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Analyseur de phrases françaises

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par
     1. prep. Sert à marquer le mouvement et le passage.
           Il a passé par Bordeaux. — Voyager par eau, par mer, par terre. — Aller par le monde.
           Il est toujours par les chemins. — Jeter quelque chose par la fenêtre. — Par où a-t-il passé ?
           — Passer par de rudes épreuves. — Cette idée lui a passé par l'esprit.
     2. prep. S'emploie aussi au sens de en, dans, avec l'idée de mouvement dans l'espace indiqué.
           Il se promène par la ville. — La lumière se répand par le monde. — Le bruit s'en est répandu par tout le voisinage.
     3. prep. À travers.
           Il lui cingla un coup de fouet par le visage.
     4. prep. (Géographie) (marine) À la hauteur de.
           Nous étions par trente degrés de latitude.
     5. prep. (Marine) Sert à indiquer la position d'un bâtiment, d'un objet, par rapport à un autre bâtiment ou à un autre objet.
           Ce navire a mouillé par dix brasses d'eau.
           Par l'avant. — Par le travers. — Une embarcation par tribord.
     6. prep. Elle sert à désigner la partie qu'on saisit.
           Prenez-le par le bras. — Prenez le couteau par le manche.
           Il le tira par les pieds. — Je ne sais par où commencer.
     7. prep. Elle sert à désigner l'agent. — (usage) Il régit en cet emploi le complément des verbes passifs :
           Il a été instruit par un tel. — La prise de Rome par les Gaulois. — " La Henriade " par Voltaire;
     8. prep. Elle sert à désigner la cause, le motif.
           Il l'a épousée par amour. — Il a fait cela par crainte, par haine, par bonté.
     9. prep. Elle sert à désigner le moyen :
           Il a obtenu cela par force, par adresse, par faveur, par l'intercession d'un tel, par hasard, par aventure.
           Il ne va que par sauts et par bonds.
     10. prep. Elle sert à désigner l'instrument, la manière.
           Ce paquet est venu par la poste, par un messager. — Il est arrivé par le bateau.
           Il descendait de tel roi par les femmes. — Commencer par un bout, finir par l'autre.
     11. prep. Elle indique l'ordre et la distribution.
           Ranger par tas. — Poème divisé par chants. — Distribuer par cantons.
           Toucher une rente par trimestre. — Payer tant par tête, tant par jour.
           Cela s'est passé par trois fois. — Conter par le menu. — S'en aller par pièces. — Couper par morceaux.
     12. prep. Elle sert à remplacer le gérondif par l'infinitif, dans des phrases où le verbe conjugué est commencer, continuer ou finir.
           Il a commencé par être esclave, il a fini par être roi. — J'ai fini par lui pardonner.
     13. prep. Elle s'emploie pour affirmer, jurer, conjurer.
           Il m'en a assuré par tout ce qu'il y a de plus saint.
           Il vous conjure par notre ancienne amitié.
     14. prep. Durant. — (note) Il est alors préposition de temps.
           Labourer la vigne par le beau temps. — Où allez-vous par cette pluie ?
           Voyager par tous les temps, par un beau soleil. — Par ces temps troublés, par ces jours heureux.
     15. prep. (Spécialement) Elle sert de particule interjective entrant dans les exclamations faisant intervenir le nom d'une divinité.
           « Je demande votre pardon. Nous continuerons plus tard.
           « Du vin ! J'veux encore du vin, par Mercure !
     16. n-m. (Golf) Nombre conventionnel de coups qui sont nécessaires pour faire le parcours d'un trou.
analogie
     1. n-f. Association dans l'esprit de deux choses ou idées possédant des propriétés, une structure, un mode de fonctionnement communs (mais qui sont de type différent).
           Toute métaphore est fondée sur une analogie.
           C'est par analogie qu'on dit qu'une route sinueuse serpente.
     2. n-f. Sorte de rapport, de ressemblance dans l'ordre physique, intellectuel ou moral qui existe à certains égards entre deux ou plusieurs choses différentes.
     3. n-f. (Grammaire) Rapport qu'ont entre eux certains mots ou certaines lettres.
           Il y a de l'analogie entre le B et le P, consonnes labiales, le D et le T, consonnes dentales, etc.
           Les mots nouveaux ne s'introduisent d'ordinaire qu'à l'aide de l'analogie.
débarrasser
     1. v. Dégager de ce qui embarrasse.
           (figuré) Il ne sait comment se débarrasser de ses créanciers.
           Me voilà débarrassé de cette affaire, de ce souci.
     2. v. Enlever ce qu'il y a sur une table, un bureau.
     3. v. Éloigner de quelqu'un ou de soi une personne qui gêne.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
Son
     1. n. (Militaire) Section.
     2. n. (Géographie) Commune française, située dans le département des Ardennes.
     3. n. (Géographie) Ville des Pays-Bas située dans la commune de Son en Breugel.
     4. adj. Troisième personne du sujet, objet masculin singulier.
           J'ai lu son livre.
           Son coup droit fait mal.
     5. adj. (Familier) Indique des rapports d'habitude, de connaissance, etc.
           Voilà son public.
           Posséder son Homère.
           Il sait bien son arithmétique.
     6. adj. Joint aux verbes « sentir, faire » dans le langage familier, il renforce le sens de la phrase.
           Il sent son homme de qualité ; il sent son hypocrite.
           Il fait son malin.
     7. adj. Forme supplétive de sa, utilisée quand la chose possédée est au féminin, pour effectuer une liaison obligatoire avec le mot suivant qui commence par une voyelle ou un h muet.
           Une ville, sa ville ; une île, son île.
           Une maison, sa maison, son immense maison.
     8. n-m. Quelque chose que l'on peut écouter, entendre.
     9. n-m. (En particulier) Bruit harmonieux produit par un instrument de musique, caractérisé par un timbre et représenté par une note.
     10. n-m. Genre musical cubain ou mexicain.
     11. n-m. (Linguistique) Phone.
           Le phonème par exemple correspond aux sons : r, ɾ, ʀ, ʁ, ʳ, ɹ, etc.
     12. n-m. (Meunerie) Résidu de la mouture du blé et d'autres céréales, provenant du péricarpe des grains.
     13. n-m. (Par analogie) (Familier) Déchets de bois produits lorsque l'on scie, sciure.
     14. n. (Militaire) Section.
Bouchon
     1. n. Nom de famille français.
     2. n. (Géographie) Commune française, située dans le département de la Somme.
     3. n-m. Objet qui sert à boucher, en particulier des bouteilles.
           J'ai oublié de remettre le bouchon du réservoir d'essence.
           Bouchon de bois, de papier, de filasse, de verre, de cristal.
     4. n-m. (Pêche) Flotteur d'une ligne de pêche.
           Un petit bouchon suffit pour pêcher le goujon.
     5. n-m. Ce qui obstrue une voie de circulation.
           On signale plusieurs kilomètres de bouchon sur l'autoroute des vacances.
     6. n-m. (Plomberie) Ce qui obstrue un tuyau.
     7. n-m. Informatique Adaptateur USB destiné aux communications sans-fil (wifi, Bluetooth, infrarouge).
     8. n-m. Poignée de paille, ou de foin, tortillée.
           Faire un bouchon de paille pour frotter un cheval.
           Mettre un bouchon de paille à la queue d'un cheval pour indiquer qu'il est à vendre.
     9. n-m. Tas, paquet de linge, ou de vêtements, froissés, chiffonnés, tortillés.
           Un bouchon de linge.
           Mettre du linge en bouchon.
     10. n-m. (Désuet) Rameau de verdure, couronne de lierre ou quelque autre signe qu'on attache à une maison pour faire connaître qu'on y vend du vin.
           Un bouchon de cabaret.
     11. n-m. Restaurant, ; auberge ; cabaret.
     12. n-m. (Réunion) (Préparations) Petite bouchée de viande de porc entourée de nouilles cuites à la vapeur que l'on sert généralement en tant qu'apéritif chaud dans certaines îles de l'océan Indien et notamment sur l'île de La Réunion.
     13. n-m. (Région) (Vieilli) Buisson.
     14. n-m. (Rugby) Plaquage rugueux, violent.
           Mettre un bouchon, coller un bouchon.
     15. n-m. (Pétanque) Autre nom du cochonnet.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire