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Analyseur de phrases françaises

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donc
     1. conj. Marque la conclusion d'un raisonnement.
           Je pense, donc je suis.
     2. conj. Marque l'induction, exprime qu'une chose est ou doit être la conséquence, le résultat d'une autre, qu'elle a lieu en conséquence d'une autre.
           Ainsi donc vous refusez.
           Vous êtes donc bien décidé.
           Il faut donc vous obéir.
           Vous serez donc toujours le même.
           Vous voyez donc bien que j'avais raison.
           Donc, vous vous trompez !
           Ils partirent donc secrètement.
     3. conj. Marque d'étonnement, de surprise.
           J'étais donc destiné à lui survivre !
           Voilà donc tout le fruit que j'ai retiré de mes soins !
           Qu'avez-vous donc ?
           Que dit-il donc là ?
           Qu'ai-je donc fait pour que vous me traitiez de la sorte ?
           Quoi donc! il me résisterait ?
           Mais où est donc passée ma carte bleue ?
           Allons donc !
     4. conj. Rend plus pressante une demande, une injonction.
           Dites-nous donc comment la chose s'est passée.
           Répondez donc.
           Donnez-moi donc cela.
Ce
     1. adj. (Rare) Centième.
     2. adj. Déterminant utilisé pour mettre en évidence une chose ou une personne dont on a la représentation devant soi. Lorsque l'objet est en nombre multiple ou lorsqu'on veut appuyer encore plus sur ce qu'on veut montrer, on rajoute -ci ou -là (selon la dis
           Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n'y a qu'un seul chien)
           Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
           Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l'autre chien, le plus éloigné)
           Je vais prendre ce chemin.
           Je me suis adressé à cet homme.
           Cette femme est mère de trois enfants.
           Ces livres sont intéressants.
           Il est impossible de sortir par ce temps-là.
     3. adj. Lorsqu'on veut mettre en évidence un objet ou une personne en rapport avec un(e) autre, on utilise les adverbes -ci et -là après chaque nom (bien que l'usage tende à utiliser les pronoms celui-là, celle-là, ceux-là ou celles-là cela pour éviter la r
           Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
           Plutôt que d'acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
     4. adj. Dans les expressions où ce est utilisé avec un nom indiquant une période, le -ci représente le présent, alors que le -là représente le passé (la distance devient temporelle).
           Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
           Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
           Qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
           Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
           — Je suis passé vers dix heures hier soir.
     5. adj. On l'utilise également pour reprendre l'objet ou la personne décrit dans la phrase précédente.
           La semaine dernière, j'ai lu L'Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
           Je cherche depuis tout à l'heure un marteau. J'ai vraiment besoin de cet outil.
     6. n. Utilisé en tant que pronom démonstratif neutre et impersonnel, notamment avec des verbes comme être, devoir ou pouvoir, référant à la situation actuelle, à la phrase précédente ou à n'importe quelle chose qui n'est pas encore exprimée.
           Ce serait le comble qu'il ne vienne pas !
           C'est mon anniversaire aujourd'hui.
           Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
           Ça sonne ! Ce doit être lui !
           Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
           Sur ce, au revoir !
           Ç'avait été plus intéressant qu'on ne l'avait imaginé.
     7. n. Dans les locutions conjonctives ce que, ce qui, ce dont, ce sur quoi, il sert à représenter une idée ou une action dont il a été question plus tôt.
           Les hirondelles s'envolent, ce qui montre que l'hiver n'est pas loin.
           Ce que je voulais dire, c'est que tu dois t'en occuper au plus vite.
           C'est exactement ce dont j'avais besoin.
           Le temps, c'est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
     8. n. Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
           Le temps, c'est de l'argent.
     9. n. (C'est … ; c'est … qui … ; c'est … que …) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
     10. n. (C'est … qui …) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
           — Qu'est-ce qui se passe ?
     11. n-f. (Vieilli) Abréviation de case.
bolide
     1. n-m. (Astronomie) (Vieilli) Météore, phénomène de rentrée atmosphérique dont l'éclat dépasse celui des planètes.
     2. n-m. (Par analogie) Véhicule pouvant aller à grande vitesse, fusée.
     3. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de bolider.
     4. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de bolider.
     5. v. Première personne du singulier du subjonctif présent de bolider.
     6. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de bolider.
     7. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de bolider.
Ne
     1. n. (Géographie) Commune d'Italie de la province de Gênes dans la région de Ligurie.
     2. art. Négation. Première partie d'un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d'un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archa
           Je ne mange pas.
           Je n'en peux plus.
           Je n'y vois goutte.
     3. art. Devant un verbe à l'infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
           Ne pas se pencher au dehors.
     4. art. Il s'emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
           Il ne sait rien.
           Personne n'est venu.
           Aucun de nous n'y a pensé.
           Il ne dit jamais la vérité.
           Cette mère ne s'occupe guère de ses enfants.
     5. art. Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
           Nul ne s'en doute.
           Il n'a nul souci.
           Ni l'or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
     6. art. L'ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
           Que personne ne bouge.
     7. art. S'emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
           Il n'est pas d'homme qui ne désire être heureux.
           Y a-t-il quelqu'un dont il ne médise ?
     8. art. Il peut aussi s'employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
           Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
           Je n'ose (soutenu) (pour : J'oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n'ose pas)
           Je n'ose vous promettre. (pour : Je n'ose pas vous promettre.)
           Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
           Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
     9. art. Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
           N'importe ! (locution figée pour : Cela n'importe pas !)
           N'aie crainte. (locution figée pour : N'aie aucune crainte.)
           Qu'à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu'à cela !)
           Il ne dit mot. (soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
           N'en avoir cure. (soutenu) (locution verbale figée pour : 'N'en avoir aucune cure.)
           N'en pouvoir mais. (vieilli) (locution verbale figée pour : N'en plus pouvoir.)
           À Dieu ne plaise! (vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
     10. art. Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n'a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
     11. art. (Vieilli) S'emploie encore (de façon aujourd'hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
           Après les verbes qui expriment la crainte.
           Je crains qu'il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu'il ne vienne pas.)
           Je redoute qu'il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu'il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
           Après le verbe empêcher.
           Empêche qu'il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu'il tombe.)
           Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
           Il est plus riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi pauvre qu'on le croit.)
           Il est moins riche qu'on ne croit. (exprime aussi : Il n'est pas aussi riche qu'on le croit.)
           Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
           C'est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
           Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
           Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
           Vous n'avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
pouvait
     1. v. Troisième personne du singulier de l'imparfait de pouvoir.
     pouvoir
          1. v. Être capable de ; avoir la faculté de ; être en état de.
                Je ne peux plus me concentrer avec tout ce bruit. — Je n'en peux plus, je suis épuisée.
          2. v. Avoir la possibilité matérielle de faire quelque chose.
                Je peux venir par le train de 8 h 17 ou celui de 9 h 43.
                Nous n'y pouvons rien. (nous n'avons pas la capacité d'influer sur le cours des choses)
          3. v. Avoir la permission de faire quelque chose.
                Tu peux fumer si tu le souhaites.
          4. v. Exprime une possibilité, un choix, qui s'offre à une personne.
                Je peux appeler un médecin si tu ne te sens pas bien.
                Dans cette affaire, nous pouvons tout nier en bloc, ou décider de faire amende honorable.
          5. v. Exprime une éventualité, une probabilité, ou une hypothèse. On peut dire aussi : « Il se peut que … » (+ subjonctif).
                Ne comptez pas sur lui, il peut partir du jour au lendemain.
                À cette époque, il peut pleuvoir plusieurs fois par jours.
                Si vous ne faites pas attention, vous pouvez vous faire très mal.
                Ne t'impatiente pas ! Elle a pu être prise dans les embouteillages.
          6. v. Dans une forme interrogative, fait appel à la bonne volonté de l'interlocuteur.
                - Peux-tu m'ouvrir ce bocal s'il te plait ? - Oui, je veux bien essayer.
          7. v. (Proverbial) définit un souhait, un désir.
                Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait ! Si la jeunesse avait de l'expérience et que la vieillesse eût de la force !
          8. v. (tr-indir) S'emploie au subjonctif présent par une manière de vœu, de souhait.
                Puissé-je ne pas en arriver là !
                Puisse le ciel vous donner de longs jours !
                Puissiez-vous réussir dans vos projets !
                Puissent vos projets réussir !
                Puisse-t-il arriver bientôt !
          9. v. (Intransitif) Se dit encore pour marquer la possibilité de quelque événement, de quelque dessein.
                Un accident pourrait arriver.
                Cela se peut faire.
                Cela pourrait bien être.
                Cela se peut.
                Cela ne se peut pas.
                Il pourrait bien en mourir.
          10. v. Il s'emploie impersonnellement soit seul, soit avec le pronom se, dans cette acception.
                Il se peut que votre projet réussisse.
                Il pourra venir un temps meilleur.
                Il pourra, il pourrait arriver que… Il se pourrait que…
                Peut-être.
                Voyez cette expression à son rang alphabétique.
          11. v. (tr-indir) S'emploie aussi transitivement et signifie Avoir l'autorité, le crédit, le moyen, la faculté, etc., de faire.
                Vous pouvez tout sur lui, sur son esprit.
                Si je puis quelque chose pour votre service, je m'y emploierai avec joie.
                C'est un homme qui peut beaucoup dans l'affaire dont il s'agit.
                Je ne puis rien en cela.
                Il peut tout ce qu'il veut.
                Je ne puis pas y aller.
          12. v. On ne peut plus, on ne peut mieux, Il n'est pas possible de faire ou d'être plus, de faire ou d'être mieux.
                Il est on ne peut plus aimable.
                Il s'y conduisit on ne peut mieux.
                N'en pouvoir plus, N'en plus pouvoir, être dans un accablement causé soit par la vieillesse, soit par la maladie, soit par la fatigue, le travail, la faim, la soif, ou encore par la souffrance morale, l'inquiétude, le chagrin.
                Je n'en puis plus.
                Il est fatigué à n'en pouvoir plus.
                Il est accablé de travail, il n'en peut plus.
                Je n'en puis plus de soif, de lassitude.
                Quand il est arrivé chez lui, il n'en pouvait plus.
                J'ai trop souffert, je n'en puis plus.
                Après tout ce qu'il a enduré, il n'en peut plus.
                Ce cheval n'en peut plus.
          13. n-m. Capacité à produire un effet.
          14. n-m. Capacité à commander, à contraindre, à imposer sa volonté.
                Dans une société primitive, celui que nous prendrions pour un chef est un porte-parole : il n'a pas de pouvoir.
          15. n-m. Capacité légale (de faire une chose) ; (par extension) mandat.
          16. n-m. (Politique) Puissance publique, autorité, droit de commander.
          17. n-m. (Par métonymie) Les personnes mêmes qui sont investies du pouvoir, de l'autorité politique.
être
     1. v. Définir un état, une caractéristique du sujet. (note) En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu'il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, ex
           Je suis petit et barbu.
           Est-il malade ?
           Cet homme est président de ce pays depuis quatre ans.
           L'eau nous est indispensable.
           — D'où est-il ?
     2. v. Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
           Nous sommes en ville.
     3. v. (Absolument) Exister.
           Être, ou ne pas être, c'est là la question.
           Il n'est plus, il est mort.
     4. v. (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
           Il est des hommes que la résistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage.
           Il est, près de ces lieux, une retraite ignorée.
     5. v. (Impersonnel) Le moment de la journée. (note) Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C'est quelle heure ?
           — Quelle heure est-il ?
           Il est l'heure de partir.
           Il est tard.
     6. v. Le jour de la semaine ou la date du moment.
           — Quel jour sommes-nous ?
           Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
     7. v. (Familier) Aller, se rendre. (note) Avec l'auxiliaire avoir.
           Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
     8. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d'état et tous les verbes réflexifs.
           Il est passé.
           Il est tombé.
           Il s'est trompé.
     9. v. (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
           Quand il sera aimé.
     10. v. (Construit avec sur ou dessus) S'occuper d'une affaire particulière, s'en occuper.
     11. n-m. Existence, c'est-à-dire le fait d'exister, au sens abstrait.
     12. n-m. Organisme, créature vivante.
     13. n-m. Personnalité ; âme.
     14. n-m. (Plus rare) Ce qui constitue une chose.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
objet
     1. n-m. Chose tangible et visible, concrète. Chose perceptible par la vue et le toucher. Chose, dans un sens indéterminé.
           Il vend toute sorte d'objets.
           Objets de première nécessité.
           Un objet d'art.
           Quel est donc cet étrange objet que je vois dans ta main ?
           Je ne pouvais pas voir l'objet qu'il avait déposé dans ma main.
           Objet agréable, horrible, plaisant, insupportable.
           La beauté, la laideur d'un objet.
           Écartez cet objet de mes yeux.
           Reposer sa vue sur un objet charmant.
           Cette lunette grossit trop les objets.
           Les objets se peignent sur la rétine.
     2. n-m. (En particulier) Chose fabriquée par l'homme ; artéfact.
     3. n-m. (Philosophie) Tout ce qui affecte les sens, tout ce qui intéresse les facultés de l'âme.
           Les objets des sens.
           Les couleurs sont les objets de la vue.
           Le son est l'objet de l'ouïe.
           Les saveurs sont l'objet du goût.
           Les odeurs sont l'objet de l'odorat.
           Le vrai est l'objet de l'entendement.
           Le bien est l'objet de la volonté.
     4. n-m. (Philosophie) Ce qui est pensé, par opposition à l'être pensant ou sujet.
     5. n-m. Matière à une science, à un art.
           La logique a pour objet les opérations de l'entendement.
           Chaque science a son objet.
     6. n-m. (Grammaire) S'oppose à sujet et désigne la personne ou la chose sur laquelle se porte l'action exprimée par le verbe.
           Dans la phrase : « Dieu a créé l'homme », Dieu est le sujet et l'homme l'objet.
     7. n-m. Tout ce qui est la cause, le sujet, le motif d'un sentiment, d'une passion, d'une action.
           Être l'objet de la raillerie, de la médisance, de la calomnie, du mépris.
           Objet de pitié.
           L'objet de son amour, de son respect, de sa passion.
           Objet de tristesse, d'affliction, de douleur, etc.
           Vous étiez l'objet de notre entretien.
           La conversation a changé d'objet.
     8. n-m. En particulier, la personne qu'on aime.
           L'objet aimé.
     9. n-m. But, objectif, visée.
           Cet homme n'a pour objet que de faire fortune.
           L'objet de ma remarque.
           L'objet que je me propose, que j'ai en vue.
           Voilà mon objet.
           Remplir son objet.
           Quel est l'objet de cette démarche ?
           Discours, action sans objet.
           Je vais maintenant vous exposer l'objet de cette réunion.
     10. n-m. (Vieilli) (Figuré) Tout ce qui se présente à l'esprit, de tout ce qui l'occupe.
           Les objets se peignent confusément dans son esprit, dans son imagination.
           Il a la tête remplie, occupée de mille objets, d'un objet important.
           Il ne saurait donner une attention suivie au même objet.
           Son esprit troublé confond et défigure les objets.
           Il est éloquent lorsqu'il parle des objets qui le touchent.
     11. n-m. (POO) Instance de classe. Un objet stocke des valeurs de données (attributs), sur lesquels travaillent les méthodes de la classe.
     12. n-m. (Cartographie) Phénomène concret ou abstrait susceptible d'une représentation cartographique.
En
     1. n. (Géographie) Ancienne commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales.
     2. prep. Utilisé après certains verbes.
           Croire en Dieu.
           Mise en œuvre.
     3. prep. Permet de préciser une matière.
           Un évier en émail.
     4. prep. Indique le lieu.
           Être en France. — Aller en Amérique.
           Mettre quelqu'un en prison.
           Marcher en tête.
           Mettre en ligne.
     5. prep. Cette préposition a divers emplois spéciaux. Ainsi, très souvent, elle précède un mot qui indique ou détermine l'état absolu ou relatif, la manière d'être, la disposition, la modification d'une personne ou d'une chose.
           Un habit en lambeaux.
           Teindre, colorer en bleu, en rouge.
     6. prep. Elle introduit également le mot qui indique ou détermine :
           À quoi une personne est occupée, appliquée.
           Être en affaire, en prières.
           Le résultat d'un changement de nature.
           Narcisse fut métamorphosé en fleur.
           Éclater en sanglots.
           La forme.
           Des arbres taillés en buisson. — Une fenêtre en ogive.
           Le genre de culture.
           Cet hectare est en vignes. — Ce terrain a été mis en potager, est en potager.
           Le mode de division.
           Diviser en deux, en trois, etc.
           Une comédie en cinq actes.
           L'espèce de vêtement qu'une personne a sur elle.
           Être en uniforme. — Être en pantoufles.
     7. prep. Elle introduit aussi très fréquemment le mot qui détermine à quoi est relative, à quoi est restreinte, ou de quel point de vue est considérée la chose, la qualité, l'action, etc., dont il s'agit.
           Bon en mathématiques. — Docteur en médecine.
           Une terre fertile en blé.
     8. prep. Elle sert encore, particulièrement, à marquer la conformité.
           En bonne règle. — Je vous le dis en vérité.
     9. prep. Elle sert à indiquer encore :
           La manière dont se fait une action.
           Je vous expliquerai la chose en deux mots.
           Ils s'y rendirent en toute hâte.
           Le langage ou le genre d'écriture qu'on emploie.
           Écrire un ouvrage en grec, en français, en latin, etc.
           Ils s'entretenaient en anglais.
           La destination.
           Mettre en vente.
           Donner en otage.
           Le motif qui fait agir ou La fin qu'on se propose.
           En vue de lui plaire.
     10. prep. Il sert de plus à marquer le rapport au temps et signifie durant, pendant.
           En hiver. — En votre absence. — En temps de paix.
     11. prep. Permet de préciser un moyen de transport. (note) Traditionnellement, on utilise en pour des moyens de transport dans lesquels on se trouve (en voiture, par exemple), et à pour ceux qu'on enfourche, sur le modèle de à cheval. Mais il semble y avoir u
           Je suis allé en Corse en avion, mais je suis revenu en bateau.
     12. prep. Forme un gérondif qui marque le temps, la durée.
           Lambert hochait la tête en souriant. (Beauvoir, Mandarins, 1954)
           En allant à l'université, j'ai rencontré une belle fille.
     13. prep. Remplace à la ou à l' du locatif du nom d'un pays ou d'un continent. Cet usage est parallèle à la suppression de l'article dans de la ou de l' de l'ablatif correspondant. Il y a d'autres noms qui suivent cette règle, comme les noms des saisons.
     14. n. (remplaçant un COI avec de) De ça.
           J'en ai été informé. — Je n'en sais rien.
     15. n. (Remplaçant un nom sans déterminant ou un nom indéfini du COD ou du sujet de la copule) Personne, chose de cette espèce, d'entre eux, d'entre elles. (usage) Utilisé tout seul ou avec une quantification.
           Lucien : Dis donc, Charlot, as-tu un sou ?
           — Halte ! Avez-vous des allumettes ?
           Lady Caroline : On m'a dit que vous n'aviez pas de manoir, en Amérique ?
     16. n. (remplaçant un nom avec de dans le COD, dans le sujet de la copule ou dans l'attribut) De ça. (usage) Pour une personne, on utilise de lui, d'elle, etc. ou un adjectif possessif.
     17. n. (Adverbe de lieu) De ce lieu. De là. De ce côté-là
           La piscine ? J'en viens !
question
     1. n-f. Interrogation, demande que l'on fait pour s'informer de quelque chose.
     2. n-f. (Grammaire) Type de phrase pour demander une information, généralement avec un syntagme ou un particule interrogatif, ou avec l'ordre des mots spécial. .
     3. n-f. (En particulier) (Dans la narration littéraire) Phrase dont le but est d'inviter un auditeur, un lecteur à donner une explication, un renseignement, ou tout cas appelant une réponse.
     4. n-f. (En particulier) Interrogations que l'on adresse à un élève dans un examen.
           Cet élève répondit fort bien aux questions qu'on lui adressait.
     5. n-f. Proposition qu'il y a lieu d'examiner, de discuter, difficulté dont on cherche la solution.
     6. n-f. (Politique) Affaire considérable soumise à l'examen du gouvernement, d'une assemblée, du public.
     7. n-f. (Histoire) Torture qui était infligée aux accusés, en matière criminelle, pour leur arracher des aveux.
     8. prep. (Familier) Quant à
en question
     1. adj. Dont il s'agit dans la discussion.
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