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dans
     1. prep. Préposition de lieu qui marque le rapport d'une personne ou d'une chose à ce qui la contient. Introduit un complément circonstanciel de lieu.
           Dans la forêt, il y a des arbres.
           Il y a du fer dans les lentilles.
           Il nage comme un poisson dans l'eau.
           Il est dans la salle à manger.
           Être dans la chambre, entrer dans la chambre.
           Dans telle ou telle circonstance. Dans l'occurrence.
           Mettre quelque chose dans une armoire, un tiroir, etc.
           Avoir quelque chose dans la bouche.
           L'épée lui est entrée bien avant dans le corps.
           Ce passage est dans tel ouvrage.
           Une glose qui a passé dans le texte.
           Insérer un article dans un journal.
           Être dans ses meubles : Avoir des meubles à soi.
     2. prep. S'applique à des termes abstraits pour désigner la situation qu'une personne occupe, l'état où elle est, la disposition où elle se trouve, etc.
           Entrer dans la magistrature.
           Se mettre dans les affaires.
           Être dans l'infanterie.
           Vieillir dans la misère.
           Vivre dans l'oisiveté.
           Il est dans l'attente, dans l'affliction, dans les larmes.
           Entrer dans les vues, dans les sentiments de quelqu'un.
           Dans sa fureur, il ne voulut rien entendre.
     3. prep. Avec.
           Il a fait cela dans la pensée d'en tirer de l'utilité.
           Il a fait cela dans le dessein, dans la vue de s'établir.
     4. prep. Selon.
           Il est dans sa nature de parler à tort et à travers.
           Ce mot est employé dans telle acception.
           On doit prendre ce passage dans un tout autre sens.
     5. prep. Avec des mots qui indiquent une époque, une durée.
           Il fait deux fois plus d'ouvrage que son frère dans le même temps.
           Ces événements eurent lieu dans la même année. Dans sa jeunesse. Dans mon enfance.
           Dans tel temps signifie aussi Après tel temps, au bout de tel temps.
     6. prep. Indique un moment postérieur au moment de l'énonciation.
           Il arrivera dans trois jours.
           Dans combien de temps ? Dans un moment. Dans peu de temps.
           Dans cinq ans, je serais grand.
cet
     1. adj. (Variante de) devant une voyelle.
abaissement
     1. n-m. Action d'abaisser, de s'abaisser, ou résultat de cette action.
           L'abaissement du mercure dans le baromètre.
           L'abaissement de la voix.
     2. n-m. (Figuré) Diminution ; affaiblissement.
           Un abaissement des prix a été annoncé.
           Abaissement des caractères.
           Louis XI travailla beaucoup à l'abaissement de la maison de Bourgogne.
           L'abaissement de la natalité.
           L'abaissement des revenus, du taux de l'intérêt.
     3. n-m. (Figuré) Humiliation ; état de bassesse.
           Un tel abaissement ! Il ne pense plus qu'à la boisson !
     4. n-m. (Figuré) Humilité, état qui mêle crainte et respect.
           Le vassal se tient dans l'abaissement devant son seigneur.
           Se tenir dans l'abaissement devant Dieu.
     5. n-m. (Figuré) Déclin, dégénérescence d'une personne, d'une institution ou de la société.
           L'abaissement du prince inquiète son entourage.
           L'abaissement de l'administration russe a provoqué la résurgence de volontés indépendantistes.
           L'émergence de la civilisation romaine accentua l'abaissement de la civilisation grec.
     6. n-m. (Médecine) Descente d'un organe suite à un problème de ses supports naturels.
           On a procédé à un abaissement du foie.
           Abaissement de la cataracte, opération par laquelle on fait descendre au-dessous du niveau de la pupille le cristallin devenu opaque.
           Abaissement d'un astre : quantité dont on doit diminuer la hauteur apparente d'un astre pour avoir sa hauteur vraie.
     7. n-m. Abaissement d'une équation : réduction d'une équation à un degré moindre.
     8. n-m. Abaissement pour un blason : addition dans un écu de quelque pièce qui en abaisse la valeur.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
il
     1. n. Pronom de la troisième personne du singulier masculin (utilisé exclusivement en tant que sujet). Désigne une personne, un animal ou une chose dont le genre est masculin.
           Il est le plus intelligent.
           Qu'est-ce qu'il veut ?
           Le journal ? Il est sur le bureau.
     2. n. Sujet explétif d'un verbe sans actant.
           Il neige.
           Il fait beau.
           Il faut marcher plus vite pour arriver au sommet.
     3. n. Sujet explétif introduisant un nouveau sujet réel d'existence ou d'apparition. (note) Le verbe reste alors au singulier, bien que le véritable sujet soit au pluriel.
           Il y a un chat.
           Il vient beaucoup de monde.
           Il est venu deux personnes.
           Il est survenu de fâcheux événements.
     4. n. Sujet explétif introduisant un sujet réel montré par de ou par que.
           Il est honteux de mentir.
           Il est douteux qu'elle vienne.
     5. n. Cela. — (note) Uniquement dans l'expression il est vrai, intercalée dans une phrase.
           Je devais partir, il est vrai, mais j'en ai été empêché.
allume
     1. n-m. (Désuet) Morceau de bois allumé servant à allumer une cheminée, un poêle, etc.
     2. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent du verbe allumer.
     3. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent du verbe allumer.
     4. v. Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe allumer.
     5. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe allumer.
     6. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif du verbe allumer.
     allumer
          1. v. Enflammer ; mettre le feu à.
          2. v. Faire de la lumière, à l'aide d'une lampe ou d'un éclairage artificiel.
                Allume la lumière !
                Allume ! On n'y voit rien.
          3. v. Mettre en marche un appareil électrique.
          4. v. Susciter, exciter, éveiller.
                Ces événements ont allumé la haine de la population.
          5. v. Comprendre de façon soudaine.
                C'est alors que j'ai allumé : il parlait du chat !
          6. v. (Familier) Séduire, aguicher quelqu'un.
                Elle allume tous les hommes qu'elle voit.
          7. v. (Familier) (Argot) Recadrer très sévèrement quelqu'un.
                Le prof nous a chopés en train de tricher, il nous a allumés !
          8. v. (Pronominal) S'éclairer.
                La bougie s'allume.
Sa
     1. n. Nom de famille.
     2. adj. Déterminant utilisé pour rendre l'idée de possession d'un objet ayant un rapport avec la personne dont on parle.
           Tu as vu sa jupe ?
           A-t-il pensé à prendre sa clé ?
     3. n. Langue océanienne parlée au Vanuatu dans le sud de l'île de Pentecôte, qui a pour code ISO 639-3 sax.
lampe
     1. n-f. Ustensile fixe ou mobile qui sert à l'éclairage, rempli d'un liquide combustible et muni d'une mèche. La flamme peut être protégée d'un verre et le corps comprend le réservoir, le manche ou le pied.
     2. n-f. (Religion) Récipient garni d'huile et d'une mèche qui brûle jour et nuit dans les églises devant le Saint-Sacrement.
     3. n-f. (Par analogie) Appareil fixe ou mobile au gaz ou muni d'une ou de plusieurs ampoules électriques.
           Remplacer une lampe, la lampe a sauté.
     4. n-f. (Par assimilation) L'ampoule elle-même.
     5. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de lamper.
     6. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de lamper.
     7. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de lamper.
     8. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de lamper.
     9. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de lamper.
     lamper
          1. v. Avaler avidement et à grandes gorgées.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
il
     1. n. Pronom de la troisième personne du singulier masculin (utilisé exclusivement en tant que sujet). Désigne une personne, un animal ou une chose dont le genre est masculin.
           Il est le plus intelligent.
           Qu'est-ce qu'il veut ?
           Le journal ? Il est sur le bureau.
     2. n. Sujet explétif d'un verbe sans actant.
           Il neige.
           Il fait beau.
           Il faut marcher plus vite pour arriver au sommet.
     3. n. Sujet explétif introduisant un nouveau sujet réel d'existence ou d'apparition. (note) Le verbe reste alors au singulier, bien que le véritable sujet soit au pluriel.
           Il y a un chat.
           Il vient beaucoup de monde.
           Il est venu deux personnes.
           Il est survenu de fâcheux événements.
     4. n. Sujet explétif introduisant un sujet réel montré par de ou par que.
           Il est honteux de mentir.
           Il est douteux qu'elle vienne.
     5. n. Cela. — (note) Uniquement dans l'expression il est vrai, intercalée dans une phrase.
           Je devais partir, il est vrai, mais j'en ai été empêché.
prenne
     1. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe prendre.
     2. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe prendre.
     prendre
          1. v. Saisir, mettre en sa main.
          2. v. Saisir une chose, l'enlever, la tirer à soi autrement qu'avec la main.
                Prendre quelqu'un dans ses bras. - Prendre quelque chose avec les dents.
          3. v. Saisir les choses avec leur gueule, leur bec, leurs griffes, etc., en parlant des animaux.
                Le perroquet prend souvent avec sa patte ce qu'il veut prendre ensuite avec son bec.
          4. v. Mettre sur soi, en parlant des habits, des vêtements.
          5. v. (Vieilli) Commencer à porter.
                Prendre la perruque ou prendre perruque.
          6. v. Emporter avec soi certaines choses par besoin ou par précaution.
                Prendre un parapluie, une lanterne. - Prendre sa canne, son épée, son chapeau.
                Il a pris son fusil et il est allé à la chasse.
          7. v. Emporter en cachette ou de force, ôter à quelqu'un ce qu'il possède, le lui dérober.
                On lui a pris sa bourse, sa montre, tout ce qu'il possédait. - Ils lui ont pris jusqu'à sa chemise.
                Ce chien a pris un poulet sur la table.
          8. v. S'emparer, se saisir par force d'une chose ou d'une personne.
                Il a pris l'arme de son adversaire.
                Prendre quelqu'un au collet, à la gorge, par le bras, à bras-le-corps.
          9. v. (Très familier) Dominer sexuellement.
                Je l'ai prise en levrette, mon gars, quelque chose de concret !
          10. v. (Jeux) Enlever à l'adversaire.
                Je prends votre dame avec mon roi.
                (absolument) Je prends et je joue.
          11. v. Faire des levées d'hommes.
                Il a été pris pour le service militaire.
          12. v. Arrêter quelqu'un pour le conduire en prison.
                Ce voleur s'est enfin laissé prendre. La gendarmerie a déjà pris deux de ces bandits.
          13. v. Butiner à la guerre, y faire des prisonniers.
                On a pris à l'ennemi quinze cents hommes, deux drapeaux, dix canons.
          14. v. (Militaire) Se rendre maître par la force des armes ou autrement, d'une place forte.
          15. v. (Chasse) (Pêche) Attraper à la chasse ou à la pêche.
                Nous avons chassé tout le jour sans rien prendre.
                Prendre des oiseaux à la pipée, au trébuchet.
          16. v. Poursuivre et saisir un gibier, en parlant des animaux de chasse, des oiseaux de proie, des prédateurs.
                Mon chien a pris deux lièvres.
                Ses chiens n'ont rien pris de la journée.
          17. v. (Figuré) S'emparer de quelqu'un, gagner quelqu'un en s'attaquant à son esprit, à son cœur, à ses sens.
          18. v. Surprendre.
                Je l'ai pris à voler des fruits dans votre jardin. - Il promit qu'on ne l'y prendrait plus. - Tout le monde y aurait été pris.
          19. v. Attaquer, aborder.
                Prendre une armée de flanc. - Prendre son ennemi par derrière. - Prendre quelqu'un en traître, en trahison.
          20. v. Manger, boire, avaler, absorber, en parlant des aliments, des boissons, des médicaments solides ou liquides.
          21. v. Faire usage pour sa santé, pour son agrément, etc.
                Prendre un lavement.
          22. v. (Vieilli) Se faire contaminer par contagion, en parlant des maladies.
                Il a pris la peste, la fièvre jaune, le typhus. - C'est d'un tel qu'il a pris la grippe.
          23. v. Atteindre par surprise.
                L'orage, la pluie nous prit en chemin.
                La fièvre l'a pris le samedi.
                La frayeur, la colère, l'ennui, l'enthousiasme, etc., le prit.
          24. v. Fixer sur le corps.
                Il prend de l'embonpoint.
                Il prend du ventre. - Prendre des forces.
          25. v. Contracter ; adopter.
          26. v. Se donner, employer, en parlant de titres, de qualités, de noms.
                Il prit le titre de comte. - Elle prit le nom de son mari.
          27. v. Acquérir, acheter.
                Je prendrai tout à six francs pièce. - Vous en demandez trop cher : je ne le prendrai pas.
                (absolument) C'est à 'prendre' ou à laisser.
          28. v. Demander, percevoir un prix pour quelque chose que l'on vend.
                Ce marchand prend vingt francs du mètre de ce drap. - On m'a pris mille francs pour ce travail.
          29. v. Recevoir ; accepter.
                Rien n'avait été convenu entre nous : il a pris ce que je lui ai donné.
                Ce train prend des voyageurs de toutes classes.
          30. v. Bénéficier de.
          31. v. Emprunter, tirer de.
                Il a pris l'idée de cette tragédie dans un vieux roman.
                C'est un mot que nous avons pris du latin.
          32. v. (En particulier) (famille) Recevoir des traits psychologiques ou physiques de son ascendance.
          33. v. Engager des personnes, ou s'engager avec elles, sous certaines conditions.
                Prendre un domestique, une femme de chambre, une cuisinière, un chauffeur, etc.
                Prendre un ouvrier, des ouvriers à la tâche, à la journée.
                Prendre un associé, une épouse.
          34. v. Joindre quelqu'un en quelque endroit, pour se rendre ailleurs avec lui.
                J'irai vous prendre à deux heures précises. - Il est venu me prendre pour aller au théâtre.
          35. v. Emmener avec soi.
                Le capitaine prit trente hommes pour faire cette reconnaissance.
          36. v. Recueillir, donner l'hospitalité.
                Je l'ai pris chez moi. - Il eut la bonté de prendre chez lui toute cette famille.
          37. v. Ôter, retirer, retrancher une partie d'un tout.
                Prendre dix mille francs sur une succession. - Il a pris mille francs d'avance sur son traitement.
          38. v. Retrancher de quelque chose pour subvenir à autre chose.
                Prendre sur sa nourriture, sur sa dépense, sur son nécessaire, etc., pour donner aux pauvres.
                Prendre sur son sommeil pour travailler.
          39. v. Se charger d'une chose, entrer en possession, en jouissance d'une chose à certaines conditions.
                Prendre des terres en fermage.
                Prendre un appartement en location.
                J'ai pris une chambre, un pied-à-terre dans cette maison.
          40. v. (Marine) Charger quelque chose, recevoir quelqu'un, à bord.
          41. v. Engager et conduire, en parlant d'une affaire.
                Il a mal pris son affaire, voici comme il fallait la prendre.
                Prendre une affaire du bon, du mauvais biais.
          42. v. Choisir, préférer, adopter de préférence, se décider pour.
                Je ne sais quel livre prendre.
          43. v. Choisir une route, un chemin, s'y mettre en marche, en parlant particulièrement de ceux qui voyagent, qui cheminent.
          44. v. (Absolument) Entrer dans un chemin qui se présente au choix.
                Prendre à droite, à gauche, tout droit.
          45. v. Utiliser un mode de locomotion qui se présente au choix.
                Prendre la voiture, prendre le train, prendre le paquebot.
                Prendre un cheval, une voiture, un bateau, une automobile, un avion.
          46. v. (En particulier) Couper, utiliser, façonner, de certaines façons, en parlant des étoffes, des viandes, et plus généralement ce que l'on coupe ou tranche avec art.
Les
     1. n. (Géographie) Commune d'Espagne, située dans la province de Lérida et la Communauté autonome de Catalogne.
     2. art. Pluriel de le ou la.
     3. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
           Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
lettres
     1. n-f. Pluriel de lettre.
     2. n-f. (Par métaphore) La littérature ou la culture.
           Il a des lettres : Il est cultivé.'
           Homme de lettres, Femme de lettres : Se dit de quelqu'un qui fait métier d'écrire.
           La société des gens de lettres.
           Belles-lettres : La grammaire, l'éloquence et la poésie.
     3. n-f. On dit également lettres par opposition aux sciences.
           Les classes de lettres.
           Professeur de lettres.
           Baccalauréat ès lettres.
     4. n-f. (Vieilli) Certains actes expédiés en chancellerie ou sous le sceau de quelque autorité, de quelque communauté ou compagnie ecclésiastique ou séculière.
           Lettres de naturalisation.
           Lettres patentes.
           Lettres de grâce, d'abolition, de rémission, de rescision, d'attache, de naturalité, de légitimation, de committimus, de noblesse, de répit, de représailles, etc.
           Lettres du grand sceau, du petit sceau.
           Mettre des lettres au sceau.
           Sceller, expédier, donner des lettres.
           Lettres subreptices, obreptices.
           Lettres de tonsure, de prêtrise, etc.
           Lettres de bourgeoisie.
           Lettres apostoliques : Actes des papes, nommées aussi rescrits, brefs.
     5. v. Deuxième personne du singulier de l'indicatif présent du verbe lettrer.
     6. v. Deuxième personne du singulier du subjonctif présent du verbe lettrer.
     lettrer
          1. v. (Vieilli) Rédiger une lettre.
          2. v. (Vieilli) Éduquer, rendre lettré.
          3. v. (Technique comptable) Effectuer un lettrage.
     lettre
          1. n-f. Chacun des caractères d'un alphabet représentant un son, voyelle ou consonne.
                Écrire un nombre en lettres ou en toutes lettres : L'écrire, non en chiffres, mais avec les mots qui correspondent aux chiffres.
          2. n-f. (Typographie) Police de caractères ou manière de représenter les lettres.
                Lettre gothique, italienne, bâtarde, ronde ou française, cursive ou courante.
          3. n-f. (Typographie) Chacun des caractères individuels d'une police.
                Le plein, le délié, les jambages, le corps, la queue d'une lettre.
                L'œil de cette lettre est trop petit, est trop gros.
                Bien former, mal former ses lettres.
                Lettre majuscule, minuscule.
                Lettre capitale.
                Lettre du bas de casse.
                Lettre italique.
          4. n-f. Message écrit sur du papier ordinaire, expédié à un destinataire, généralement sous enveloppe.
                Lettre pastorale : Communication adressée par un évêque aux fidèles de son diocèse et lue en chaire par les curés.
          5. n-f. (Imprimerie) Caractère de métal, alliage de plomb, d'antimoine et d'étain, représentant en relief une des lettres de l'alphabet.
                Lettre grise : Grande lettre capitale ornée de certaines figures et ordinairement gravée sur bois ou sur cuivre.
                Faire de la lettre : Distribuer la composition.
                Lever la lettre : Prendre les lettres les unes après les autres dans les cassetins d'une casse et les aligner sur le composteur pour en faire des mots et des chapitres.
                Lettre moulée : Lettre imprimée.
          6. n-f. En parlant d'un texte, se dit du sens littéral, par opposition au sens figuré ou extensif.
                La lettre tue, mais l'esprit vivifie.
                Juger suivant la lettre de la loi.
                S'en tenir à la lettre.
                Il ne faut pas prendre cette phrase, cette expression à la lettre, au pied de la lettre.
                La chose doit s'entendre à la lettre.
          7. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de lettrer.
          8. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de lettrer.
          9. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de lettrer.
          10. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de lettrer.
          11. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de lettrer.
Des
     1. n-f. Pluriel de D(e).
     2. art. Article indéfini du pluriel. C'est ainsi le pluriel de un ou une.
           J'ai mangé des pommes.
     3. art. Contraction de l'article défini du pluriel les avec la préposition de. (note) C'est ainsi le pluriel de du ou de la.
     4. art. (Mot + des + mot répété au pluriel) Le plus, le plus typique.
     5. n-f. Pluriel de dame.
     de
          1. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
                Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
          2. prep. Particule dans les noms de famille.
                Charles de Gaulle.
          3. prep. Indique la possession.
                La voiture de Sylvie.
          4. prep. Indique une association à la matière.
                Le pot de fer.
                Deux litres de bière.
                Le renard des sables.
          5. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
                Un groupe de 5.
                La température était de 30 °C.
          6. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
                Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
                Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
          7. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
                D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
                Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
                Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
                Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
                Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
                Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
                L'huile qu'on extrait des olives.
                Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
                Je l'ai reçu de ses mains.
                Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
                Parler, écouter, de loin, de près.
          8. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
                Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
          9. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
                Paris est à trente lieues d'Orléans.
                Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
                Il se vit à deux doigts de sa perte.
                Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
                D'aujourd'hui en huit.
                Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
          10. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
                Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
          11. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
                Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
                Différer du tout au tout.
                Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
                De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
          12. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
                Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
                Il perdit une partie de sa fortune
                (Par analogie)
                Il perdit la totalité de sa fortune.
                Une portion, une partie du territoire.
                Le reste du temps.
                Donnez-lui un morceau de ce pain.
                Cela n'a rien diminué de sa gloire.
                Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
          13. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
                Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
                De l'eau bonne à boire.
                Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
                Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
                Prendre des oiseaux au piège.
                Donner de l'argent.
          14. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
                Je n'ai de volonté que la tienne.
                Je ne connais pas d'homme plus importun.
                Parler sans faire de fautes.
                Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
                N'avez-vous pas d'enfants ?
                (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
                N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
                Il ne peut parler sans faire des fautes.
          15. prep. Servir à marquer la conformité.
                Je suis de votre avis.
                Cela n'est pas de mon goût.
                Les cérémonies d'usage.
                Cela n'est plus de mode.
                Cela n'est pas de jeu.
          16. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
                Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
                Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
                Le nom, la condition, la profession d'une personne.
                Les actions de quelqu'un.
                Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
                La beauté d'une femme.
                Le sujet d'un discours.
                Le sens d'un mot.
                La largeur d'un fleuve.
                (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
                Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
                Bien de famille.
                La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
                Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
                Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
                Voix de femme. – Tableau de genre.
          17. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
                Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
          18. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
                Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
          19. prep. Rapport au temps, à l'époque.
                Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
                Les mœurs du temps. – Les hommes d'à présent, d'aujourd'hui.
     les
          1. art. Pluriel de le ou la.
          2. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
                Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
     de l'
          1. art. Signifie une quantité indéfinie. Du ou de la. Utilisé devant une voyelle.
          2. art. Préposition de et de l'article défini devant une voyelle. Du ou de la.
Rois
     1. n-m. (Religion) Nom des onzième et douzième livres de l'Ancien Testament, comprenant deux parties :
           1 Rois: 22 chapitres ;
           2 Rois: 25 chapitres.
     2. n. (Géographie) Commune d'Espagne, située dans la province de La Corogne et la Communauté autonome de Galice.
     3. n-m. Pluriel de roi.
     roi
          1. n. (Titres) Dirigeant héréditaire ou électif d'un royaume.
          2. n. (Figuré) Personne à qui il faut obéir au doigt et à l'oeil.
          3. n. (Figuré) Personne qui se démarque comme la meilleure, la plus puissante ou la plus en vue dans un domaine. (note) S'emploie normalement avec un complément de nom.
                (En parlant d'animaux) À peine les ont-ils déposés sur les planches
          4. n. Comportement qui l'emporte sur tous les autres.
          5. n. Ellipse de roi des cons.
          6. n. (Cartes) Une des trois cartes à visages d'un jeu de cartes.
          7. n. (Échecs) Pièce la plus importante du jeu d'échecs dont il faut s'emparer pour gagner la partie.
          8. n. Roi mage, personnage de la Bible venu adorer Jésus à sa naissance.
                La fête des rois.
          9. adj. Se dit d'une couleur d'un bleu moyen soutenu. Il s'agit du bleu du drapeau français.
qui
     1. n. Lequel, laquelle, lesquels, lesquelles. — (note) Sert à désigner le sujet dans la proposition relative.
           (note) Il se rapporte quelquefois à un nom ou à un pronom qui ne le précède pas immédiatement.
           Le voici qui vient.
           Un homme est là qui est déjà venu.
           (note) Précédé d'une préposition, il ne s'emploie ordinairement qu'en parlant des êtres animés.
           Celui, celle de qui je parle, à qui j'ai donné cela.
           Un chien à qui elle fait mille caresses.
           (note) Il s'emploie aussi en parlant des objets inanimés personnifiés.
           Rochers à qui je me plains.
     2. n. (Par ellipse) (littéraire) Celui qui, celle qui. — (note) Sert à désigner une personne sans antécédent.
     3. n. (Par ellipse) Ce qui, en parlant des choses.
           Voilà qui est beau.
           Voici qui me plaît.
     4. n. (Répété et distributif) Celui-ci ; celle-ci ; ceux-ci… celui-là ; celle-là ; ceux-là ; les uns… les autres.
     5. n. Quelle personne ? — (note) Sert à désigner une personne ou des personnes.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
traitent
     1. v. Troisième personne du pluriel du présent de l'indicatif du verbe traiter.
     2. v. Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif du verbe traiter.
     traiter
          1. v. Agir avec quelqu'un, en user avec lui de telle ou telle manière.
                Vous le traitez trop rudement.
                Traiter honorablement, humainement, cavalièrement.
                Traiter en frère.
                Il fut traité en ami.
          2. v. Qualifier ou donner à quelqu'un tel ou tel titre en lui parlant, en lui écrivant, etc.
          3. v. (En particulier) Dénommer de manière injurieuse.
                « Bane a traité Young de bruja. Ça veut dire quoi ?
          4. v. Recevoir à sa table, en parlant d'un hôte.
                Traiter quelqu'un magnifiquement.
                Cet homme nous a fort bien traités.
          5. v. Donner à manger pour de l'argent.
                Il nous a bien traités pour le prix.
                Traiter à table d'hôte.
                Il traite à tant par tête.
          6. v. (Médecine) Soigner, donner ses soins à un malade.
                C'est tel médecin qui le traite.
          7. v. Soigner, combattre une maladie, par des soins particuliers.
          8. v. S'occuper de, résoudre, corriger quelque chose, un problème, une affaire.
          9. v. (Chimie) Soumettre une substance à des réactions, à des manipulations.
                On obtient la soude pure en traitant la soude du commerce par la chaux vive, puis par l'alcool.
                La gélatine, traitée par l'eau bouillante, se transforme en gelée.
          10. v. Étudier, exposer, discuter, discourir sur.
                Traiter un sujet.
                Traiter une matière.
                Tel auteur a traité cette question.
                Il a traité la matière à fond, il ne l'a traitée que superficiellement.
                Il a bien traité ce point-là.
                Ce n'est pas là traiter un sujet, c'est l'effleurer.
          11. v. (Peinture) Faire une composition, exécuter un tableau sur un sujet.
                Traiter un sujet.
                Cette composition, cette figure est bien traitée
          12. v. Négocier une convention politique, travailler à l'accommodement d'une affaire, en régler les clauses, les conditions, etc.
                Traiter la paix.
                Traiter une réconciliation.
                Traiter un accommodement entre des parents.
                Il s'entend à traiter les affaires.
          13. v. Négocier.
                Traiter de la paix.
                Ces états traitèrent ensemble.
                Ils finirent par traiter avec leurs ennemis.
          14. v. Entrer en négociation pour vendre, acheter, affermer, etc.
          15. v. Discuter de, discourir sur.
                Ce livre traite des métaux, des plantes.
                Cette science traite de telle matière.<!--
          16. v. Se donner l'un à l'autre, les uns aux autres un repas.
                Ils se traitaient tour à tour.
          17. v. Se servir, se soigner, se pourvoir, soi-même.
                Il se traite bien en s'offrant ce qu'il y a de mieux.
En
     1. n. (Géographie) Ancienne commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales.
     2. prep. Utilisé après certains verbes.
           Croire en Dieu.
           Mise en œuvre.
     3. prep. Permet de préciser une matière.
           Un évier en émail.
     4. prep. Indique le lieu.
           Être en France. — Aller en Amérique.
           Mettre quelqu'un en prison.
           Marcher en tête.
           Mettre en ligne.
     5. prep. Cette préposition a divers emplois spéciaux. Ainsi, très souvent, elle précède un mot qui indique ou détermine l'état absolu ou relatif, la manière d'être, la disposition, la modification d'une personne ou d'une chose.
           Un habit en lambeaux.
           Teindre, colorer en bleu, en rouge.
     6. prep. Elle introduit également le mot qui indique ou détermine :
           À quoi une personne est occupée, appliquée.
           Être en affaire, en prières.
           Le résultat d'un changement de nature.
           Narcisse fut métamorphosé en fleur.
           Éclater en sanglots.
           La forme.
           Des arbres taillés en buisson. — Une fenêtre en ogive.
           Le genre de culture.
           Cet hectare est en vignes. — Ce terrain a été mis en potager, est en potager.
           Le mode de division.
           Diviser en deux, en trois, etc.
           Une comédie en cinq actes.
           L'espèce de vêtement qu'une personne a sur elle.
           Être en uniforme. — Être en pantoufles.
     7. prep. Elle introduit aussi très fréquemment le mot qui détermine à quoi est relative, à quoi est restreinte, ou de quel point de vue est considérée la chose, la qualité, l'action, etc., dont il s'agit.
           Bon en mathématiques. — Docteur en médecine.
           Une terre fertile en blé.
     8. prep. Elle sert encore, particulièrement, à marquer la conformité.
           En bonne règle. — Je vous le dis en vérité.
     9. prep. Elle sert à indiquer encore :
           La manière dont se fait une action.
           Je vous expliquerai la chose en deux mots.
           Ils s'y rendirent en toute hâte.
           Le langage ou le genre d'écriture qu'on emploie.
           Écrire un ouvrage en grec, en français, en latin, etc.
           Ils s'entretenaient en anglais.
           La destination.
           Mettre en vente.
           Donner en otage.
           Le motif qui fait agir ou La fin qu'on se propose.
           En vue de lui plaire.
     10. prep. Il sert de plus à marquer le rapport au temps et signifie durant, pendant.
           En hiver. — En votre absence. — En temps de paix.
     11. prep. Permet de préciser un moyen de transport. (note) Traditionnellement, on utilise en pour des moyens de transport dans lesquels on se trouve (en voiture, par exemple), et à pour ceux qu'on enfourche, sur le modèle de à cheval. Mais il semble y avoir u
           Je suis allé en Corse en avion, mais je suis revenu en bateau.
     12. prep. Forme un gérondif qui marque le temps, la durée.
           Lambert hochait la tête en souriant. (Beauvoir, Mandarins, 1954)
           En allant à l'université, j'ai rencontré une belle fille.
     13. prep. Remplace à la ou à l' du locatif du nom d'un pays ou d'un continent. Cet usage est parallèle à la suppression de l'article dans de la ou de l' de l'ablatif correspondant. Il y a d'autres noms qui suivent cette règle, comme les noms des saisons.
     14. n. (remplaçant un COI avec de) De ça.
           J'en ai été informé. — Je n'en sais rien.
     15. n. (Remplaçant un nom sans déterminant ou un nom indéfini du COD ou du sujet de la copule) Personne, chose de cette espèce, d'entre eux, d'entre elles. (usage) Utilisé tout seul ou avec une quantification.
           Lucien : Dis donc, Charlot, as-tu un sou ?
           — Halte ! Avez-vous des allumettes ?
           Lady Caroline : On m'a dit que vous n'aviez pas de manoir, en Amérique ?
     16. n. (remplaçant un nom avec de dans le COD, dans le sujet de la copule ou dans l'attribut) De ça. (usage) Pour une personne, on utilise de lui, d'elle, etc. ou un adjectif possessif.
     17. n. (Adverbe de lieu) De ce lieu. De là. De ce côté-là
           La piscine ? J'en viens !
ami
     1. n. Personne avec laquelle on est lié d'amitié.
           Ami d'enfance, ami de collège.
           Être ami dans la bonne et dans la mauvaise fortune.
           Être ami à toute épreuve.
           Être ami jusqu'à la mort.
           Se faire des amis.
           Traiter, parler, agir en ami.
           Cela n'est pas d'un ami, d'un bon ami.
           Il ne faut point de cérémonie entre amis.
           Tout est commun entre amis.
           Elle est fort son amie.
           Les bons comptes font les bons amis.
           L'ami de la maison, celui qui fréquente le plus souvent une famille et qui vit dans l'intimité de ceux qui la composent.
     2. n. Amoureux, ami de cœur, généralement avec qui l'on n'habite pas.
           Venez donc avec votre amie, dimanche prochain.
           Je ne pourrai pas te voir vendredi soir, car je vais au cinéma avec mon amie.
           Mon ami est parti à l'étranger pour trois mois, et je m'ennuie beaucoup.
           (note) Bon ami, bonne amie se disaient familièrement autrefois pour amant, maîtresse.
           Elle a un bon ami. Il va voir sa bonne amie.
     3. n. Celui qui a beaucoup d'attachement pour une chose, ou qui en a le goût, la passion.
           Cet homme est ami de la vérité, de la raison, de la justice.
           Ami de tout le monde, ami du genre humain.
           Ami des sciences, des arts, des lettres.
           C'est un ami de la bouteille.
           Ami de la faveur, ami de la fortune, se dit de qui ne rend des soins, qui ne s'attache qu'aux personnes en faveur ou dans l'opulence.
     4. n. Allié , personne ou chose qui est d'accord.
     5. n. (Vieilli) (Familier) Terme de condescendance dont on se sert en parlant à des inférieurs.
           Travaillez, mes amis, vous serez bien payés.
           Tiens, mon ami, mon bon ami, voilà pour ta peine.
           L'ami, voudrais-tu me porter ce message ?
     6. n. Animal qui a de l'affection pour les hommes, ou pour qui l'homme a de l'affection.
           Le chien est le meilleur ami de l'homme.
           « Trente millions d'amis » était le titre d'une émission de télévision sur les animaux.
           Nos amies les bêtes.
     7. adj-m. Qui est bienveillant, obligeant, amical.
           Il m'a montré un visage ami.
           Parler un langage ami.
           Un pays ami.
     8. adj-m. Propice, favorable. (note) Ce sens n'est guère usité qu'en poésie.
           Les destins amis.
           La fortune amie.
     9. adj-m. (Spécialement) Qualifie des couleurs qui vont bien ensemble et dont l'union produit un effet agréable.
     10. n. Langue aborigène d'Australie parlée sur la côte d'Anson Bay au sud-ouest de Darwin. Son code ISO 639-3 est amy.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
il
     1. n. Pronom de la troisième personne du singulier masculin (utilisé exclusivement en tant que sujet). Désigne une personne, un animal ou une chose dont le genre est masculin.
           Il est le plus intelligent.
           Qu'est-ce qu'il veut ?
           Le journal ? Il est sur le bureau.
     2. n. Sujet explétif d'un verbe sans actant.
           Il neige.
           Il fait beau.
           Il faut marcher plus vite pour arriver au sommet.
     3. n. Sujet explétif introduisant un nouveau sujet réel d'existence ou d'apparition. (note) Le verbe reste alors au singulier, bien que le véritable sujet soit au pluriel.
           Il y a un chat.
           Il vient beaucoup de monde.
           Il est venu deux personnes.
           Il est survenu de fâcheux événements.
     4. n. Sujet explétif introduisant un sujet réel montré par de ou par que.
           Il est honteux de mentir.
           Il est douteux qu'elle vienne.
     5. n. Cela. — (note) Uniquement dans l'expression il est vrai, intercalée dans une phrase.
           Je devais partir, il est vrai, mais j'en ai été empêché.
célèbre
     1. adj. Qui est très connu par une population et ses médias.
     2. adj. Qui est fameux ou renommé.
           Un auteur célèbre.
           Un lieu célèbre.
           Une action célèbre.
           Causes célèbres.
           Un homme célèbre par ses vertus.
           Il est célèbre pour avoir fait telle action.
           Se rendre célèbre.
     3. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent du verbe célébrer.
     4. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent du verbe célébrer.
     5. v. Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe célébrer.
     6. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe célébrer.
     7. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif du verbe célébrer.
     célébrer
          1. v. (Transitif)
                Louer avec éclat ; publier avec éloge.
                Marquer un évènement ou le retour périodique d'un évènement d'un certain éclat, d'une certaine pompe.
                (En particulier) Accomplir les rites ou les cérémonies d'un culte.
          2. v. (Intransitif)
                (Québec) Faire la fête.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
culte
     1. adj. Qui a, ou a eu, un grand succès auprès d'un certain public et est devenu presque légendaire.
     2. n-m. (Religion) Honneur que l'on rend à la divinité par des actes de religion.
     3. n-m. Religion.
           (En particulier) Religion peu ou pas reconnue.
           Culte des fétiches, fétichisme.
           Culte druidique, druidisme.
     4. n-m. (Figuré) Grande admiration, vénération ou tendresse profonde.
           Cet enfant a un culte pour sa mère.
           Ils ont voué un culte à sa mémoire.
           Avoir le culte du drapeau, le culte de la patrie, le culte de la tradition.
dont
     1. n. De qui ; de quoi ; duquel ; de laquelle ; desquels , desquelles.
           Vous souvenez-vous ce dont je vous ai parlé ? (de quoi)
           Il n'est rien dont je sois encore certain. (de quoi)
           Quel est le pays dont provient cette marchandise suspecte ? (duquel)
           J'ai décidé d'abandonner l'affaire dont je vous ai entretenu il y a quelques jours. (de laquelle)
           La maladie dont il est mort porte un nom imprononçable. (de laquelle)
           Les pays dont nous n'avons point de connaissance sont les destinations privilégiées des grands aventuriers. (desquels)
           Ces étoiles — dont le nom m'échappe — sont les plus brillantes de la voûte céleste. (desquelles)
     2. n. (Parfois) Par lequel.
     3. n. Incluant.
           Il a eu dix enfants, dont neuf filles.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
entoura
     1. v. Troisième personne du singulier du passé simple de entourer.
     entourer
          1. v. Mettre ou disposer autour ; être ou se tenir autour de.
          2. v. (En particulier) Environner.
                (figuré) — Être entouré de dangers. — Entourer quelqu'un de soins.
          3. v. (En particulier) Former la société, la compagnie habituelle de quelqu'un.
                Les gens qui entourent ce prince le trompent. — Il n'est entouré que de flatteurs.
                Être bien entouré, mal entouré.
          4. v. (Pronominal) Réunir autour de soi, admettre dans son intimité, dans sa confiance.
                Il voulut s'entourer des hommes les plus habiles, les plus sages.
          5. v. (Pronominal) Se pourvoir, dans sa proximité.
                S'entourer d'objets d'art, de livres précieux.
                S'entourer de conseils.
Sa
     1. n. Nom de famille.
     2. adj. Déterminant utilisé pour rendre l'idée de possession d'un objet ayant un rapport avec la personne dont on parle.
           Tu as vu sa jupe ?
           A-t-il pensé à prendre sa clé ?
     3. n. Langue océanienne parlée au Vanuatu dans le sud de l'île de Pentecôte, qui a pour code ISO 639-3 sax.
maîtresse
     1. n. Femme ou entité qui domine, dirige, possède.
     2. n. (En particulier) La propriétaire d'un animal domestique.
           La maîtresse d'un chat, d'un chien, etc. :
     3. n. (Éducation) Femme qui enseigne, surtout aux enfants.
           Une maîtresse de piano, de chant, de langue, etc.
     4. n. (Familier) Amante, partenaire sexuelle en dehors du mariage.
     5. adj. Féminin singulier de maître.
           Œuvre, pensée, qualité maîtresse : œuvre, pensée, qualité principale
jeune
     1. adj. Qui est dans une phase au commencement de sa vie ou de son développement ; qui n'est guère avancé en âge, en parlant des humains, des animaux ou des végétaux.
     2. adj. (Parfois) Qui n'a pas l'âge habituel par rapport aux emplois, aux dignités qu'on ne donne ordinairement qu'à des hommes faits ou à des personnes déjà avancées en âge.
           Il est trop jeune pour un emploi si important.
           Il a été élu académicien bien jeune.
           Il fut maréchal de France très jeune.
     3. adj. Qui possède des caractéristiques de la jeunesse.
           Malgré son âge, elle a su rester jeune.
     4. adj. Qui a encore quelque chose de l'ardeur, de la vivacité et de l'agrément de la jeunesse.
     5. adj. Qui est propre à une personne dans la jeunesse.
           De jeunes désirs. — De jeunes ardeurs.
           Cette pensée enflammait son jeune courage.
     6. adj. (Familier) Qui ne sied qu'à des personnes jeunes.
           Cette couleur est jeune. Cela fait jeune.
           Cette couleur est trop jeune pour moi.
     7. adj. Qui est nouveau, qui n'existe que depuis récemment.
           Cette jeune entreprise vit le jour il y a deux ans.
     8. adj. Qui manque d'expérience, de maturité ; qui est étourdi, évaporé.
           Mon Dieu, qu'il est jeune!
     9. adj. (Spécialement) (Eaux & Forêts) Qualifie un taillis, des baliveaux, d'un an.
     10. n. Jeune personne.
           Le jeune, viens par ici !
     11. n. (Spécialement) Accompagné d'un article défini ou d'un adjectif possessif, sert à interpeller un jeune pour un interlocuteur d'une autre génération.
     12. n. (Spécialement) Cadet de sa lignée.
           Pline le jeune.
           Dubois jeune, pharmacien.
     13. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent du verbe jeuner.
     14. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent du verbe jeuner.
     15. v. Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe jeuner.
     16. v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe jeuner.
     17. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif du verbe jeuner.
et
     1. conj. Concatène plusieurs concepts dans une même relation. Plusieurs adjectifs peuvent partager le même nom, et plusieurs préfixes peuvent partager le même radical.
           Pierre et Paul vont au marché.
     2. conj. (Logique) Indique une simultanéité de caractéristiques. Énonce la véracité de tous les éléments qu'il relie, indépendamment de l'ordre dans lequel ils sont énoncés.
           Un oiseau est un animal ailé et ovipare.
           Ses yeux sont bruns et le ciel est bleu.
           Le ciel est bleu et ses yeux sont bruns.
           Je n'aime une personne que si elle est cultivée et sympathique et drôle et généreuse.
     3. conj. À la suite de quoi, après quoi. (note) Énonce l'induction entre deux événements, l'ordre ayant une importance.
     4. conj. Il est quelquefois emphatique, au commencement des phrases.
           Et voilà que tout d'un coup…
           Et ainsi, vous osez me dire…
     5. conj. A souvent le sens de mais.
           Il plie et ne rompt pas.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
et de
     1. prep. Forme une locution interjective de numéral quand on compte.
qui
     1. n. Lequel, laquelle, lesquels, lesquelles. — (note) Sert à désigner le sujet dans la proposition relative.
           (note) Il se rapporte quelquefois à un nom ou à un pronom qui ne le précède pas immédiatement.
           Le voici qui vient.
           Un homme est là qui est déjà venu.
           (note) Précédé d'une préposition, il ne s'emploie ordinairement qu'en parlant des êtres animés.
           Celui, celle de qui je parle, à qui j'ai donné cela.
           Un chien à qui elle fait mille caresses.
           (note) Il s'emploie aussi en parlant des objets inanimés personnifiés.
           Rochers à qui je me plains.
     2. n. (Par ellipse) (littéraire) Celui qui, celle qui. — (note) Sert à désigner une personne sans antécédent.
     3. n. (Par ellipse) Ce qui, en parlant des choses.
           Voilà qui est beau.
           Voici qui me plaît.
     4. n. (Répété et distributif) Celui-ci ; celle-ci ; ceux-ci… celui-là ; celle-là ; ceux-là ; les uns… les autres.
     5. n. Quelle personne ? — (note) Sert à désigner une personne ou des personnes.
Les
     1. n. (Géographie) Commune d'Espagne, située dans la province de Lérida et la Communauté autonome de Catalogne.
     2. art. Pluriel de le ou la.
     3. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
           Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
Beaux
     1. n. (Géographie) Commune française, située dans le département de la Haute-Loire.
     2. n-m. Pluriel de Beau.
     3. adj. Masculin pluriel de beau.
     4. n-m. Pluriel de beau.
     beau
          1. adj. D'aspect agréable à l'œil ou à l'oreille.
          2. adj. Agréable.
          3. adj. (Météorologie) Qualifie un temps ensoleillé.
          4. adj. (Cuisine) Gros.
                Prendre trois belles tomates.
          5. adj. Dans les noms composés de parenté, indique que la relation est due à une alliance (incluant un second mariage).
                Le beau-frère est le frère de l'épouse ou l'époux de la sœur (ou de la belle-sœur).
          6. adj. Relatif à Beaux, commune française située dans le département de la Haute-Loire.
          7. n-m. (Au singulier) Tout ce qui est excellent, parfait, admirable dans son genre.
          8. n-m. (Péjoratif) Homme qui joue de sa beauté.
          9. n-m. (Par ellipse) Beau temps.
          10. v. Marque des efforts vains, inutiles.
          11. v. (Québec) C'est beau : D'accord ; équivaut à : C'est bon en France.
yeux
     1. n-m. Pluriel de œil. (note) Souvent prononcé par pataquès.
     œil
          1. n-m. (Anatomie) Organe de la vue.
          2. n-m. (Figuré) Organe d'un animal, élément d'une machine, comportant un dispositif optique, composant d'un système visuel qui permet la perception de l'environnement par l'analyse de la lumière.
                Si tu as des yeux, c'est pour voir le monde autour de toi.
                La porte automatique est commandée par un œil électrique.
          3. n-m. (Par métonymie et aninisme) Observateur.
          4. n-m. Regard.
          5. n-m. Attention portée à quelque chose.
          6. n-m. Jugement ; disposition d'esprit.
          7. n-m. (Météorol) (Par analogie) Zone centrale d'une dépression où les vents sont faibles.
          8. n-m. (Par analogie) Ouverture, trou pratiqué dans divers articles ou instruments.
                L'œil d'une aiguille.
          9. n-m. (Par analogie) Dispositif de visée, judas.
          10. n-m. Lustre des étoffes, éclat des pierreries.
                Ces perles n'ont pas bel œil.
                Un œil de poudre : Une légère teinte de poudre mise sur les cheveux.
          11. n-m. (Botanique) Bouton, petite excroissance qui paraît sur une tige ou sur une branche d'arbre, et qui annonce une feuille, une branche, un fruit. (En particulier) Endroit par où sort le bourgeon de la vigne et des arbres fruitiers.
          12. n-m. (Cuisine) Bulle de graisse qui nage à la surface d'un bouillon.
          13. n-m. (Cuisine) Chacun des trous qui se trouvent dans la mie de pain, dans certains fromages.
          14. n-m. (Typographie) Relief du caractère d'imprimerie ; partie du caractère qui laisse son empreinte au tirage. Surface de la partie imprimante en relief d'un caractère typographique.
          15. n-m. Dessin représentant une lettre, un caractère.
                Les œils de ces lettres sont étranges.
          16. n-m. Pour une police de caractères, hauteur des minuscules, jambages exclus, comparée au corps de la police, c'est-à-dire à la hauteur des capitales.
                Corps 24 gros œil. Corps 24 petit œil.
          17. n-m. (Marine) Boucle à extrémité d'un cordage, en l'épissant sur lui-même.
                L'homme sur le quai passa l'œil de l'aussière sur une bitte pour amarrer le navire.
furent
     1. v. Troisième personne du pluriel du passé simple de être.
     2. v. Troisième personne du pluriel de l'indicatif présent de furer.
     3. v. Troisième personne du pluriel du subjonctif présent de furer.
par
     1. prep. Sert à marquer le mouvement et le passage.
           Il a passé par Bordeaux. — Voyager par eau, par mer, par terre. — Aller par le monde.
           Il est toujours par les chemins. — Jeter quelque chose par la fenêtre. — Par où a-t-il passé ?
           — Passer par de rudes épreuves. — Cette idée lui a passé par l'esprit.
     2. prep. S'emploie aussi au sens de en, dans, avec l'idée de mouvement dans l'espace indiqué.
           Il se promène par la ville. — La lumière se répand par le monde. — Le bruit s'en est répandu par tout le voisinage.
     3. prep. À travers.
           Il lui cingla un coup de fouet par le visage.
     4. prep. (Géographie) (marine) À la hauteur de.
           Nous étions par trente degrés de latitude.
     5. prep. (Marine) Sert à indiquer la position d'un bâtiment, d'un objet, par rapport à un autre bâtiment ou à un autre objet.
           Ce navire a mouillé par dix brasses d'eau.
           Par l'avant. — Par le travers. — Une embarcation par tribord.
     6. prep. Elle sert à désigner la partie qu'on saisit.
           Prenez-le par le bras. — Prenez le couteau par le manche.
           Il le tira par les pieds. — Je ne sais par où commencer.
     7. prep. Elle sert à désigner l'agent. — (usage) Il régit en cet emploi le complément des verbes passifs :
           Il a été instruit par un tel. — La prise de Rome par les Gaulois. — " La Henriade " par Voltaire;
     8. prep. Elle sert à désigner la cause, le motif.
           Il l'a épousée par amour. — Il a fait cela par crainte, par haine, par bonté.
     9. prep. Elle sert à désigner le moyen :
           Il a obtenu cela par force, par adresse, par faveur, par l'intercession d'un tel, par hasard, par aventure.
           Il ne va que par sauts et par bonds.
     10. prep. Elle sert à désigner l'instrument, la manière.
           Ce paquet est venu par la poste, par un messager. — Il est arrivé par le bateau.
           Il descendait de tel roi par les femmes. — Commencer par un bout, finir par l'autre.
     11. prep. Elle indique l'ordre et la distribution.
           Ranger par tas. — Poème divisé par chants. — Distribuer par cantons.
           Toucher une rente par trimestre. — Payer tant par tête, tant par jour.
           Cela s'est passé par trois fois. — Conter par le menu. — S'en aller par pièces. — Couper par morceaux.
     12. prep. Elle sert à remplacer le gérondif par l'infinitif, dans des phrases où le verbe conjugué est commencer, continuer ou finir.
           Il a commencé par être esclave, il a fini par être roi. — J'ai fini par lui pardonner.
     13. prep. Elle s'emploie pour affirmer, jurer, conjurer.
           Il m'en a assuré par tout ce qu'il y a de plus saint.
           Il vous conjure par notre ancienne amitié.
     14. prep. Durant. — (note) Il est alors préposition de temps.
           Labourer la vigne par le beau temps. — Où allez-vous par cette pluie ?
           Voyager par tous les temps, par un beau soleil. — Par ces temps troublés, par ces jours heureux.
     15. prep. (Spécialement) Elle sert de particule interjective entrant dans les exclamations faisant intervenir le nom d'une divinité.
           « Je demande votre pardon. Nous continuerons plus tard.
           « Du vin ! J'veux encore du vin, par Mercure !
     16. n-m. (Golf) Nombre conventionnel de coups qui sont nécessaires pour faire le parcours d'un trou.
Lui
     1. n. Nom de famille français.
     2. n. Nom de famille chinois minnan.
     3. n. Nom de famille chinois.
     4. n-f. (Cours d'eau;d'Angola) Rivière d'Angola, affluent du Kwango dans le bassin du fleuve Congo.
     5. n. Pronom clitique de la troisième personne du singulier épicène du complément d'objet indirect.
     6. n. Pronom tonique de la troisième personne du singulier masculin.
     7. n. (Après un sujet masculin singulier) Quant à lui par contre.
     8. v. Participe passé masculin singulier de luire.
remplis
     1. adj. Masculin pluriel de rempli.
     2. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de remplir.
     3. v. Deuxième personne du singulier de l'indicatif présent de remplir.
     4. v. Première personne du singulier du passé simple de remplir.
     5. v. Deuxième personne du singulier du passé simple présent de remplir.
     6. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de remplir.
     7. v. Masculin pluriel du participe passé de remplir.
     remplir
          1. v. Emplir de nouveau.
                Ce tonneau, qui était plein, a fui ; il faut le remplir.
                Il faut remplir la pièce de vin à mesure que le niveau baisse.
          2. v. (Plus courant) Emplir entièrement, rendre plein, combler.
                La bouteille est à moitié, il faut la remplir ou la vider. — Remplir ses caves de vin, ses greniers de blé.
                La salle commençait à se remplir de spectateurs.
                Les bébés ont rempli leurs couches.
          3. v. Compléter.
          4. v. (En particulier) Écrire ce qui manquait à l'endroit qu'on y avait laissé en blanc, sur un document, un questionnaire, etc.
                Remplir une quittance, une formule, etc. — Remplir un blanc seing.
          5. v. (Couture) Faire ou refaire à l'aiguille les ornements à du point, à de la dentelle, à un canevas, ou en ajouter de nouveaux.
                Remplir du point, de la dentelle. — Remplir un canevas, une toile, un dessin.
          6. v. (Exagération) Abonder dans un lieu, ou s'y étendre beaucoup, en en occupant une grande partie.
                Les meubles remplissent votre appartement.
                La fumée remplit cette chambre.
                Remplir l'air de ses cris.
          7. v. (Figuré) — Remplir les peuples de crainte, d'étonnement, de joie. — Il nous a remplis d'admiration.
                Cette passion remplit son cœur.
                Cette nouvelle a rempli nos cœurs de tristesse, a rempli notre maison de deuil, d'affliction.
                Il s'est rempli la tête de visions, de chimères.
          8. v. (Figuré) Occuper ou employer, en parlant du temps, de la durée.
                Cette guerre a rempli une période de trente années.
                La lecture et le jeu remplissent ses soirées.
                Cette occupation remplira ses loisirs.
          9. v. (Figuré) Exécuter ; accomplir ; effectuer ; réaliser.
                Remplir un devoir, des devoirs, son devoir, ses devoirs. — Remplir une tâche, une mission, un contrat.
          10. v. (Figuré) Occuper une fonction, un emploi, une place, et s'acquitter des devoirs, des obligations qu'elle impose.
                Cet homme remplit bien, remplit mal sa place.
                Il remplit sa place imparfaitement, indignement.
          11. v. (Figuré) Présenter l'accomplissement de tout ce qu'une idée promet, de tout ce qu'elle renferme.
                Remplir l'idée qu'on doit avoir, qu'on s'est faite de quelque chose, de quelqu'un
                Cet ouvrage remplit parfaitement l'idée qu'on se fait du poème épique.
                Démosthène remplit entièrement l'idée du parfait orateur.
                Il est loin de remplir l'idée que j'avais de lui.
                Cet homme a rempli sa destinée.
          12. v. (Pronominal) (populaire) Manger, boire avec excès.
                Se remplir de viandes, se remplir de vin,.
                Se remplir le ventre.
jusque
     1. prep. Marque un certain terme au-delà duquel on ne passe pas. — (note) Elle est le plus souvent combinée avec la préposition à.
Au
     1. n. (Géographie) Commune d'Allemagne, située dans le Bade-Wurtemberg.
     2. n. (Géographie) Commune du canton de Saint-Gall en Suisse.
     3. art. Contraction de la préposition à et de l'article défini le.
           Je vais au marché.
           Ce train s'arrête au Mans.
     4. n. Langue toricelli parlée en Papouasie-Nouvelle-Guinée (code ISO 639-3 : avt).
soir
     1. n-m. Moment de la journée qui se situe à la tombée du jour.
     2. n-m. (En particulier) (Métrologie) Les heures de 17h à minuit, utilisées avec le cadran de 12 heures sont considérées comme étant le soir, ainsi que de l'après-midi, pour éviter l'ambigüité avec celles du matin.
           Huit heures du soir est 20 heures dans le système horaire de 24 heures.
     3. v. Variante du verbe désuet seoir. (note) Des dictionnaires décrivent cet infinitif en se référant aux Rectifications orthographiques de 1990 . Cependant le Petit Larousse, qui se dit complet quant aux verbes concernés par ces rectifications, omet ce v
     1. v. À quel endroit, dans quel endroit (avec ou sans mouvement).
           Où es-tu ? Où vas-tu ?
     2. v. (Figuré) Dans quelle situation.
           Où en sommes-nous ?
           Où ce raisonnement nous mènera-t-il ?
     3. v. Auquel ; dans lequel. Utilisé pour les compléments circonstanciels de lieu ; à l'inverse de nombreuses langues, il décrit autant le lieu où on est que le lieu où on va.
           J'ai retrouvé ma sacoche là où je l'avais laissée.
           Je ne me rappelle plus où je dois aller.
           La maison où je demeure.
     4. v. Avec la même signification ; il s'emploie par analogie en parlant du temps.
           Il s'est réveillé au moment où l'accident a eu lieu.
           À l'heure où je vous parle, nous n'avons toujours aucune nouvelle.
     5. v. Indique une circonstance.
           Dans l'état où il est, on ne peut le transporter. — Au train où vont les choses, nous ne tiendrons pas très longtemps.
elle
     1. n. Pronom clitique de la troisième personne du singulier féminin sujet.
     2. n. Pronom tonique de la troisième personne du singulier féminin.
           Se diriger vers elle.
           Elle, elle aurait osé dire cela !
           Je le lui dirai à elle.
           Je veux la voir, elle.
     3. n. (Après un sujet féminin singulier) Quant à elle par contre.
     4. n-m. Lettre latine L, l.
     sera
          1. n. Langue austronésienne parlée dans la province de Sandaun en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Son code ISO 639-3 est sry.
          2. v. Troisième personne du singulier du futur du verbe être.
                Sera-t-il présent ?
     serait
          1. v. Troisième personne du singulier du conditionnel présent de être.
     soit
          1. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de être.
          2. v. (Mathématiques) Supposons que … est. — (usage) Introduit ou pose un ou plusieurs nouveaux objets mathématiques.
          3. conj. Ou. Marque deux alternatives ou plus. (note) Quelquefois, au lieu de répéter soit, on met ou.
          4. conj. Autrement dit.
          5. v. D'accord, admettons.
                Philippe le Bel souleva légèrement la tête et dit :
mourut
     1. v. Troisième personne du singulier du passé simple de mourir.
     mourir
          1. v. Cesser de vivre ; devenir mort.
          2. v. (Exag) Subir des tourments ; être tourmenté.
          3. v. (Par analogie) Finir, disparaitre, en parlant des états, des institutions, des établissements, des choses morales, des productions de l'esprit, des ouvrages de l'art.
          4. v. (Figuré) Finir peu à peu en parlant de certaines choses, de l'activité, du mouvement ou de choses qui finissent par une dégradation insensible, comme les sons, les couleurs, etc.
          5. v. (Pronominal) Être sur le point de mourir — (note) Surtout au présent et à l'imparfait de l'indicatif.
                Mais mon père se meurt ! mon père se meurt ! s'écria le Dauphin.
          6. n. (Philosophie) Expérience de la mort.
En
     1. n. (Géographie) Ancienne commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales.
     2. prep. Utilisé après certains verbes.
           Croire en Dieu.
           Mise en œuvre.
     3. prep. Permet de préciser une matière.
           Un évier en émail.
     4. prep. Indique le lieu.
           Être en France. — Aller en Amérique.
           Mettre quelqu'un en prison.
           Marcher en tête.
           Mettre en ligne.
     5. prep. Cette préposition a divers emplois spéciaux. Ainsi, très souvent, elle précède un mot qui indique ou détermine l'état absolu ou relatif, la manière d'être, la disposition, la modification d'une personne ou d'une chose.
           Un habit en lambeaux.
           Teindre, colorer en bleu, en rouge.
     6. prep. Elle introduit également le mot qui indique ou détermine :
           À quoi une personne est occupée, appliquée.
           Être en affaire, en prières.
           Le résultat d'un changement de nature.
           Narcisse fut métamorphosé en fleur.
           Éclater en sanglots.
           La forme.
           Des arbres taillés en buisson. — Une fenêtre en ogive.
           Le genre de culture.
           Cet hectare est en vignes. — Ce terrain a été mis en potager, est en potager.
           Le mode de division.
           Diviser en deux, en trois, etc.
           Une comédie en cinq actes.
           L'espèce de vêtement qu'une personne a sur elle.
           Être en uniforme. — Être en pantoufles.
     7. prep. Elle introduit aussi très fréquemment le mot qui détermine à quoi est relative, à quoi est restreinte, ou de quel point de vue est considérée la chose, la qualité, l'action, etc., dont il s'agit.
           Bon en mathématiques. — Docteur en médecine.
           Une terre fertile en blé.
     8. prep. Elle sert encore, particulièrement, à marquer la conformité.
           En bonne règle. — Je vous le dis en vérité.
     9. prep. Elle sert à indiquer encore :
           La manière dont se fait une action.
           Je vous expliquerai la chose en deux mots.
           Ils s'y rendirent en toute hâte.
           Le langage ou le genre d'écriture qu'on emploie.
           Écrire un ouvrage en grec, en français, en latin, etc.
           Ils s'entretenaient en anglais.
           La destination.
           Mettre en vente.
           Donner en otage.
           Le motif qui fait agir ou La fin qu'on se propose.
           En vue de lui plaire.
     10. prep. Il sert de plus à marquer le rapport au temps et signifie durant, pendant.
           En hiver. — En votre absence. — En temps de paix.
     11. prep. Permet de préciser un moyen de transport. (note) Traditionnellement, on utilise en pour des moyens de transport dans lesquels on se trouve (en voiture, par exemple), et à pour ceux qu'on enfourche, sur le modèle de à cheval. Mais il semble y avoir u
           Je suis allé en Corse en avion, mais je suis revenu en bateau.
     12. prep. Forme un gérondif qui marque le temps, la durée.
           Lambert hochait la tête en souriant. (Beauvoir, Mandarins, 1954)
           En allant à l'université, j'ai rencontré une belle fille.
     13. prep. Remplace à la ou à l' du locatif du nom d'un pays ou d'un continent. Cet usage est parallèle à la suppression de l'article dans de la ou de l' de l'ablatif correspondant. Il y a d'autres noms qui suivent cette règle, comme les noms des saisons.
     14. n. (remplaçant un COI avec de) De ça.
           J'en ai été informé. — Je n'en sais rien.
     15. n. (Remplaçant un nom sans déterminant ou un nom indéfini du COD ou du sujet de la copule) Personne, chose de cette espèce, d'entre eux, d'entre elles. (usage) Utilisé tout seul ou avec une quantification.
           Lucien : Dis donc, Charlot, as-tu un sou ?
           — Halte ! Avez-vous des allumettes ?
           Lady Caroline : On m'a dit que vous n'aviez pas de manoir, en Amérique ?
     16. n. (remplaçant un nom avec de dans le COD, dans le sujet de la copule ou dans l'attribut) De ça. (usage) Pour une personne, on utilise de lui, d'elle, etc. ou un adjectif possessif.
     17. n. (Adverbe de lieu) De ce lieu. De là. De ce côté-là
           La piscine ? J'en viens !
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
désirant
     1. adj. Qui désire.
     2. v. Participe présent du verbe désirer.
     désirer
          1. v. Vouloir posséder un bien ou un avantage qu'on n'a pas.
                Il désirait cette promotion plus que tout au monde.
          2. v. Souhaiter.
                Je désire ta présence à cet événement.
                (Commerce, hôtellerie) Que désire Madame ? Monsieur désire ? Vous désirez ?
          3. v. Éprouver un désir charnel pour un homme ou une femme, avoir envie de faire l'amour avec cette personne.
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
il
     1. n. Pronom de la troisième personne du singulier masculin (utilisé exclusivement en tant que sujet). Désigne une personne, un animal ou une chose dont le genre est masculin.
           Il est le plus intelligent.
           Qu'est-ce qu'il veut ?
           Le journal ? Il est sur le bureau.
     2. n. Sujet explétif d'un verbe sans actant.
           Il neige.
           Il fait beau.
           Il faut marcher plus vite pour arriver au sommet.
     3. n. Sujet explétif introduisant un nouveau sujet réel d'existence ou d'apparition. (note) Le verbe reste alors au singulier, bien que le véritable sujet soit au pluriel.
           Il y a un chat.
           Il vient beaucoup de monde.
           Il est venu deux personnes.
           Il est survenu de fâcheux événements.
     4. n. Sujet explétif introduisant un sujet réel montré par de ou par que.
           Il est honteux de mentir.
           Il est douteux qu'elle vienne.
     5. n. Cela. — (note) Uniquement dans l'expression il est vrai, intercalée dans une phrase.
           Je devais partir, il est vrai, mais j'en ai été empêché.
oublie
     1. n-f. (Cuisine) (Vieilli) Mince gaufre que l'on cuit entre deux fers, et qui peut être roulée en cornet.
           Une savoureuse odeur de farine, de beurre chaud et de miel flottait autour de l'éventaire.
           On roule ordinairement les oublies en forme de cornets.
     2. n-f. (Religion) (Au sens primitif) Pain d'autel préparé pour être consacré à la messe.
     3. interj. (Familier) (Par ellipse) Interjection exprimant un refus, une négation ou une désapprobation forte destinée à un unique interlocuteur.
           Oublie ! Ça ne risque pas d'arriver prochainement.
           Tu veux que je te file quoi ? Ça !? Oublie meuf.
     4. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de oublier.
     5. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de oublier.
     6. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de oublier.
     7. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de oublier.
     8. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de oublier.
     oublier
          1. v. Perdre le souvenir de quelqu'un ou quelque chose.
                (Absolument) Il oublie aussi vite qu'il apprend.
          2. v. Laisser quelque chose en quelque endroit, par inadvertance.
                Il a oublié ses gants, sa canne, son parapluie.
          3. v. Omettre, manquer à faire mention de quelque chose dans un écrit, dans un discours.
                Vous avez oublié le titre de ce livre dans votre catalogue.
                Vous avez oublié son nom sur votre liste.
          4. v. Négliger ; omettre.
                Oublier le soin de sa fortune.
                Je n'ai rien oublié pour le persuader.
                On n'a rien oublié de tout ce qui pouvait lui être utile ou agréable.
          5. v. Manquer à quelque obligation.
                Oublier ses devoirs.
                Oublier le respect, les égards qu'on doit à quelqu'un.
          6. v. Ne point conserver de reconnaissance.
                Il a oublié tout ce que j'ai fait pour lui.
                Je n'oublierai jamais vos bienfaits.
                Je n'oublierai jamais ce que je vous dois.
          7. v. Ne point garder de ressentiment.
                Il faut vous réconcilier et oublier tout ce qui s'est passé.
                Oublier une injure, une offense.
                Prions Dieu d'oublier nos fautes.
                J'oublie le passé, mais ne recommencez pas.
                J'oublie ses torts et je lui pardonne.
          8. v. En parlant des personnes, négliger quelqu'un, ne pas songer à lui, manquer à lui faire du bien dans une occasion qui se présente.
                Tu nous rends un service impayable.
                Depuis qu'il a fait fortune, il oublie ses parents, ses amis.
                Il a des parents pauvres, qu'il oublie tout à fait.
                Comptez sur moi, je ne vous oublierai pas dans l'occasion.
                N'oublions pas les absents.
          9. v. Il se dit aussi par forme de reproche obligeant.
                Vous ne venez plus nous voir, vous nous oubliez.
          10. v. Manquer à ce qu'on doit aux autres ou à soi-même.
                Se serait-il si fort oublié que de vous manquer de respect ?
                Vous êtes-vous oublié jusqu'à ce point ?
                Ce domestique s'est oublié au point de dire des injures à son maître.
          11. v. (Par extension) (Euphémisme) Faire pipi sur soi.
                La vieille dame s'est oubliée.
          12. v. (Par extension) (Euphémisme) Faire pipi sans aller à la toilette.
          13. v. (Familier) Commettre une incongruité.
          14. v. Ne pas être occupé de soi-même ; négliger ses intérêts.
                S'oublier pour penser aux autres.
                Dans la répartition des bénéfices, il ne s'est pas oublié.
                C'est un homme qui soigne ses intérêts : il ne s'oublie jamais.
          15. v. (Régional) (Loire) Se réveiller en retard.
                Excusez moi, patron. Je me suis oublié !...
Son
     1. n. (Militaire) Section.
     2. n. (Géographie) Commune française, située dans le département des Ardennes.
     3. n. (Géographie) Ville des Pays-Bas située dans la commune de Son en Breugel.
     4. adj. Troisième personne du sujet, objet masculin singulier.
           J'ai lu son livre.
           Son coup droit fait mal.
     5. adj. (Familier) Indique des rapports d'habitude, de connaissance, etc.
           Voilà son public.
           Posséder son Homère.
           Il sait bien son arithmétique.
     6. adj. Joint aux verbes « sentir, faire » dans le langage familier, il renforce le sens de la phrase.
           Il sent son homme de qualité ; il sent son hypocrite.
           Il fait son malin.
     7. adj. Forme supplétive de sa, utilisée quand la chose possédée est au féminin, pour effectuer une liaison obligatoire avec le mot suivant qui commence par une voyelle ou un h muet.
           Une ville, sa ville ; une île, son île.
           Une maison, sa maison, son immense maison.
     8. n-m. Quelque chose que l'on peut écouter, entendre.
     9. n-m. (En particulier) Bruit harmonieux produit par un instrument de musique, caractérisé par un timbre et représenté par une note.
     10. n-m. Genre musical cubain ou mexicain.
     11. n-m. (Linguistique) Phone.
           Le phonème par exemple correspond aux sons : r, ɾ, ʀ, ʁ, ʳ, ɹ, etc.
     12. n-m. (Meunerie) Résidu de la mouture du blé et d'autres céréales, provenant du péricarpe des grains.
     13. n-m. (Par analogie) (Familier) Déchets de bois produits lorsque l'on scie, sciure.
     14. n. (Militaire) Section.
infirmité
     1. n-f. Affection congénitale ou accidentelle qui gêne ou empêche le fonctionnement de telle ou telle partie de l'organisme.
           La surdité, la claudication sont des infirmités. Par extension
           Les infirmités de l'âge, de la vieillesse, Affaiblissement de l'organisme qu'amènent l'âge, la vieillesse.
     2. n-f. D'une manière plus générale, tant au propre qu'au figuré, Imperfection naturelle, défaut de force, faiblesse, fragilité pour le bien, défaut, imperfection.
           L'infirmité humaine.
           C'est une infirmité d'esprit que de ne pas vouloir reconnaître le mérite.
et
     1. conj. Concatène plusieurs concepts dans une même relation. Plusieurs adjectifs peuvent partager le même nom, et plusieurs préfixes peuvent partager le même radical.
           Pierre et Paul vont au marché.
     2. conj. (Logique) Indique une simultanéité de caractéristiques. Énonce la véracité de tous les éléments qu'il relie, indépendamment de l'ordre dans lequel ils sont énoncés.
           Un oiseau est un animal ailé et ovipare.
           Ses yeux sont bruns et le ciel est bleu.
           Le ciel est bleu et ses yeux sont bruns.
           Je n'aime une personne que si elle est cultivée et sympathique et drôle et généreuse.
     3. conj. À la suite de quoi, après quoi. (note) Énonce l'induction entre deux événements, l'ordre ayant une importance.
     4. conj. Il est quelquefois emphatique, au commencement des phrases.
           Et voilà que tout d'un coup…
           Et ainsi, vous osez me dire…
     5. conj. A souvent le sens de mais.
           Il plie et ne rompt pas.
Les
     1. n. (Géographie) Commune d'Espagne, située dans la province de Lérida et la Communauté autonome de Catalogne.
     2. art. Pluriel de le ou la.
     3. n. Pronom personnel de la troisième personne du pluriel accusatif.
           Je me les gèle. (de « se geler les couilles ») ; tu me les casses. (de « casser les pieds », « casser les oreilles », et « casser les couilles »).
gestes
     1. n-m. Pluriel de geste.
     geste
          1. n-m. Action et mouvement du corps et particulièrement des bras et des mains, action et mouvement employés à signifier quelque chose.
          2. n-m. (Danse) Mouvements de la tête, du torse, et surtout des bras, comme les pas sont les mouvements des pieds.
                Les gestes jouent un très grand rôle dans la danse d'imitation ou danse théâtrale ; ils n'en jouent presque aucun dans la danse ordinaire ; il faut y tenir la tête droite, sans roideur, le torse bien vertical sur ses points d'appui : quant aux
          3. n-m. Simple mouvement du bras, ou du corps, de la tête.
                … Et tandis qu'à l'ardeur de leurs expressions
                Prêt à faire sur vous éclater la vengeance
                À l'abord du Français, le jeune Helvétien
          4. n-m. (Figuré) Action, généralement spontanée, et d'ailleurs bonne ou mauvaise, qui frappe l'esprit, qui attire l'attention.
                Faites un geste pour l'environnement.
          5. n-f. (Litt) (Histoire) Ensemble de poèmes en vers du Moyen Âge, dans lequel est racontée d'une façon légendaire l'histoire de personnages historiques et particulièrement de Charlemagne et de ses preux.
                La chanson de Roland est une chanson de geste.
          6. n-f. Récit à la gloire de quelqu'un, d'un ensemble de personnes, d'un peuple, etc.
          7. n-f. Ensemble des règles, souvent non écrites, qui régissent le fonctionnement identitaire d'un groupe, d'une association …
dont
     1. n. De qui ; de quoi ; duquel ; de laquelle ; desquels , desquelles.
           Vous souvenez-vous ce dont je vous ai parlé ? (de quoi)
           Il n'est rien dont je sois encore certain. (de quoi)
           Quel est le pays dont provient cette marchandise suspecte ? (duquel)
           J'ai décidé d'abandonner l'affaire dont je vous ai entretenu il y a quelques jours. (de laquelle)
           La maladie dont il est mort porte un nom imprononçable. (de laquelle)
           Les pays dont nous n'avons point de connaissance sont les destinations privilégiées des grands aventuriers. (desquels)
           Ces étoiles — dont le nom m'échappe — sont les plus brillantes de la voûte céleste. (desquelles)
     2. n. (Parfois) Par lequel.
     3. n. Incluant.
           Il a eu dix enfants, dont neuf filles.
On
     1. n. (Géographie) Section de la commune de Marche-en-Famenne en Belgique.
     2. n. Pronom de la troisième personne du singulier. — (usage) S'utilise pour désigner une ou des personnes indéfinies, en remplacement d'une forme passive.
     3. n. Nous.
           Pierre et moi, on a vu le patron.
     4. n. (Informel) Je. (usage) pour indiquer que le locuteur ne s'engage que peu.
           Ne craignez rien, on s'occupera de votre affaire.
     5. n. (Familier) Tu, vous ou n'importe quelle personne autre que moi.
           On n'a pas été sage aujourd'hui, malgré ma mise en garde !
           Alors, comme ça, on n'en fait qu'à sa tête et on veut faire son malin !
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
entoure
     1. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de entourer.
     2. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de entourer.
     3. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de entourer.
     4. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de entourer.
     5. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de entourer.
     entourer
          1. v. Mettre ou disposer autour ; être ou se tenir autour de.
          2. v. (En particulier) Environner.
                (figuré) — Être entouré de dangers. — Entourer quelqu'un de soins.
          3. v. (En particulier) Former la société, la compagnie habituelle de quelqu'un.
                Les gens qui entourent ce prince le trompent. — Il n'est entouré que de flatteurs.
                Être bien entouré, mal entouré.
          4. v. (Pronominal) Réunir autour de soi, admettre dans son intimité, dans sa confiance.
                Il voulut s'entourer des hommes les plus habiles, les plus sages.
          5. v. (Pronominal) Se pourvoir, dans sa proximité.
                S'entourer d'objets d'art, de livres précieux.
                S'entourer de conseils.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire