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faire
     1. v. Créer, produire, fabriquer, en parlant de toute œuvre matérielle.
           La nature est admirable dans tout ce qu'elle fait.
           L'oiseau fait son nid, l'araignée fait sa toile, les castors font une digue, les abeilles font leur miel.
     2. v. (En particulier) Préparer un repas, le cuisiner.
           Faire le dîner (ou faire à dîner), le déjeuner, le souper.
     3. v. Élaborer, en parlant des œuvres de l'intelligence et de l'imagination.
           Un ouvrage,un dessin fait à la main.
           Faire du calcul mental, un récit, une description, des vers, de la prose, de l'histoire, de la musique, du théâtre, de la peinture…
           Un écolier qui fait ses devoirs, ses exercices.
           C'est un conte fait à plaisir, ou fait à façon : (vieilli) C'est une histoire réécrite, inventée.
     4. v. Opérer, effectuer, exécuter, accomplir, réaliser, que ce soit d'ordre physique ou d'ordre moral.
           Faire le bien, le mal.
           Faire la guerre, la paix, la trêve, une trêve.
           Faire des affaires, des dettes.
           Faire des prisonniers.
           Faire des excuses à quelqu'un.
           Faire du bruit.
           Faire un achat.
           Faire un bon repas.
           Faire un envoi : Envoyer quelque chose.
           Faire une expérience : Vivre une expérience.
           Faire une faute de langue, de français, de grammaire, de conjugaison, d'orthographe….
           Faire une fête.
           Faire une prière, sa prière, une promesse, un serment, un vœu, des vœux.
           Faire un mouvement.
           (En particulier) Dire.
           (En particulier) Accorder.
           Faire quelque chose pour quelqu'un.
           (En particulier) Provoquer.
           Faire une incartade.
           (En particulier) Pratiquer.
           Faire une opération chirurgicale.
           (En particulier) (populaire) Dérober ; faire les poches.
     5. v. Avoir dans son domaine professionnel.
           Désolé, monsieur, nous ne faisons plus cet article. (Nous ne le vendons plus.)
     6. v. Se mouvoir dans un déplacement d'un lieu à un autre.
           Faire des pas, faire les cent pas.
           Faire un tour de promenade, le tour de la ville.
           Faire une lieue à pied.
           Faire des allées et venues.
           Faire une course, un voyage, un long trajet, un grand circuit.
           La Terre fait sa révolution en 365 jours et un quart.
     7. v. Signaler, indiquer un état de choses.
           Ma voiture fait du 230 à l'heure.
     8. v. Disposer, ranger, arranger, mettre dans un état convenable.
           Faire sa chambre, son lit.
           Faire ses ongles, ou se faire les ongles.
     9. v. (En particulier) Farder, maquiller.
           Faire son visage, faire ses yeux.
     10. v. Amasser, assembler, mettre ensemble, en parlant d'argent ou d'autres choses dont on a besoin de se pourvoir.
           Tâche de te faire quelque argent cet été !
           Faire des provisions, des courses.
           Faire des bénéfices, faire fortune, faire des frais.
     11. v. Employer ses forces, ses talents, l'activité de son esprit à quelque chose ; s'en occuper, y passer son temps.
           Faire un travail, sa besogne.
           Il n'a rien fait de toute la journée.
           Faire tout ce qu'on peut, tous ses efforts.
           (FR) Ça le fait.
           C'est un homme qui ne trouve rien de difficile à faire.
           Que faites-vous cet après-midi ?
           Je n'ai rien à faire.
           Qu'est-ce que fait cet homme ? Quelle profession a-t-il ?
           Ce jeune homme ne fait rien, il a perdu son emploi.
     12. v. Observer, mettre en pratique, souvent par obligation ou par précepte.
           Faire ce que la Religion ordonne, son devoir, sa prière.
           Faire la pénitence qui est imposée, ses pâques, les Rois.
           Faire maigre, diète.
           Faire une fête : La célébrer.
           Faire le lundi : Passer le lundi à se reposer au lieu de travailler.
     13. v. Exécuter ou pratiquer certaines choses que l'on s'oblige à achever en un certain temps.
           Faire la quarantaine ou faire quarantaine.
           Faire ses classes, son droit, sa médecine, son apprentissage, son noviciat, son service militaire.
           Faire une neuvaine.
     14. v. Former, façonner, perfectionner quelqu'un.
           Ce général a fait de bons officiers.
           Ce professeur a fait de bons écoliers.
           Les affaires font les hommes.
     15. v. Former, composer, constituer un tout, une seule chose, en parlant de deux ou de plusieurs choses qui s'unissent, s'ajoutent, etc.
           Deux et deux font quatre.
           Cinq fois deux font dix.
           Toutes ces sommes ensemble font tant.
           Deux lignes qui se coupent font un angle.
           Ces forêts, ces ruisseaux, ces montagnes, tout cela ensemble fait un beau pays.
     16. v. Constituer l'essence d'une chose.
           Ce qui fait la qualité du vin.
           Le spectacle faisait le beau de la fête.
           La clarté fait le principal mérite de son style.
           Voilà ce qui fait l'objet de mes recherches.
           Ce fils fait toute la joie de sa mère.
     17. v. Être la cause de tel ou tel résultat ou en être l'occasion.
           Ce remède m'a fait beaucoup de bien.
           Sa réussite lui a fait beaucoup d'ennemis.
           Ses propos lui ont fait du tort.
           Il ne faut faire de peine (ou de la peine) à personne.
           Faire des jaloux, des mécontents, des dupes, des heureux.
           C'est ce qui fait que les choses vont si mal.
           Cela ne fera que l'irriter davantage.
           Faites, je vous en prie, que cela soit vite fini.
           C'est à vous à faire que rien ne manque.
           Nous ferons en sorte qu'ils n'aient pas lieu de se plaindre.
éprouver
     1. v. Mettre à l'épreuve, tester.
           Tester un objet pour se rendre compte s'il a toutes les qualités voulues.
           C'est un remède que j'ai éprouvé.
           Éprouvez si cela vous fera du bien.
           Tester des personnes pour vérifier leurs qualités, leurs sentiments, etc.
           Ils se fièrent aussi en Dieu, les pauvres moines, et en leur bonne cause.
           Éprouver quelqu'un avant de se fier à lui. — Éprouver la fidélité, la probité de quelqu'un. — Le malheur nous éprouve.
     2. v. Ressentir, connaître par expérience, tant au sens physique qu'au sens moral.
     3. v. (Par analogie) Subir des changements, des variations, des altérations, qui surviennent aux choses.
           Les altérations qu'une substance éprouve quand elle est soumise à l'action du feu.
           Sa conduite, son caractère en éprouva un changement notable.
Des
     1. n-f. Pluriel de D(e).
     2. art. Article indéfini du pluriel. C'est ainsi le pluriel de un ou une.
           J'ai mangé des pommes.
     3. art. Contraction de l'article défini du pluriel les avec la préposition de. (note) C'est ainsi le pluriel de du ou de la.
     4. art. (Mot + des + mot répété au pluriel) Le plus, le plus typique.
     5. n-f. Pluriel de dame.
     de
          1. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
                Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
          2. prep. Particule dans les noms de famille.
                Charles de Gaulle.
          3. prep. Indique la possession.
                La voiture de Sylvie.
          4. prep. Indique une association à la matière.
                Le pot de fer.
                Deux litres de bière.
                Le renard des sables.
          5. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
                Un groupe de 5.
                La température était de 30 °C.
          6. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
                Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
                Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
          7. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
                D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
                Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
                Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
                Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
                Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
                Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
                L'huile qu'on extrait des olives.
                Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
                Je l'ai reçu de ses mains.
                Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
                Parler, écouter, de loin, de près.
          8. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
                Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
          9. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
                Paris est à trente lieues d'Orléans.
                Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
                Il se vit à deux doigts de sa perte.
                Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
                D'aujourd'hui en huit.
                Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
          10. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
                Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
          11. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
                Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
                Différer du tout au tout.
                Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
                De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
          12. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
                Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
                Il perdit une partie de sa fortune
                (Par analogie)
                Il perdit la totalité de sa fortune.
                Une portion, une partie du territoire.
                Le reste du temps.
                Donnez-lui un morceau de ce pain.
                Cela n'a rien diminué de sa gloire.
                Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
          13. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
                Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
                De l'eau bonne à boire.
                Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
                Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
                Prendre des oiseaux au piège.
                Donner de l'argent.
          14. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
                Je n'ai de volonté que la tienne.
                Je ne connais pas d'homme plus importun.
                Parler sans faire de fautes.
                Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
                N'avez-vous pas d'enfants ?
                (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
                N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
                Il ne peut parler sans faire des fautes.
          15. prep. Servir à marquer la conformité.
                Je suis de votre avis.
                Cela n'est pas de mon goût.
                Les cérémonies d'usage.
                Cela n'est plus de mode.
                Cela n'est pas de jeu.
          16. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
                Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
                Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
                Le nom, la condition, la profession d'une personne.
                Les actions de quelqu'un.
                Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
                La beauté d'une femme.
                Le sujet d'un discours.
                Le sens d'un mot.
                La largeur d'un fleuve.
                (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
                Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
                Bien de famille.
                La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
                Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
                Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
                Voix de femme. – Tableau de genre.
          17. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
                Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
          18. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
                Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
          19. prep. Rapport au temps, à l'époque.
                Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
                Les mœurs du temps. – Les hommes d'à présent, d'aujourd'hui.
     les
          1. art. Pluriel de le ou la.
          2. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
                Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
     de l'
          1. art. Signifie une quantité indéfinie. Du ou de la. Utilisé devant une voyelle.
          2. art. Préposition de et de l'article défini devant une voyelle. Du ou de la.
chagrins
     1. adj. Masculin pluriel de chagrin.
     2. n-m. Pluriel de chagrin.
     chagrin
          1. adj. Qui éprouve du déplaisir, de la tristesse.
                André est chagrin de la conduite de son fils.
                inquiet, chagrin, je redoublai d'ardeur et d'efforts — (cit_réf;Manuel complet de Lottinoplastique;1857;Lottin de Laval;lien=http://www.bmlisieux.com/normandie/lottinop.htm)
          2. adj. Qui marque du déplaisir, de la tristesse.
          3. adj. Qui est porté à l'humeur sombre et difficile.
                Les âmes chagrines y trouveront pourtant à redire.
          4. n-m. État de déplaisir, de peine, d'affliction.
          5. n-m. (Vieilli) Humeur bizarre, rude, fâcheuse.
          6. n-m. Cuir grenu fait de peau d'âne, de cheval, de mulet, de petite roussette, de requin, etc. servant à couvrir des boîtes, des livres ou à polir le bois.
          7. n-m. Peau rugueuse.
          8. n-m. (Par analogie) Étoffe légère de taffetas moucheté, présentant quelques ressemblances avec les grains du chagrin (le cuir, sens 1).
Des
     1. n-f. Pluriel de D(e).
     2. art. Article indéfini du pluriel. C'est ainsi le pluriel de un ou une.
           J'ai mangé des pommes.
     3. art. Contraction de l'article défini du pluriel les avec la préposition de. (note) C'est ainsi le pluriel de du ou de la.
     4. art. (Mot + des + mot répété au pluriel) Le plus, le plus typique.
     5. n-f. Pluriel de dame.
     de
          1. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
                Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
          2. prep. Particule dans les noms de famille.
                Charles de Gaulle.
          3. prep. Indique la possession.
                La voiture de Sylvie.
          4. prep. Indique une association à la matière.
                Le pot de fer.
                Deux litres de bière.
                Le renard des sables.
          5. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
                Un groupe de 5.
                La température était de 30 °C.
          6. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
                Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
                Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
          7. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
                D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
                Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
                Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
                Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
                Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
                Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
                L'huile qu'on extrait des olives.
                Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
                Je l'ai reçu de ses mains.
                Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
                Parler, écouter, de loin, de près.
          8. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
                Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
          9. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
                Paris est à trente lieues d'Orléans.
                Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
                Il se vit à deux doigts de sa perte.
                Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
                D'aujourd'hui en huit.
                Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
          10. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
                Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
          11. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
                Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
                Différer du tout au tout.
                Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
                De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
          12. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
                Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
                Il perdit une partie de sa fortune
                (Par analogie)
                Il perdit la totalité de sa fortune.
                Une portion, une partie du territoire.
                Le reste du temps.
                Donnez-lui un morceau de ce pain.
                Cela n'a rien diminué de sa gloire.
                Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
          13. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
                Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
                De l'eau bonne à boire.
                Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
                Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
                Prendre des oiseaux au piège.
                Donner de l'argent.
          14. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
                Je n'ai de volonté que la tienne.
                Je ne connais pas d'homme plus importun.
                Parler sans faire de fautes.
                Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
                N'avez-vous pas d'enfants ?
                (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
                N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
                Il ne peut parler sans faire des fautes.
          15. prep. Servir à marquer la conformité.
                Je suis de votre avis.
                Cela n'est pas de mon goût.
                Les cérémonies d'usage.
                Cela n'est plus de mode.
                Cela n'est pas de jeu.
          16. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
                Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
                Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
                Le nom, la condition, la profession d'une personne.
                Les actions de quelqu'un.
                Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
                La beauté d'une femme.
                Le sujet d'un discours.
                Le sens d'un mot.
                La largeur d'un fleuve.
                (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
                Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
                Bien de famille.
                La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
                Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
                Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
                Voix de femme. – Tableau de genre.
          17. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
                Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
          18. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
                Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
          19. prep. Rapport au temps, à l'époque.
                Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
                Les mœurs du temps. – Les hommes d'à présent, d'aujourd'hui.
     les
          1. art. Pluriel de le ou la.
          2. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
                Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
     de l'
          1. art. Signifie une quantité indéfinie. Du ou de la. Utilisé devant une voyelle.
          2. art. Préposition de et de l'article défini devant une voyelle. Du ou de la.
souffrances
     1. n-f. Pluriel de souffrance.
     souffrance
          1. n-f. Douleur physique ou morale, état de celui, de celle qui souffre.
          2. n-f. (Juri) Tolérance en vertu de laquelle on accepte certaines choses que l'on pourrait empêcher.
          3. n-f. (Architecture) Jour de souffrance : ouverture dans un mur laissant passer la lumière mais empêchant la vue sur la propriété voisine.
Des
     1. n-f. Pluriel de D(e).
     2. art. Article indéfini du pluriel. C'est ainsi le pluriel de un ou une.
           J'ai mangé des pommes.
     3. art. Contraction de l'article défini du pluriel les avec la préposition de. (note) C'est ainsi le pluriel de du ou de la.
     4. art. (Mot + des + mot répété au pluriel) Le plus, le plus typique.
     5. n-f. Pluriel de dame.
     de
          1. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
                Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
          2. prep. Particule dans les noms de famille.
                Charles de Gaulle.
          3. prep. Indique la possession.
                La voiture de Sylvie.
          4. prep. Indique une association à la matière.
                Le pot de fer.
                Deux litres de bière.
                Le renard des sables.
          5. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
                Un groupe de 5.
                La température était de 30 °C.
          6. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
                Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
                Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
          7. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
                D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
                Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
                Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
                Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
                Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
                Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
                L'huile qu'on extrait des olives.
                Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
                Je l'ai reçu de ses mains.
                Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
                Parler, écouter, de loin, de près.
          8. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
                Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
          9. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
                Paris est à trente lieues d'Orléans.
                Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
                Il se vit à deux doigts de sa perte.
                Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
                D'aujourd'hui en huit.
                Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
          10. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
                Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
          11. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
                Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
                Différer du tout au tout.
                Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
                De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
          12. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
                Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
                Il perdit une partie de sa fortune
                (Par analogie)
                Il perdit la totalité de sa fortune.
                Une portion, une partie du territoire.
                Le reste du temps.
                Donnez-lui un morceau de ce pain.
                Cela n'a rien diminué de sa gloire.
                Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
          13. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
                Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
                De l'eau bonne à boire.
                Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
                Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
                Prendre des oiseaux au piège.
                Donner de l'argent.
          14. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
                Je n'ai de volonté que la tienne.
                Je ne connais pas d'homme plus importun.
                Parler sans faire de fautes.
                Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
                N'avez-vous pas d'enfants ?
                (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
                N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
                Il ne peut parler sans faire des fautes.
          15. prep. Servir à marquer la conformité.
                Je suis de votre avis.
                Cela n'est pas de mon goût.
                Les cérémonies d'usage.
                Cela n'est plus de mode.
                Cela n'est pas de jeu.
          16. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
                Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
                Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
                Le nom, la condition, la profession d'une personne.
                Les actions de quelqu'un.
                Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
                La beauté d'une femme.
                Le sujet d'un discours.
                Le sens d'un mot.
                La largeur d'un fleuve.
                (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
                Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
                Bien de famille.
                La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
                Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
                Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
                Voix de femme. – Tableau de genre.
          17. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
                Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
          18. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
                Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
          19. prep. Rapport au temps, à l'époque.
                Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
                Les mœurs du temps. – Les hommes d'à présent, d'aujourd'hui.
     les
          1. art. Pluriel de le ou la.
          2. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
                Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
     de l'
          1. art. Signifie une quantité indéfinie. Du ou de la. Utilisé devant une voyelle.
          2. art. Préposition de et de l'article défini devant une voyelle. Du ou de la.
embarras
     1. n-m. Ce qui embarrasse ou résultat de l'action d'embarrasser.
           Il y a toujours de l'embarras dans cette rue. Un embarras de voitures. Faire, causer un embarras. Se tirer d'un embarras.
     2. n-m. (Médecine) Commencement d'obstruction, et surtout d'une accumulation de matières dans l'estomac ou dans les intestins.
           Il y a un peu d'embarras. Embarras gastrique. Embarras intestinal.
     3. n-m. (Figuré) et (Familier) Prétention, affectation, attitude de faiseur.
           Faire de l'embarras, des embarras, ses embarras : Se donner de grands airs, ou afficher des prétentions ridicules, quand on voit le résultat.
           Cet homme fait bien de l'embarras, bien des embarras.
     4. n-m. (Figuré) Confusion de plusieurs choses difficiles à débrouiller.
           Il y a de l'embarras dans ce procès, dans cette succession. Il y a de l'embarras dans ses affaires.
     5. n-m. (Absolument) Manque d'argent, pénurie.
     6. n-m. Irrésolution dans laquelle on se trouve lorsqu'on ne sait quel parti prendre, ni par quelle voie se tirer de quelque pas difficile.
           Je me suis vu dans un étrange embarras.
     7. n-m. Gêne, malaise que cause la nécessité d'agir ou de parler, lorsqu'on ne sait que faire ni que dire.
           Il ne pouvait cacher son embarras. Tout le monde s'aperçut de son embarras. Tout trahit son embarras.
     8. v. Deuxième personne du singulier du passé simple de embarrer.
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