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chrysalde
je
     1. n. Pronom de la première personne du singulier. Peut aussi bien être masculin que féminin. Utilisé exclusivement en tant que sujet. Devant une voyelle ou un h muet, il s'élide en j'.
           Je suis en France.
           Je m'appelle « Isabelle ».
           J'habite à Paris.
           J'organise un voyage.
           (informel) Hé ! J'te cause !
           (informel) J'prendrais bien un p'tit verre, et toi ?
     2. n. (Psychologie) (souvent entre guillemets) Entité perçue par le sujet comme le cœur et l'essence même de son existence en tant qu'individu.
sais
     1. n-m. (Très rare) En Inde, palefrenier qui accompagne son maître lors de ses sorties à cheval.
     2. v. Première personne du singulier de l'indicatif présent de savoir.
     3. v. Deuxième personne du singulier de l'indicatif présent de savoir.
     savoir
          1. v. Connaître ; avoir connaissance de.
                Tu sais, ô mon seigneur, que je sais que tu sais
          2. v. Avoir dans la mémoire.
                L'écolier sait sa leçon. L'actrice sait mal son rôle. — L'orateur savait son discours par cœur.
          3. v. Posséder quelque science, quelque art, être instruit, habile en quelque profession, en quelque exercice.
                On ne peut tout savoir. — Savoir jouer du violon. — Savoir danser. — Savoir se battre.
          4. v. (Absolument) Avoir l'esprit orné et rempli de choses utiles.
                C'est un homme qui sait. — Il a un grand désir de savoir.
          5. v. Être accoutumé ou exercé à une chose, la bien faire.
                Savoir parler aux foules. — Il sait persuader. — Il sait plaire.
                Il sait plaisanter. — Il sait vaincre ses passions. — Il sait se modérer, se contenter de peu.
          6. v. Avoir le pouvoir, la force, le moyen, l'adresse, l'habileté de faire quelque chose.
                Je saurai bien le faire obéir. — Je saurai bien me défendre.
                Je n'y sais, je n'y saurais que faire. — Il n'a su en venir à bout.
          7. v. Pouvoir. — (note) Dans ce sens, il s'emploie surtout avec le conditionnel et avec la négation ne.
                Je ne saurais faire ce que vous me dites. — Ne sauriez-vous aller jusque-là ? — On ne saurait avoir plus d'esprit.
          8. v. (Belgique) Pouvoir — (note) Il peut être à l'indicatif, dans une phrase positive.
                Sais-tu me passer le sel ?
                Je ne sais pas venir au rendez-vous, j'ai un empêchement.
          9. v. Apprendre, être instruit ou être informé de quelque chose.
          10. v. (En parlant d'une personne ou d'une chose) Être informé qu'une personne ou qu'une chose existe ou peut être trouvée.
                Je sais un habile horloger qui demeure près d'ici.
          11. n-m. Ensemble des connaissances acquises par l'étude, par l'expérience.
          12. conj. (Par ellipse) À savoir.
                Ainsi, en ce qui concerne le travail national, il est encouragé dans la mesure de 15 fr., savoir :
          13. conj. (Familier) Pour marquer qu'on doute que quelque chose.
                Vous me dites qu'ils contribueront tous également à cette affaire, savoir si vous en serez approuvé.
un
     1. adj. Marque l'unité, le fait qu'une personne ou une chose est seule, unique en son espèce.
           Quatre femmes et un homme.
           Un mètre.
           Une tonne.
           Un entre mille.
           N'être qu'un, ne faire qu'un : Se dit pour exprimer une étroite, une intime union entre deux ou même plusieurs personnes.
           Il est une heure.
     2. adj. S'emploie familièrement pour indiquer un très petit nombre indéterminé.
           J'ai un mot à vous dire.
           J'en ai pour une minute.
     3. adj. Ordinal pour premier.
           Chapitre un.
           Page une.
     4. adj. Qui est seul, unique, qui n'admet point de pluralité.
           Dieu est un.
           Le moi est un.
           La vérité est toujours une, elle n'est jamais contraire à elle-même.
           (familier) C'est tout un, Il n'importe, c'est la même chose, cela est égal : qu'il vienne ou qu'il ne vienne pas, c'est tout un.
     5. adj. Où règne l'unité, dont les parties sont liées entre elles de manière à former un tout.
           L'église est une.
           Il faut que dans une pièce l'action soit une.
     6. art. Déterminant placé devant un nom représentant un objet animé ou inanimé que l'on ne connaît pas avec précision. L'article indéfini a souvent le sens de « un (1) parmi d'autres ».
           Voici une nouvelle façon de procéder pour ce problème.
           Il y a un chien devant la maison.
           Je cherche un livre sur tel sujet.
           C'est un César, un Cicéron, etc. : c'est un homme aussi intrépide que César, aussi éloquent que Cicéron, etc.
     7. art. Tout.
           Un chrétien doit faire cela.
           Un honnête homme n'a qu'une parole.
     8. n. Une personne ou une chose parmi plusieurs autres.
           Un de mes amis.
     9. n-m. Le nombre 1.
           Un précède deux et suit zéro.
           Le un de telle rue, La maison qui porte le numéro 1.
     10. n-m. Chiffre utilisé dans la numérotation décimale écrit 1.
           Le nombre 11 est écrit avec deux uns.
     11. n. Une chose portant le numéro 1.
           Il habite au un.
paysan
     1. adj. Relatif aux paysans.
           Mœurs paysannes. — La vie paysanne. — Une danse paysanne.
     2. adj. (Vieilli) Qualifiait une soupe faite de légumes divers.
     3. adj. Qui n'est pas de manières urbaines.
           Il a l'air paysan.
     4. n-m. Celui, celle qui vit à la campagne et s'occupe des travaux de la terre.
     5. n-m. (Familier) (Péjoratif) Personne fruste ou ayant des manières frustes.
           Son fiancé est sympa, mais il s'habille comme un paysan.
     6. n-m. (Argot) Chez les gens du voyage, désigne le gadjo, la personne qui n'appartient pas à une communauté rom (littéralement personne du pays, personne autochtone).
que
     1. conj. Complémenteur pour nominaliser une phrase.
           Il est clair que nous ne sommes pas parfaits.
     2. conj. Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
           Que tu viennes d'un château
           La proposition subordonnante qu'il introduit se conjugue alors au subjonctif, respectivement présent ou passé, alors que la proposition subordonnée causée ou déclenchée (employant un sujet distinct) se conjugue alors respectivement à l'indicat
           Que nous gagnions ou pas, j'aurai eu ma commission.
           (littéraire) (vieilli) Que nous eussions gagné ou pas, j'aurais eu ma commission. Irréel du passé. Syntagme inusité en français moderne.
           Si la proposition conditionnelle, causale introduite par que est employée comme subordonnée d'une clause principale impersonnelle ou directement comme sujet impersonnel de la proposition principale, elle se met au subjonctif (présent ou passé
           Que j'aie tort ou raison
           Il ne m'a pas paru important que nous ayons gagné.
     3. conj. Remplace une autre conjonction pour éviter la répétition, lorsque plusieurs subordonnées introduites par la même conjonction sont coordonnées ou juxtaposées (cette substitution est facultative, bien que très fréquente). (usage) Traditionnellement, q
           Si tu aimes ce travail et que tu es motivé, tu réussiras.
           Comme il était tard et que j'étais fatigué, je suis retourné à l'hôtel. (← Comme il était tard et comme j'étais fatigué.)
     4. conj. Utilisé en conjonction avec un autre terme (souvent une préposition) pour former une conjonction de subordination.
     5. conj. (Litt) Efface une dislocation et réintègre un thème dans une phrase.
           C'est une belle fleur que la rose. (← C'est une belle fleur, la rose.)
           Qu'est-ce que c'est que la liberté ? (← Qu'est-ce que c'est, la liberté ?)
     6. conj. Signifie un critère de comparaison.
           Ne cherchez pas pourquoi
           Il est plus grand que son père.
     7. n. Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
           Que veux-tu ?
           Que faites-vous ?
           Que vous en semble ?
           Que vous en reviendra-t-il ?
           Qu'attendez-vous ?
           Que pensez-vous faire ?
           Que faire ?
           Que devenir ? (familier)
           Que diable dites-vous là?
     8. n. (Littéraire) (Désuet) À quoi.
           Ne point mentir, être content du sien
     9. n. En quoi.
           Que m'importe ? En quoi cela m'importe-t-il ?
     10. n. Quoi. — (note) Utilisé avec l'infinitif.
           Je ne sais qu'en penser.
           Il ne sait plus que faire ni que dire.
           Je n'ai que faire de ses dons, de ses conseils, je n'ai nul besoin de ses dons, de ses conseils.
     11. n. Pronom relatif pour l'objet direct.
           Le principe du logiciel libre que j'admire ne rétribue pas ses auteurs avec les principes de l'économie du 20(e) siècle.
           Celui que vous avez vu.
           Les gens que vous avez obligés.
           La personne que vous connaissez.
           Les espérances que vous lui avez données.
           Pour le peu qu'il m'en coûte.
           Les guerriers grecs qu'Hector a tués.
     12. n. Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
           Vous êtes sûrs que la photo n'est pas truquée?
           Ne voyez-vous pas, aveugle que vous êtes, le piège qui vous est tendu ?
     13. n. Pendant, lequel, dans lequel, etc.
           L'hiver qu'il fit si froid.
           Le jour que cela est arrivé.
           Au moment que je le reverrai.
     14. n. Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
           C'est de vous que je parle.
           C'est à cette personne que je m'intéresse.
           C'est lui que j'appelle.
           C'est pour elle qu'on a fait cela.
           C'est dans cette maison qu'il habite.
           C'est là qu'il demeure.
           Où est-ce qu'on trouvera ce livre ?
           Est-ce demain qu'il viendra ?
     15. v. Exclamatif.
           Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
     16. v. Introduit une forme impérative, qui marque souvent un souhait davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent
           Que le diable l'emporte !
           Qu'ils aillent se faire voir ailleurs !
     17. v. Personne excepté, rien excepté. Seulement. Utilisé avec ne.
           Vivre pour le meilleur
On
     1. n. (Géographie) Section de la commune de Marche-en-Famenne en Belgique.
     2. n. Pronom de la troisième personne du singulier. — (usage) S'utilise pour désigner une ou des personnes indéfinies, en remplacement d'une forme passive.
     3. n. Nous.
           Pierre et moi, on a vu le patron.
     4. n. (Informel) Je. (usage) pour indiquer que le locuteur ne s'engage que peu.
           Ne craignez rien, on s'occupera de votre affaire.
     5. n. (Familier) Tu, vous ou n'importe quelle personne autre que moi.
           On n'a pas été sage aujourd'hui, malgré ma mise en garde !
           Alors, comme ça, on n'en fait qu'à sa tête et on veut faire son malin !
appelait
     1. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif imparfait du verbe appeler.
     appeler
          1. v. Désigner quelqu'un par son nom ; pourvoir quelqu'un d'un nom.
                (Pronominal) Il s'appelle Charles. — C'est ainsi qu'on l'appelle. — Cette fleur s'appelle anémone.
          2. v. Désigner une personne ou une chose par une qualité bonne ou mauvaise.
                (Pronominal)Ceux qui s'appellent les gens comme il faut, les sages par excellence. Cela s'appelle un véritable ami. Cela s'appelle folie en bon français.
          3. v. Désigner par leur nom ceux qui doivent se trouver présents en quelque endroit.
                On va appeler tous les soldats l'un après l'autre. Ce soldat n'était pas à la caserne quand on l'a appelé.
                Je ne me suis point entendu appeler quand on a lu cette liste. Beaucoup d'appelés et peu d'élus.
          4. v. (Justice) Lire tout haut le nom des parties, afin que leurs avocats viennent plaider pour elles.
                Appeler une cause. On vient d'appeler votre cause. La cause sera appelée à son tour de rôle.
          5. v. Faire venir en se servant de la voix ; héler.
                Je l'appelle et il ne vient point. — Il appelait inutilement, pas un domestique n'était à la maison.
                Ne pouvant plus l'appeler de la voix, il l'appelait encore de la main. Appeler des yeux, du geste.
          6. v. (Transitif) ou (Pronominal) (réciproque) Contacter quelqu'un par téléphone.
          7. v. Pousser son cri pour faire venir à eux ceux de leur espèce, pour les animaux.
                Le mâle appelle sa femelle. La brebis appelle son agneau.
                (Par analogie) Appeler des oiseaux en imitant leur cri.
          8. v. Inviter à venir.
                Appeler le médecin, le chirurgien. Cet artiste fut appelé en France, à la cour, par tel prince.
                Appeler un général à l'armée. Tous les chefs furent appelés à ce Conseil.
                Les Maures furent appelés en Espagne par le comte Julien.
          9. v. (En particulier) (droit) (procédure) Citer devant le juge.
                Appeler en justice. On l'a fait appeler pour se voir condamner à payer une somme.
                Appeler quelqu'un en témoignage. Être appelé comme témoin.
                Appeler en garantie. Le juge ordonna que les parties seraient appelées.
          10. v. Envoyer, défier.
                Appeler au combat, appeler en duel ou simplement Appeler :
          11. v. Avertir de se trouver en quelque lieu par un signal.
          12. v. (Figuré) avertir, exciter, obliger à se trouver en quelque endroit, pour quelque chose que ce puisse être.
                J'irai où l'honneur, où le devoir m'appelle. Mes affaires m'appellent ailleurs.
                La vengeance l'appelle. Ce beau temps nous appelle à la chasse.
          13. v. (Quelquefois) Rendre nécessaire.
                Ce crime appelle la vengeance des lois. Ces abus appellent une réforme.
                Ce mot ne peut être employé seul, il appelle un complément. Ce grave sujet appelle toute votre attention.
          14. v. (Religion) Faire ressentir sa volonté aux hommes, en parlant de Dieu.
                Il ne faut pas résister quand Dieu nous appelle. Dieu appela saint Paul à l'apostolat. Il fut appelé de Dieu à cette mission.
          15. v. Désigner une personne, pour une fonction ou une action importante.
                Appeler quelqu'un à un poste. Il fut appelé à siéger dans le Conseil.
                L'important devoir que nous sommes appelés à remplir. Il fut appelé à lui succéder.
          16. v. Désigner pour prendre une décision.
          17. v. Être conduit par ses qualités, ses talents et les circonstances qui déterminent la vocation, le sort, la condition.
                Le génie de Turenne l'appelait au commandement des armées. Il a su jouer le rôle auquel il a été appelé par les événements.
          18. v. (Absolument) (Droit) (procédure) Recourir à un tribunal supérieur pour faire réformer le jugement, la sentence d'un tribunal inférieur.
                Il appellera de ce jugement. Il a appelé du tribunal de première instance à la Cour d'appel.
                Appeler comme de juge incompétent. Appeler a minima.
          19. v. (Figuré) (Familier) Ne pas se soumettre à une décision, ne pas l'adopter.
                J'appelle de votre décision, ou J'en appelle.
          20. v. (Figuré) Invoquer, se référer.
                J'en appelle à votre témoignage : J'invoque votre témoignage.
                J'en appelle à votre probité, à votre honneur, à votre sagesse, etc. : Je m'en réfère à votre probité, à votre sagesse, etc.
          21. v. (Figuré) (Familier) Revenir d'une grande maladie.
                Il en a appelé.
          22. v. (Pronominal) Porter le nom de.
gros
     1. adj. Qui a beaucoup de circonférence ou de volume.
           Un gros homme.
           Un gros paquet.
     2. adj. Se dit, sans songer à la grosseur absolue, pour exprimer la grosseur relative.
           Les souris sont moins grosses que les rats.
           Le gros bout et le petit bout.
           Paul est plus gros que son frère.
           Elle la grenouille, qui n'était pas grosse en tout comme un œuf
           Les grosses lettres sont formées de traits plus longs et plus larges que ceux des caractères ordinaires.
     3. adj. Qui surpasse en étendue, en volume, en valeur, en importance, la plupart des choses de même genre.
           Une grosse rivière.
           Une grosse fortune.
     4. adj. Qui est supérieur en nombre.
     5. adj. Un peu plus de…
           Il y a jusque-là une grosse lieue.
           Je serai chez toi dans une grosse demi-heure.
     6. adj. (Figuré) Qui a de la gravité ; qui a des suites, des conséquences.
           Ce n'est pas une grosse affaire.
     7. adj. (Familier) Qui a de l'intensité.
           Un gros rhume
           Il s'est fait une grosse querelle avec un de ses voisins.
     8. adj. Grossi, enflé.
           Avoir une grosse bosse.
           La rivière est très grosse depuis plusieurs jours.
     9. adj. (Vieux) Simple à comprendre.
     10. adj. (Figuré) D'un caractère sans finesse.
           Un gros lourdaud, une grosse brute, un gros butor.
     11. adj. Épais, brut
           De la grosse toile.
           Des gros souliers.
           Un gros vin, couvert et épais.
     12. adj. Grossier, vulgaire.
           Un gros juron.
           Passez les mots aux rieurs
     13. adj. En parlant des personnes, riche, opulent ou qui opère en grand.
     14. adj. Qui présage un évènement redouté.
           L'avenir est gros de menaces.
     15. adj. (Vieux) ou (vulgaire) Désigne les femmes enceintes et parfois les animaux femelles gravides.
           Lorsqu'elle était grosse de son premier enfant.
     16. adj. (Marine) Soulevé en vagues fortes, en parlant de la mer.
     17. n. Substantif de l'adjectif : personne présentant une corpulence certaine.
           Toi, le gros, tais-toi !
     18. n. (Familier) Riche, notable.
           Les gros vont à la messe.
     19. n. (Vieilli) Droit que l'on payait aux fermiers des aides pour chaque muid de vin que l'on vendait en gros.
           Les bourgeois ne payaient point le gros du vin de leur cru à l'entrée de la ville.
           Prendre tant pour le gros.
           Gros de Naples, gros de tours, Noms de certaines étoffes de soie que l'on faisait spécialement à Naples, à tours, et qui étaient un peu plus fortes que le taffetas ordinaire.
     20. n. (Vosges) (Familier) Nom générique amical.
           Hé, gros ! Comment qu'c'est ?
     21. n. Partie principale d'une chose.
           Qu'heureux est ce moment où sa bonté de Dieu déploie
     22. n. (Constr) Poutre de charpente dont deux dimensions sont égales.
     23. n. La partie la plus forte en nombre.
     24. n. Ce qu'il y a de principal et de plus considérable.
     25. n. Commerce dans lequel on ne vend que par grandes quantités, par opposition au commerce de détail.
           Marchand en gros.
           Tenir le gros.
     26. n. Dans le département du Nord, houille en gros morceaux.
     27. n. (Reliure) Cahier de seize pages, dans la feuille in-douze.
     28. n. Revenu fixe d'une cure, par opposition au casuel.
     29. n. Revenu principal qu'un chanoine tire de sa prébende, par opposition à distribution manuelle.
     30. n. (Droit) Taxe que l'on payait aux fermiers des aides pour chaque muid de vin que l'on vendait en gros.
     31. n. (Textile) Étoffe à effet de côtes. Le nom est généralement complété de son lieu supposé de fabrication : gros de Tours, de Lyon, etc.
     32. n. (Archaïque) (Métrologie) Anciennement, la cent-vingt-huitième partie de la livre, ou la huitième partie d'une once.
           Un gros d'argent, de soie.
     33. n. (Archaïque) (Numismatique) Ancienne monnaie en argent, de valeur variable.
     34. v. D'une manière grosse.
           Écrire gros : Écrire en caractères plus gros que d'habitude.
     35. v. Beaucoup.
           Jouer gros, risquer gros.
           J'ai vu dans le palais une robe mal mise
           Mais il est clair qu'on me donne en échange
     36. v. Cela coûte gros : Cela coûte beaucoup (locution née pendant la révolution, dit Mme. de Genlis, Mémoires, tome V, p. 91).
     37. v. Dans des dimensions relativement considérables.
           Écrire gros.
Pierre
     1. n. Nom de famille.
     2. n. (Géographie) Ville des États-Unis, capitale du Dakota du Sud. La prononciation locale est .
     3. n. (Géographie) Ancien nom de la commune française Pierre-de-Bresse.
     4. n-f. Roche qu'on emploie dans la construction des édifices, soit qu'on l'ait détachée des montagnes ou des rochers, soit qu'on l'ait extraite d'une carrière.
           Tirer de la pierre d'une carrière.
           Poser une pierre sur son lit.
           Une assise de pierres.
           Bâtiment de pierre de taille.
           Escalier, pont de pierre.
           Banc de pierre.
           Poser, mettre la première pierre à un bâtiment.
           L'ennemi n'a pas laissé dans cette ville pierre sur pierre.
     5. n-f. (En particulier) Différentes sortes de pierres qui servent à divers usages :
           Pierre à bâtir, de taille.
           Pierre taillée, pierre polie, pierre éclatée : Noms donnés à différentes sortes d'armes ou d'outils primitifs, qui étaient faits en pierre.
     6. n-f. (Figuré) Symbole de la dureté.
           Une âme, un cœur de pierre : Une personne dure, insensible, que rien ne peut émouvoir.
     7. n-f. Caillou et autres corps solides de même nature.
           Jeter une pierre dans un puits.
           Se heurter contre une pierre.
           Se battre à coups de pierres.
     8. n-f. (En particulier) Gemme.
           Pierres gravées : Pierres fines ou compositions imitant les pierres fines, sur lesquelles on a gravé des figures en creux ou en relief.
     9. n-f. (Par ellipse) Pierre précieuse, en particulier diamant.
           Voilà une belle pierre.
     10. n-f. (Par ellipse) Pierre tombale, dalle recouvrant la tombe d'un mort.
           Personne ne vient prier sur sa pierre.
           On ne mit point d'inscription sur sa pierre.
     11. n-f. (Désuet) Calcul, concrétion qui se forme dans les reins, dans la vésicule ou ailleurs dans le corps.
     12. n-f. Dureté ou sorte de gravier qui se trouve dans quelques fruits.
           Ces poires ont beaucoup de pierres.
     13. n-f. Jeton utilisé au jeu de go.
           Le jeu de go oppose deux adversaires qui placent à tour de rôle des pierres noires et blanches sur un tablier.
     14. n-f. (Vieilli) Pierre à eau, ancêtre de l'évier en faïence, dans laquelle les ménagères faisaient la vaisselle et tous les lavages relatifs à la préparation de la cuisine.
     15. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de pierrer.
     16. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de pierrer.
     17. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de pierrer.
     18. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de pierrer.
     19. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif présent de pierrer.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire