aucune crainte.)
           Qu'à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu'à cela !)
           Il ne dit mot. (soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
           N'en avoir cure. (soutenu) (locution verbale figée pour : 'N'en avoir aucune cure.)
           N'en pouvoir mais. (vieilli) (locution verbale figée pour : N'en plus pouvoir.)
           À Dieu ne plaise! (vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
     10. art. Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n'a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
     11. art. (Vieilli) S'emploie encore (de façon aujourd'hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
           Après les verbes qui expriment la crainte.
           Je crains qu'il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu'il ne vienne pas.)
           Je redoute qu'il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu'il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
           Après le verbe empêcher.
           Empêche qu'il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu'il tombe.)
           Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
           Il est plus riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi pauvre qu'on le croit.)
           Il est moins riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi riche qu'on le croit.)
           Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
           C'est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
           Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
           Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
           Vous n'avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
faut
     1. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de falloir.
     2. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de faillir.
     faillir
          1. v. (Vieilli) (En parlant d'un objet) Ne pas tenir le coup.
          2. v. (Vieilli) (En parlant d'une personne) Faire preuve de manquement.
                Faillir à son devoir.
          3. v. (Vieilli) Manquer à son devoir conjugal.
          4. v. (Vieilli) Manquer, faire défaut.
                Le jour commence à faillir.
                La mémoire lui a failli.
                Faillir à une tâche.
          5. v. (Vieilli) Céder, devenir faible.
                Cet édifice a failli par le pied. — Ce cheval commence à faillir par les jambes.
          6. v. (Vieilli) Manquer à exécuter, à faire une chose.
                J'irai là sans faillir.
          7. v. N'être pas loin de faire quelque chose, y manquer de peu. — (note) Il est suivi alors d'un infinitif.
                J'ai failli l'oublier.
                L'accident qui faillit nous arriver.
                Il a failli nous arriver un grand malheur.
          8. v. (Vieilli) (Figuré) Se tromper, se méprendre sur quelque chose.
                Faillir lourdement.
                Les plus doctes sont sujets à faillir.
          9. v. Faire faillite.
     falloir
          1. v. Être de nécessité, de devoir, d'obligation, de bienséance.
                (mathématiques) Il faut et il suffit que… « si et seulement si » ou équivalence.
                Elle parle plus qu'il ne faut.
                Il va falloir s'occuper de cette affaire.
                Un homme, une personne comme il faut, un homme, une personne d'un rang distingué, de bonne éducation, de bonnes manières.
                C'est un homme très comme il faut.
                Ne fréquenter que des gens comme il faut.
                Encore faut-il que… il est du moins nécessaire, malgré tout, que…
                Il faut voir, il est curieux, intéressant de voir.
                Il faut voir ce que cela deviendra. On le rejette quelquefois à la fin de la phrase, en manière d'exclamation.
                On les bat, il faut voir!
                Ces gens nous reçoivent, il faut voir! on dit, dans un sens analogue, aussi faut-il voir.
                Il a fait l'insolent; aussi faut-il voir comme on l'a traité!
                C'est ce qu'il faut voir, se dit pour faire entendre que l'on saura mettre des empêchements à ce qu'une personne projette de faire.
                Il veut me faire ôter mon emploi : c'est ce qu'il faudra voir.
          2. v. Ce dont on a besoin.
                Il lui fallait cent francs.
                Il lui faut un habit.
                Que lui faut-il encore ?
                Il n'est jamais satisfait, il ne sait ce qu'il lui faut.
                J'ai l'homme qu'il vous faut, ce qu'il vous faut.
                Ce sont de ces gens comme il en faut dans une réunion.
          3. v. Ce qu'on doit donner d'argent à quelqu'un pour un prix, pour un salaire.
                Combien vous faut-il pour votre journée ?
                Que vous faut-il pour votre peine ?
                Il dit qu'il lui faut tant.
                Il demande plus qu'il ne lui faut.
          4. v. Manquer. (note) Il se conjugue avec l'auxiliaire être.
                Il s'en faut de beaucoup que leur nombre soit complet.
                Il s'en faut de moitié que ce vase ne soit plein.
                Il s'en est peu fallu qu'il n'ait été tué.
                Peu s'en est fallu que je ne vinsse.
                Il a fini son travail ou peu s'en faut.
                Il s'en faut de dix francs que la somme entière n'y soit.
pas
     1. n-m. Mouvement que fait une personne ou un animal en mettant un pied devant l'autre pour marcher.
           On ne peut le décider à faire un pas hors de chez lui.
           Permettez-moi de faire quelques pas avec vous.
           Marcher d'un pas léger, d'un pas rapide, d'un pas chancelant.
     2. n-m. (Métrologie) Distance entre deux pas ; enjambée.
           Il ne veut pas s'éloigner, reculer, avancer d'un pas, il ne veut pas s'éloigner, reculer, avancer du tout, il veut rester où il est.
     3. n-m. Faible distance.
     4. n-m. (Militaire) Différentes manières de marcher réglées pour les troupes.
           Pas ordinaire.
           Pas accéléré.
           Pas redoublé.
           Pas de route.
           Pas gymnastique.
           Pas de charge.
           Il a mis, il a remis sa troupe au pas.
           Marcher au pas, prendre le pas.
           Perdre le pas, n'être plus au pas.
     5. n-m. (Danse) Différentes manières d'exécuter le mouvement de la danse.
     6. n-m. (Équitation) Allure la moins rapide du cheval.
     7. n-m. Empreinte, marque que laisse le pied d'une personne ou d'un animal.
           Il vit des pas d'homme sur le rivage.
           Il distingue fort bien le pas d'un cheval de celui d'un mulet.
     8. n-m. Préséance, droit de marcher le premier.
           Le parlement avait le pas sur les autres compagnies.
           Il lui a cédé le pas.
           Il a pris le pas sur lui.
           Disputer le pas à quelqu'un.
     9. n-m. Passage étroit ou passe difficile dans une vallée, dans une montagne, etc.
           Le pas de Suse.
           Le pas de Calais, le détroit entre Calais et Douvres.
     10. n-m. Seuil, marches qui sont au-devant d'une entrée.
           Il est sur le pas de la porte.
           Prenez garde, il y a ici un pas.
           Il y a quatre pas à monter à ce perron.
     11. n-m. (Vieilli) Allées et venues, démarches que l'on fait, peines qu'on prend pour réussir.
           Il fait bien des pas pour obtenir cette place.
           Cela lui a coûté bien des pas et démarches.
           Il n'a pas ménagé, épargné ses pas dans cette circonstance.
           Je ne ferai pas un pas de plus, je ne ferai aucune démarche de plus pour cette affaire, pas une concession de plus.
     12. n-m. (Mécanique) Distance séparant deux filets d'un filetage.
           Plus généralement : distance entre 2 tours d'un mouvement hélicoïdal : voir hélice (mathématique) et variable.
     13. n-m. (Cartographie) Écart entre les axes d'éléments graphiques homologues d'un ensemble graphique de structure régulière ; il est souvent exprimé numériquement par l'inverse de son rapport à l'unité de longueur.
     14. n-m. (Composants) Distance séparant deux lignes d'interconnexion voisines dans un circuit intégré ou sur un circuit imprimé nu.
     15. n-m. (Composants) Distance entre deux broches de raccordement contiguës sur un boîtier.
     16. v. Négation d'un verbe. — (usage) Utilisée avec la particule ne dans le langage littéraire, mais souvent sans celle-ci dans le langage courant.
           Pourquoi tu ne manges pas ?
           J'veux pas travailler.
           Tu as si souffert que ça de ton harcèlement ? T'as pas idée.
     17. v. Négation rhétorique pour demander humblement un accord. — (note) La réponse affirmative est oui, non pas si.
           N'est-elle pas jolie ?
           N'est-ce pas qu'elle est jolie ?
     18. v. Négation rhétorique pour une invitation polie. — (note) La réponse affirmative est oui ou ouais, non pas si.
           — Vous ne voulez pas déjeuner avec moi ?
     19. v. Négation d'un adjectif épithète. Non.
           Je cherche un logement pas cher.
désespérer
     1. v. Perdre l'espoir de quelque chose.
           (absolument) On désespère alors qu'on espère toujours.
     2. v. Ne plus espérer une amélioration, un amendement, une bonne fin, en parlant d'une personne.
           Je désespère de cet enfant, il est vraiment incorrigible.
           Les médecins désespèrent de ce malade et n'espèrent plus sa guérison.
     3. v. Mettre, pousser au désespoir.
           Il ne faut pas désespérer un peuple.
           Cela me désespère.
           Vous me désespérez par vos rigueurs.
           Cet enfant me désespère, il ne fait aucun progrès.
     4. v. Se tourmenter, s'agiter avec de grandes démonstrations de douleur, d'affliction.
           Il vient d'apprendre la maladie de son fils, il se désespère.
           Pourquoi tant vous désespérer ?
           Ne vous désespérez pas!
un
     1. adj. Marque l'unité, le fait qu'une personne ou une chose est seule, unique en son espèce.
           Quatre femmes et un homme.
           Un mètre.
           Une tonne.
           Un entre mille.
           N'être qu'un, ne faire qu'un : Se dit pour exprimer une étroite, une intime union entre deux ou même plusieurs personnes.
           Il est une heure.
     2. adj. S'emploie familièrement pour indiquer un très petit nombre indéterminé.
           J'ai un mot à vous dire.
           J'en ai pour une minute.
     3. adj. Ordinal pour premier.
           Chapitre un.
           Page une.
     4. adj. Qui est seul, unique, qui n'admet point de pluralité.
           Dieu est un.
           Le moi est un.
           La vérité est toujours une, elle n'est jamais contraire à elle-même.
           (familier) C'est tout un, Il n'importe, c'est la même chose, cela est égal : qu'il vienne ou qu'il ne vienne pas, c'est tout un.
     5. adj. Où règne l'unité, dont les parties sont liées entre elles de manière à former un tout.
           L'église est une.
           Il faut que dans une pièce l'action soit une.
     6. art. Déterminant placé devant un nom représentant un objet animé ou inanimé que l'on ne connaît pas avec précision. L'article indéfini a souvent le sens de « un (1) parmi d'autres ».
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
           Il y a un chien devant la maison.
           Je cherche un livre sur tel sujet.
           C'est un César, un Cicéron, etc. : c'est un homme aussi intrépide que César, aussi éloquent que Cicéron, etc.
     7. art. Tout.
           Un chrétien doit faire cela.
           Un honnête homme n'a qu'une parole.
     8. n. Une personne ou une chose parmi plusieurs autres.
           Un de mes amis.
     9. n-m. Le nombre 1.
           Un précède deux et suit zéro.
           Le un de telle rue, La maison qui porte le numéro 1.
     10. n-m. Chiffre utilisé dans la numérotation décimale écrit 1.
           Le nombre 11 est écrit avec deux uns.
     11. n. Une chose portant le numéro 1.
           Il habite au un.
peuple
     1. n-m. Multitude d'hommes qui, vivant habituellement ensemble, partagent les mêmes coutumes.
     2. n-m. (En particulier) Habitants d'un état composé de diverses provinces, dont plusieurs ont été réunies par la conquête ou autrement, et sont régies par des lois, des coutumes particulières.
     3. n-m. Population fixe d'un pays, en ce qu'elle forme un ensemble, un tout solidaire sous le même gouvernement.
     4. n-m. Multitude d'hommes qui n'habitent pas le même pays, mais qui ont une même origine, une même religion, etc.
           Cette victoire, remportée sur les infidèles, fut un sujet de joie pour tout le peuple chrétien.
           Le peuple juif.
     5. n-m. (Rare) Population d'une même ville, d'un même bourg, d'un même village.
     6. n-m. (Politique) Partie définie de la nation, considérée au point de vue social et politique.
           Depuis que le peuple est souverain, nos filles sont des princesses.
     7. n-m. Partie la moins notable, la moins cultivée ou la moins riche des habitants d'une même ville, d'un même pays.
     8. n-m. Grand nombre de personnes considérées sous des aspects qui leur sont communs.
     9. adj. Vulgaire, commun, populaire.
           Combien de gens croient pouvoir mépriser le peuple, qui sont peuple eux-mêmes!
     10. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de peupler.
     11. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de peupler.
     12. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de peupler.
     13. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de peupler.
     14. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de peupler.
     peupler
          1. v. Établir une multitude d'habitants en quelque pays, en quelque endroit.
          2. v. Il se dit aussi en parlant des Animaux.
                Peupler un pays de gibier.
                Peupler une garenne de lapins.
                Peupler un étang de poissons.
                Peupler un colombier de pigeons.
          3. v. Il se dit aussi en parlant des plantations.
                Peupler un bois, une vigne, Y mettre du nouveau plant.
          4. v. Remplir un lieu d'habitants en y faisant souche.
                Les races qui ont peuplé l'Amérique.
          5. v. Animaux.
                Des bœufs, des chevaux, des chèvres qu'on laissa dans cette île déserte, la peuplèrent en peu d'années.
                Quelques paires de lapins ont suffi pour peupler cette garenne en moins de deux ans.
                L'alevin qu'il a jeté dans son étang l'a eu bientôt peuplé.
          6. v. (Figuré) Remplir.
                Une mauvaise administration avait peuplé la ville de mendiants. Dans un sens encore plus figuré, il se dit de Choses qui n'ont point de corps.
                Les fantômes qui peuplaient son esprit.
                Ce sont les machines qui, littéralement, enfantent notre monde. Et qui, de cet enfantement, permettent l'émergence d'un nouvel écosystème, d'une nouvelle espèce : depuis un peu moins d'un siècle, vous, moi, tous ceux qui lisent ce livre, doive
          7. v. (Intransitif) Il signifie, en parlant des hommes et des animaux, Multiplier par la génération.
                Toutes les nations ne peuplent pas également.
                Il n'y a point d'animaux qui peuplent tant que les lapins.
          8. v. (Pronominal) Devenir habité, peuplé.
                Les campagnes se peuplent.
                Ces pays se sont peuplés fort promptement.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire