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Être
dévolu
     1. adj-m. (Droit) Transféré d'une personne à une autre, qui est échu à quelqu'un.
     2. adj-m. (Par extension) Affecté, consacré à une personne ou un usage.
     3. n-m. Déchéance.
           Bénéfice vacant par dévolu, revenu donné au pape par suite de l'incapacité ecclésiastique de celui qui en était en possession.
     4. n-m. Prétention juridique pour obtenir quelque chose.
           Jeter un dévolu sur un bénéfice, y former une prétention juridique, en vertu de quelque faute commise par celui qui le possède.
           Jeter son dévolu, avoir des vues arrêtées sur une chose et prétendre l'obtenir.
par
     1. prep. Sert à marquer le mouvement et le passage.
           Il a passé par Bordeaux. — Voyager par eau, par mer, par terre. — Aller par le monde.
           Il est toujours par les chemins. — Jeter quelque chose par la fenêtre. — Par où a-t-il passé ?
           — Passer par de rudes épreuves. — Cette idée lui a passé par l'esprit.
     2. prep. S'emploie aussi au sens de en, dans, avec l'idée de mouvement dans l'espace indiqué.
           Il se promène par la ville. — La lumière se répand par le monde. — Le bruit s'en est répandu par tout le voisinage.
     3. prep. À travers.
           Il lui cingla un coup de fouet par le visage.
     4. prep. (Géographie) (marine) À la hauteur de.
           Nous étions par trente degrés de latitude.
     5. prep. (Marine) Sert à indiquer la position d'un bâtiment, d'un objet, par rapport à un autre bâtiment ou à un autre objet.
           Ce navire a mouillé par dix brasses d'eau.
           Par l'avant. — Par le travers. — Une embarcation par tribord.
     6. prep. Elle sert à désigner la partie qu'on saisit.
           Prenez-le par le bras. — Prenez le couteau par le manche.
           Il le tira par les pieds. — Je ne sais par où commencer.
     7. prep. Elle sert à désigner l'agent. — (usage) Il régit en cet emploi le complément des verbes passifs :
           Il a été instruit par un tel. — La prise de Rome par les Gaulois. — " La Henriade " par Voltaire;
     8. prep. Elle sert à désigner la cause, le motif.
           Il l'a épousée par amour. — Il a fait cela par crainte, par haine, par bonté.
     9. prep. Elle sert à désigner le moyen :
           Il a obtenu cela par force, par adresse, par faveur, par l'intercession d'un tel, par hasard, par aventure.
           Il ne va que par sauts et par bonds.
     10. prep. Elle sert à désigner l'instrument, la manière.
           Ce paquet est venu par la poste, par un messager. — Il est arrivé par le bateau.
           Il descendait de tel roi par les femmes. — Commencer par un bout, finir par l'autre.
     11. prep. Elle indique l'ordre et la distribution.
           Ranger par tas. — Poème divisé par chants. — Distribuer par cantons.
           Toucher une rente par trimestre. — Payer tant par tête, tant par jour.
           Cela s'est passé par trois fois. — Conter par le menu. — S'en aller par pièces. — Couper par morceaux.
     12. prep. Elle sert à remplacer le gérondif par l'infinitif, dans des phrases où le verbe conjugué est commencer, continuer ou finir.
           Il a commencé par être esclave, il a fini par être roi. — J'ai fini par lui pardonner.
     13. prep. Elle s'emploie pour affirmer, jurer, conjurer.
           Il m'en a assuré par tout ce qu'il y a de plus saint.
           Il vous conjure par notre ancienne amitié.
     14. prep. Durant. — (note) Il est alors préposition de temps.
           Labourer la vigne par le beau temps. — Où allez-vous par cette pluie ?
           Voyager par tous les temps, par un beau soleil. — Par ces temps troublés, par ces jours heureux.
     15. prep. (Spécialement) Elle sert de particule interjective entrant dans les exclamations faisant intervenir le nom d'une divinité.
           « Je demande votre pardon. Nous continuerons plus tard.
           « Du vin ! J'veux encore du vin, par Mercure !
     16. n-m. (Golf) Nombre conventionnel de coups qui sont nécessaires pour faire le parcours d'un trou.
le
     1. art. Ce … dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
           Le petit chat dort sur le canapé.
     2. art. Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
           Le drapeau des États-Unis.
           Le chef-lieu de ce canton.
     3. art. (Sujet d'une proposition) Tout, sans exception.
           Le lion est un mammifère carnivore.
     4. art. (Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d'eau. (note) Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
           Le Canada.
           Le Rhône.
     5. art. (Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d'un nom commun.
           Le Royaume de Suède.
     6. art. (Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
           Le vaisseau Soyuz décollera dans quelques minutes.
     7. art. (Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
           Alexandre le Grand.
     8. art. (Le premier, le + numéro de 2 à 31) Le jour du mois, sans jour de la semaine. (usage) Peut fonctionner comme adverbe de temps.
     9. n-m. Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d'objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l'.
           Je l'aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
     10. n-m. (Neutre) (Attribut du sujet) Pronom représentant l'attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. (usage) Ne s'accorde ni en genre ni en nombre.
Sort
     1. n. (Géographie) Commune d'Espagne, située dans la province de Lérida et la Communauté autonome de Catalogne.
     2. n-m. La destinée considérée comme cause des divers événements de la vie.
           Le sort en a ainsi ordonné. - Les caprices du sort. - Le sort aveugle. - Le sort jaloux.
           Nous serons heureux en dépit du sort. - Braver, affronter, supporter les coups du sort. - Se plaindre du sort. - être poursuivi, accablé par le sort.
     3. n-m. Effet de la destinée ou de la rencontre fortuite des événements bons ou mauvais.
     4. n-m. (En particulier) Condition ou état d'une personne sous le rapport de la richesse.
     5. n-m. Condition des choses, ce qu'il leur advient.
           Tel fut le sort de son livre. - Son discours assura le sort de cette proposition. - Ce système eut le sort de beaucoup d'autres.
     6. n-m. Manière de décider quelque chose par le hasard.
           Le sort est tombé sur un tel. - Le sort en a décidé autrement. - Tirer au sort.
     7. n-m. (Superstition) Ensemble de paroles, de regards, de caractères, de maléfices par lesquels, suivant une croyance superstitieuse, on peut produire des effets extraordinaires, et presque toujours malfaisants.
           Ces pauvres gens disent qu'on a jeté un mauvais sort sur leurs troupeaux. - Il prétend qu'on lui a jeté un sort.
     8. v. Troisième personne du singulier de l'indicatif présent de sortir.
     sortir
          1. v. Passer du dedans vers le dehors.
          2. v. (Absolument) Quitter la maison pour se promener, pour faire des visites, etc.
                Depuis six mois je ne suis pas sorti.
                Nous sommes beaucoup sortis cet hiver.
          3. v. (En particulier) Partir de chez soi pour prendre du bon temps.
          4. v. (En particulier) Quitter sa chambre de malade pour commencer sa convalescence.
                Les médecins ne lui ont pas encore permis de sortir.
          5. v. Quitter un lieu où l'on était.
                Sortir, du bal, du spectacle.
                Sortir de table. — Sortir de dîner.
                Sortir de prison par autorité de justice.
                Ce jeune homme sort du collège où il fit de brillantes études.
          6. v. (Figuré) Cesser de se trouver dans un temps, une époque, un état, une condition.
                Sortir de l'hiver.
                Sortir de l'enfance.
                Sortir de nourrice, sortir de maladie.
                Sortir d'apprentissage.
          7. v. (Figuré) Ne plus être en situation, en parlant de choses morales.
                Sortir d'erreur, de son bon sens.
                Sortir de son sujet, du sujet.
                Vous sortez de la question.
          8. v. Se délivrer, s'affranchir, se tirer de quelque situation difficile, embarrassante ou périlleuse.
                Sortir d'affaire.
                Sortir d'intrigue.
                Sortir d'un grand péril, d'un grand embarras.
          9. v. Pousser au-dehors, commencer à paraître.
                Les fleurs commencent à sortir.
                Les blés, les herbes sortent de terre.
                Sa rougeole est sortie, est bien sortie.
          10. v. Dépasser de quelque chose.
          11. v. (Emploi;impersonnel) S'exhaler.
                Il sort une agréable odeur de ces fleurs.
                Il sort une grande chaleur de ce fourneau.
                Il en sortait une épaisse fumée.
          12. v. Être produit, en parlant des ouvrages de l'industrie, de l'art ou de l'esprit.
                Les étoffes qui sortent de cette fabrique sont très estimées.
                Les ouvrages sortis du pinceau de cet artiste.
                C'est le meilleur ouvrage qui soit sorti de la plume de cet écrivain.
          13. v. Être issu.
                Il sort de parents illustres.
                La famille d'où il est sorti.
          14. v. (Populaire) Entretenir une liaison amoureuse, voire sexuelle, avec quelqu'un.
          15. v. (Transitif) Tirer ; mettre dehors ; expulser.
                Il est temps de sortir les orangers de la serre.
                Sortez ce cheval de l'écurie.
                Il a sorti la voiture du garage.
                Sortez les sortants. (slogan politique)
                (transitif) (Québec) (chasse) Tirer un gros gibier en dehors de la forêt après l'avoir abattu.
                Ils ont eu de la difficulté à sortir l'orignal.
          16. v. (Transitif) (En particulier) Mener dehors.
                Sortir un enfant, un malade.
          17. v. (Transitif) (Populaire) Appréhender pour mettre dehors.
                Cet énergumène troublait la réunion, on l'a sorti manu militari.
                Ce comédien est nul. Sortez-le!
          18. v. (Transitif) Publier, mettre en vente, faire paraître.
                Sortir un bouquin.
          19. v. (Pronominal) Se tirer d'une situation.
                Il s'en est sorti tout seul.
          20. v. (Transitif) (Familier) Dire, débiter, proférer.
          21. v. (Droit) (Désuet) Obtenir, avoir.
                Cette sentence sortira son plein et entier effet.
ou
     1. conj. Indique une disjonction inclusive sur plusieurs concepts quand la cohabitation des concepts est envisageable : un ou plus dans la liste sont envisageables à la fois. Quand le sujet comprend un ou de ce sens, le verbe se met au pluriel.
           La peur ou la misère ont fait commettre bien des fautes.
           Vous ou moi, nous ferons telle chose.
           J'irais à la piscine lundi ou mercredi. (ambigu : voir ci-dessous)
     2. conj. Indique une disjonction exclusive : un seul dans la liste est envisageable à la fois. Quand le sujet comprend un ou de ce sens, le verbe s'accorde en nombre avec la dernière option. La première option peut être précédée par soit ou ou.
           Lui ou elle viendra avec moi.
           La douceur ou la violence en viendra à bout.
           J'irais à la piscine lundi ou mercredi. (ambigu : voir ci-dessus)
           Soit qu'il s'en aille, ou qu'il demeure.
     3. conj. Indique une expression alternative de la même chose.
           Son beau-frère ou le mari de sa sœur.
           Byzance ou Constantinople.
     4. conj. (Désuet) Indique le sous-titre d'un livre.
survenir
     1. v. Arriver inopinément ; venir tout à coup.
           Comme nous étions prêts à partir, un orage survint.
     2. v. Arriver de surcroît.
           S'il survenait le moindre accident, il n'y aurait plus aucun espoir de le sauver.
par
     1. prep. Sert à marquer le mouvement et le passage.
           Il a passé par Bordeaux. — Voyager par eau, par mer, par terre. — Aller par le monde.
           Il est toujours par les chemins. — Jeter quelque chose par la fenêtre. — Par où a-t-il passé ?
           — Passer par de rudes épreuves. — Cette idée lui a passé par l'esprit.
     2. prep. S'emploie aussi au sens de en, dans, avec l'idée de mouvement dans l'espace indiqué.
           Il se promène par la ville. — La lumière se répand par le monde. — Le bruit s'en est répandu par tout le voisinage.
     3. prep. À travers.
           Il lui cingla un coup de fouet par le visage.
     4. prep. (Géographie) (marine) À la hauteur de.
           Nous étions par trente degrés de latitude.
     5. prep. (Marine) Sert à indiquer la position d'un bâtiment, d'un objet, par rapport à un autre bâtiment ou à un autre objet.
           Ce navire a mouillé par dix brasses d'eau.
           Par l'avant. — Par le travers. — Une embarcation par tribord.
     6. prep. Elle sert à désigner la partie qu'on saisit.
           Prenez-le par le bras. — Prenez le couteau par le manche.
           Il le tira par les pieds. — Je ne sais par où commencer.
     7. prep. Elle sert à désigner l'agent. — (usage) Il régit en cet emploi le complément des verbes passifs :
           Il a été instruit par un tel. — La prise de Rome par les Gaulois. — " La Henriade " par Voltaire;
     8. prep. Elle sert à désigner la cause, le motif.
           Il l'a épousée par amour. — Il a fait cela par crainte, par haine, par bonté.
     9. prep. Elle sert à désigner le moyen :
           Il a obtenu cela par force, par adresse, par faveur, par l'intercession d'un tel, par hasard, par aventure.
           Il ne va que par sauts et par bonds.
     10. prep. Elle sert à désigner l'instrument, la manière.
           Ce paquet est venu par la poste, par un messager. — Il est arrivé par le bateau.
           Il descendait de tel roi par les femmes. — Commencer par un bout, finir par l'autre.
     11. prep. Elle indique l'ordre et la distribution.
           Ranger par tas. — Poème divisé par chants. — Distribuer par cantons.
           Toucher une rente par trimestre. — Payer tant par tête, tant par jour.
           Cela s'est passé par trois fois. — Conter par le menu. — S'en aller par pièces. — Couper par morceaux.
     12. prep. Elle sert à remplacer le gérondif par l'infinitif, dans des phrases où le verbe conjugué est commencer, continuer ou finir.
           Il a commencé par être esclave, il a fini par être roi. — J'ai fini par lui pardonner.
     13. prep. Elle s'emploie pour affirmer, jurer, conjurer.
           Il m'en a assuré par tout ce qu'il y a de plus saint.
           Il vous conjure par notre ancienne amitié.
     14. prep. Durant. — (note) Il est alors préposition de temps.
           Labourer la vigne par le beau temps. — Où allez-vous par cette pluie ?
           Voyager par tous les temps, par un beau soleil. — Par ces temps troublés, par ces jours heureux.
     15. prep. (Spécialement) Elle sert de particule interjective entrant dans les exclamations faisant intervenir le nom d'une divinité.
           « Je demande votre pardon. Nous continuerons plus tard.
           « Du vin ! J'veux encore du vin, par Mercure !
     16. n-m. (Golf) Nombre conventionnel de coups qui sont nécessaires pour faire le parcours d'un trou.
cas
     1. n-m. Accident, aventure, conjoncture, occasion ; fait arrivé, ou qui peut arriver.
           Cas fortuit.
           Un cas grave, étrange, rare.
           Ce n'est pas là le cas dont il s'agit.
           Ce cas n'a point été prévu par la loi, par le code.
           En cas de besoin.
           Il y a eu dans cette localité des cas de choléra et plusieurs cas de diphtérie.
           C'est le cas de le dire… — C'est le cas, ou jamais, d'agir de telle façon, de dire telle chose.
           Un cas de guerre.
           Un cas de divorce.
     2. n-m. Manifestation d'une maladie ou d'un problème chez une personne (typiquement utilisé pour introduire un chiffre).
           L'an passé, nous avons eu trois cents cas de suicides. La situation est grave.
           N'aggrave pas ton cas, tu as déjà fait assez de bêtises.
           La multiplication des cas de grippe ne laisse pas d'inquiéter les autorités sanitaires.
     3. n-m. (Familier) (Péjoratif) Personne qui cause beaucoup de problèmes ou qui a des problèmes psychologiques.
           Cet élève-là, c'est un cas. Un cas spécial. Qu'est-ce qu'on a du mal avec lui…
           Non mais tu es vraiment un cas ! Comment veux-tu que ton imprimante marche si elle est débranchée ?
           être dans le cas de faire une chose, Avoir occasion ou pouvoir de la faire.
           Je voudrais être dans le cas de vous obliger. Il signifie aussi être homme à faire telle ou telle chose…
           Si vous le brusquez, il est dans le cas de tout abandonner.
     4. n-m. (Juri) Fait, action, crime.
           Un cas pendable. (familier) et (ironique)
           Un cas pendable, Un acte indigne de pardon.
           (familier) Son cas est mauvais, son cas n'est pas net, se dit en parlant de Quelqu'un qui est en danger pour quelque crime, pour quelque mauvaise affaire.
           On dit dans le même sens
           Se mettre dans un mauvais cas.
           (proverbial) Tout vilain cas, tout mauvais cas est niable, se dit lorsqu'une personne a commis une faute grave et que la honte ou la crainte du châtiment la porte à la nier.
     5. n-m. Estime.
           Faire grand cas d'un homme.
           C'est un ministre qui sait faire cas des hommes de mérite.
           Ne faire cas que de l'argent.
           On ne fait pas grand cas de ce qu'il dit.
     6. n-m. (Vieilli) Déjection, excrément.
           Le bougre a fait son cas dans l'entrée de notre hôtel !
           Comme moucherons, au feu des lumières
     7. n-m. (Vieilli) Derrière ; cul. (note) Se dit également d'autres parties sexuelles telles que le con, la queue, etc.
           Ce badin toutefois
     8. n-m. (Grammaire) Chacune des différentes formes que prennent certains mots (les pronoms, les noms, quelquefois les adjectifs, les déterminants et les participes) selon leur fonction dans la phrase. En français, seulement les pronoms personnels ont plus d
fortuit
     1. adj. Qui arrive ou qu'on croit arriver par hasard, d'une manière imprévue.
           C'est un cas fortuit.
           Une découverte fortuite.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire