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figuré
     1. adj-m. (Sens propre) Fait selon une certaine figure
           Un élément anatomique figuré.
           Le plan figuré d'une maison, d'un terrain.
           La copie figurée d'une écriture.
     2. adj-m. (En particulier) (vieilli) Qualifie les pierres sur lesquelles il y a des figures d'animaux, de plantes, etc., empreintes naturellement.
     3. adj-m. (Par analogie) Qualifie une pierre qui rappelle la figure de quelque être ou de quelque objet.
     4. adj-m. (En particulier) Qualifie une danse composée de différents pas et de différentes figures.
           Danse figurée, ballet figuré.
     5. adj-m. (Grammaire)(rhétorique) Qualifie une écriture, un parler, dans lequel il y a beaucoup de figures, soit de mots, soit de pensée.
           Discours, langage, style figuré.
     6. adj-m. (En particulier) (Héraldique) Qualifie un blason comportant la figure humaine.
     7. adj-m. (Figuré) Accoutré, décrit.
     8. n-m. (Cartographie) (Représentation) Résultat obtenu par l'opération de représentation graphique d'un phénomène.
     9. v. Participe passé masculin singulier de figurer.
personne
     1. n-f. Être humain considéré en tant qu'individu.
     2. n-f. (Philosophie) Individu ou entité consciente d'elle-même et à laquelle on reconnaît des droits.
           Le débat fait rage pour savoir si certains animaux sont des personnes.
     3. n-f. (Grammaire) Rôle que tient la personne ou la chose en cause dans l'acte d'énonciation. (note)Première personne : je, nous ;
     4. n-f. Précédé d'un adjectif possessif, se dit de la vie, du corps, du physique de celui qui parle, à qui l'on parle, ou dont on parle.
     5. n-f. Personnage.
           Il était la seconde personne du royaume.
     6. n-f. Se dit, dans certaines locutions, des femmes seulement.
           C'est la plus belle personne du monde, une des plus jolies personnes qu'on puisse voir.
           Voilà une belle personne.
           Un pensionnat de jeunes personnes.
           Elle est très belle personne.
     7. n-f. Se dit quelquefois d'un homme ou d'une femme, considérés en eux-mêmes.
           Peu de gens savent séparer la personne de la situation qu'elle occupe.
           La personne d'un auteur, par opposition à ses œuvres.
     8. n-f. Sert, dans certaines expressions, à donner plus de force, d'ampleur, de solennité à ce que l'on dit.
           Cet officier est attaché à la personne du général.
           Ce général se porta de sa personne en tel endroit, Il y alla lui-même.
           En sa personne se dit dans le même sens, mais a toujours rapport au régime du verbe.
           C'est l'offenser en sa personne.
           Parlant à sa personne, Parlant à lui-même.
           Je le lui ai dit, parlant à sa personne.
           Assigner une commune en la personne ou au domicile du maire, le Trésor en la personne ou au bureau de l'agent, etc.
           Offenser, outrager quelqu'un en la personne d'un autre.
     9. n-f. (Religion) Être divin, dans la théologie chrétienne.
     10. n. (Littéraire) Quelqu'un.
           Y a-t-il personne d'assez hardi ?
           Je doute que personne y réussisse.
           Il ne veut pas que personne soit lésé.
     11. n. Nul ; quiconque ; qui que ce soit. — (note) Il est alors accompagné d'une négation
qui
     1. n. Lequel, laquelle, lesquels, lesquelles. — (note) Sert à désigner le sujet dans la proposition relative.
           (note) Il se rapporte quelquefois à un nom ou à un pronom qui ne le précède pas immédiatement.
           Le voici qui vient.
           Un homme est là qui est déjà venu.
           (note) Précédé d'une préposition, il ne s'emploie ordinairement qu'en parlant des êtres animés.
           Celui, celle de qui je parle, à qui j'ai donné cela.
           Un chien à qui elle fait mille caresses.
           (note) Il s'emploie aussi en parlant des objets inanimés personnifiés.
           Rochers à qui je me plains.
     2. n. (Par ellipse) (littéraire) Celui qui, celle qui. — (note) Sert à désigner une personne sans antécédent.
     3. n. (Par ellipse) Ce qui, en parlant des choses.
           Voilà qui est beau.
           Voici qui me plaît.
     4. n. (Répété et distributif) Celui-ci ; celle-ci ; ceux-ci… celui-là ; celle-là ; ceux-là ; les uns… les autres.
     5. n. Quelle personne ? — (note) Sert à désigner une personne ou des personnes.
manque
     1. n-m. Absence, défaut, fait de manquer.
     2. n-m. État de stress dû à la privation d'une drogue.
     3. v. Première personne du singulier du présent de l'indicatif de manquer.
     4. v. Troisième personne du singulier du présent de l'indicatif de manquer.
     5. v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de manquer.
     6. v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de manquer.
     7. v. Deuxième personne du singulier de l'impératif de manquer.
     manquer
          1. v. (Vieilli) Faillir ; tomber en faute.
                Tous les hommes peuvent manquer, sont sujets à manquer. — N'avez-vous jamais manqué?
          2. v. (Spécialement) Ne pas partir, en parlant du coup d'une arme à feu, lorsqu'on veut tirer.
                Son revolver, son fusil a manqué.
          3. v. (Figuré) Tomber, faiblir, défaillir.
                Ce cheval manque par les jambes. — Il ne peut plus se soutenir, les jambes, les forces lui manquent.
                Elle va s'évanouir, le cœur lui manque. — Je suis si interdit que la parole me manque.
          4. v. Se dérober, s'affaisser, en parlant des choses.
                La terre manqua sous leurs pieds. — Le pied lui a manqué, et il est tombé
          5. v. Mourir, disparaître, en parlant de quelqu'un qui est nécessaire.
                Cet homme est bien malade, s'il vient à manquer, sa famille est ruinée.
          6. v. Faire faute, faire défaut.
          7. v. (En particulier) Ne pas se trouver là où l'on devrait être.
                Il manque deux élèves dans cette classe. — Il manque beaucoup de livres dans cette bibliothèque.
          8. v. (Transitif) Ne pas réussir dans ce qu'on a entrepris, ne pas rencontrer ce qu'on cherchait, laisser échapper ce qu'on poursuivait.
                Je suis arrivé trop tard, j'ai manqué mon ami, je l'ai manqué d'un quart d'heure.
                Il a manqué le train. — Je regrette d'avoir manqué votre visite.
                Il a manqué une belle occasion. — Il a manqué son coup. — Il a manqué le but.
          9. v. (Transitif) (Spécialement) (chasse) Tirer un gibier et ne pas l'atteindre.
                J'ai manqué un lièvre qui était au bout de mon fusil.
          10. v. (Transitif) (Chasse) (pêche) Ne pas réussir à prendre.
                Les chasseurs ont manqué le cerf.
          11. v. (Transitif) Laisser échapper.
          12. v. (Par ellipse) (familier) Faillir ; manquer de.
De
     1. n-f. Abréviation de dame.
     2. prep. Marque un ablatif. Mot indiquant la provenance, l'origine.
           Elle vient d'une famille riche, du Canada, de France, des États-Unis.
     3. prep. Particule dans les noms de famille.
           Charles de Gaulle.
     4. prep. Indique la possession.
           La voiture de Sylvie.
     5. prep. Indique une association à la matière.
           Le pot de fer.
           Deux litres de bière.
           Le renard des sables.
     6. prep. Exprime l'appartenance à un nombre.
           Un groupe de 5.
           La température était de 30 °C.
     7. prep. Sert aussi à former le complément d'un grand nombre d'adjectifs, le complément d'objet indirect de beaucoup de verbes.
           Elle tient lieu encore de diverses autres prépositions.
           Elle est quelquefois simplement explétive et donne lieu à divers gallicismes.
     8. prep. Servir à marquer un rapport de départ, de séparation, d'extraction, de dérivation, d'origine, etc.
           D'où vient-il ? Il arrive de Londres.
           Se mouvoir de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite puis de droite à gauche.
           Descendre de cheval. – S'éloigner de quelqu'un.
           Ôtez-vous de là. – S'écarter de la route.
           Aller d'une ville à une autre, de ville en ville.
           Les mots qu'on a retranchés de ce passage.
           L'huile qu'on extrait des olives.
           Que conclure, qu'inférer de cette réponse ?
           Je l'ai reçu de ses mains.
           Regarder, considérer, etc., du haut d'une montagne, de près, de loin, d'en bas, etc.
           Parler, écouter, de loin, de près.
     9. prep. (En particulier) Distinguer les noms propres désignant des familles nobles, ordinairement empruntés au lieu d'origine, à quelque particularité locale, à une terre, etc.
           Henri de La Tour d'Auvergne. – Madame de Maintenon.
     10. prep. (Principalement) Marquer la relation d'une distance ou d'une durée quelconque avec le lieu, avec l'époque où elle commence.
           Paris est à trente lieues d'Orléans.
           Il était loin de moi, près de moi, auprès de moi, à deux pas de moi, à quelque distance de moi.
           Il se vit à deux doigts de sa perte.
           Distant de… Voisin de… Proche de… Approcher, s'approcher de… de la tête aux pieds.
           D'aujourd'hui en huit.
           Du jeudi au dimanche, et du matin au soir.
     11. prep. (Souvent) Marquer la variation entre deux valeurs dans une approximation.
           Ils étaient de vingt à vingt-cinq. – Je serai chez vous de cinq heures à six.
     12. prep. Marquer une relation qui est entre les personnes ou les choses.
           Il y a une grande différence de l'un à l'autre, de cet homme à celui-là.
           Différer du tout au tout.
           Traiter de puissance à puissance, d'égal à égal.
           De vous à moi cela ne peut souffrir aucune difficulté.
     13. prep. Indiquer aussi le rapport d'une portion ou fraction à la totalité, souvent avec l'idée accessoire de retranchement ou d'extraction (et toujours avec complément déterminé).
           Le tiers, le quart, la moitié de la somme.
           Il perdit une partie de sa fortune
           (Par analogie)
           Il perdit la totalité de sa fortune.
           Une portion, une partie du territoire.
           Le reste du temps.
           Donnez-lui un morceau de ce pain.
           Cela n'a rien diminué de sa gloire.
           Quel est le plus habile de ces deux hommes ? ou bien, en considérant à part l'un de l'autre les termes comparés et en redoublant la préposition : Quel est le plus habile, de cet homme-ci ou de celui-là?
     14. prep. (Sens partitif) Indiquer une quantité vague, un nombre indéterminé.
           Prendre de la nourriture. – Manger de la viande, de bonne viande. – Boire du vin, de bon vin, du vin vieux.
           De l'eau bonne à boire.
           Des soldats braves. – De braves soldats. – Ce sont de bonnes gens.
           Dire de bonnes plaisanteries. – Dire de bons mots.
           Prendre des oiseaux au piège.
           Donner de l'argent.
     15. prep. (Partitif) D'équivaloir à peu près aux mots nul, aucun, et alors le nom qui le suit est sans article.
           Je n'ai de volonté que la tienne.
           Je ne connais pas d'homme plus importun.
           Parler sans faire de fautes.
           Ne pouvoir souffrir de rival, de rivaux.
           N'avez-vous pas d'enfants ?
           (note) Quelquefois la phrase a un tour négatif et un sens positif. Dans ce cas, le nom qui suit de, doit toujours être précédé de l'article.
           N'avez-vous pas de la santé, de la fortune, des amis ? – Que vous faut-il de plus ?
           Il ne peut parler sans faire des fautes.
     16. prep. Servir à marquer la conformité.
           Je suis de votre avis.
           Cela n'est pas de mon goût.
           Les cérémonies d'usage.
           Cela n'est plus de mode.
           Cela n'est pas de jeu.
     17. prep. Servir à marquer l'appartenance, la dépendance.
           Avec un complément déterminé, c'est-à-dire qui indique d'une manière précise telle personne ou telle chose.
           Le livre de Pierre. – La maison de mon frère.
           Le nom, la condition, la profession d'une personne.
           Les actions de quelqu'un.
           Les habitants de Paris. – Les arbres des forêts.
           La beauté d'une femme.
           Le sujet d'un discours.
           Le sens d'un mot.
           La largeur d'un fleuve.
           (Par ellipse) Cela n'est pas d'un honnête homme.
           Avec un complément indéterminé, c'est-à-dire qui n'indique la personne ou la chose que d'une manière vague et générale :
           Bien de famille.
           La qualité d'ambassadeur. – La profession d'avocat.
           Caprice d'enfant. – Nom d'homme.
           Nid d'aigle. – Poisson de rivière. – Eau de fontaine.
           Voix de femme. – Tableau de genre.
     18. prep. Rapport d'une chose à celui qui l'a faite, produite, etc.
           Les tragédies de Corneille. – Les tableaux de Raphaël.
     19. prep. Rapport d'une personne ou d'une chose au lieu d'origine ; d'une chose au lieu où elle a été faite, où elle s'est passée, etc.
           Le vent du nord, du sud. – Du vin de Champagne. – Un foulard des Indes. – La bataille d'Austerlitz.
     20. prep. Rapport au temps, à l'époque.
           Les institutions du moyen âge. – Du champagne de 1984.
manque de
     1. prep. (Vieilli) Faute de.
           Ce n'est pas manque de soin s'il ne réussit pas dans cette affaire.
manquer de
     1. v. Ne pas avoir en quantité suffisante.
           Manquer d'argent, de vivres, de munitions, etc.
           Manquer du nécessaire.
           Manquer de mémoire.
           Manquer de courage, de résolution.
           Manquer d'occasions.
     2. v. (Suivi d'un infinitif) Courir quelque risque, être sur le point d'éprouver quelque accident.
           Nous avons manqué de verser.
           Il a manqué d'être tué.
           (Par ellipse) Il a manqué mourir.
     3. v. (Suivi d'un infinitif) (À la forme négative) Ne pas oublier, ne pas négliger de faire quelque chose.
           Je ne manquerai pas de faire ce que vous voulez.
           Ne manquez pas de vous trouver au rendez-vous.
ordre
     1. n-m. Arrangement raisonné et logique, disposition régulière des choses les unes par rapport aux autres.
           Il n'y a point d'ordre dans ce discours.
     2. n-m. (En particulier) En termes de procédure.
           Ordre des créanciers : État qu'on dresse de tous les créanciers d'une personne, d'une succession, pour les payer suivant leurs privilèges, la date de leur hypothèque, etc.
           Il est le premier créancier en ordre, le second en ordre.
           Dans cet ordre, tel avoué est le poursuivant.
           Instance, sentence d'ordre.
           Il y a un arrêt d'ordre.
           Il est des derniers créanciers, il ne viendra pas en ordre utile.
     3. n-m. Demande impérative ; consigne d'une hiérarchie.
           Le capitaine Arbogast avait raison quand, hier soir, à l'apéritif, il nous disait :
     4. n-m. Loi ou règle établie par la nature, par l'autorité, par les bienséances, par l'usage, etc.
           Ce que vous faites là est dans l'ordre, n'est pas dans l'ordre.
           Il n'est pas dans l'ordre que les enfants meurent avant leurs parents.
           Cela est dans l'ordre de la nature, de la Providence.
           Selon l'ordre de la nature.
           L'ordre social fut ébranlé par cette révolution.
           Cette question intéresse tout l'ordre social.
           Ordre de choses : Système, régime, ensemble de choses.
           Se dit particulièrement d'un système de gouvernement, d'administration.
           L'ancien ordre de choses.
           Le nouvel ordre de choses.
           L'ordre de choses établi.
     5. n-m. Tranquillité ; discipline ; subordination aux règles établies.
     6. n-m. Régularité ; exactitude ; économie.
           Ce ministre a rétabli l'ordre dans les finances de l'État.
           Cet homme a mis, a remis de l'ordre dans ses affaires.
           Il a mis ses affaires en ordre.
           C'est pour le bon ordre.
           Mettre ordre à, donner ordre à : S'occuper de, pourvoir à, remédier à.
           Voilà une mauvaise affaire, mettez-y ordre, donnez-y ordre.
           Vous serez ruiné si vous n'y donnez ordre.
           J'y mettrai bon ordre.
     7. n-m. En parlant d'une maison, d'un appartement, etc., arrangement, état des choses qu'ils contiennent.
           Sa maison, son appartement, sa chambre est bien en ordre, n'est pas en ordre.
           Avoir de l'ordre.
     8. n-m. Degré ; rang ; classe.
           Un talent de premier ordre.
           Répertoire du théâtre de second ordre.
           Ordre d'idées : Ensemble d'idées, classe particulière d'idées relatives à un objet déterminé.
           Cette réflexion est étrangère à la question, elle appartient à un autre ordre d'idées.
           Ordre hiérarchique : Les différents degrés de dignité, d'autorité dans l'église, et, par extension, dans tous les corps qui comportent des rangs, des grades, des pouvoirs différents subordonnés les uns aux autres.
           Se dit spécialement des neuf classes, autrement appelées chœurs, dans lesquelles on suppose que les anges sont distribués.
           Les neuf ordres des anges.
           L'ordre des séraphins, des chérubins.
     9. n-m. (Religion) Chacun des degrés de la hiérarchie ecclésiastique.
           Les ordres sacrés.
           Recevoir les ordres.
           Donner, conférer les ordres.
           Les ordres mineurs : Portier, lecteur, exorciste, acolyte.
           Les ordres majeurs : Le sous-diaconat, le diaconat et la prêtrise.
           Entrer dans les ordres : Se faire prêtre, moine ou religieuse.
           Le Sacrement de l'ordre et, absolument, l'ordre : Le sacrement de l'église par lequel l'évêque confère à celui qui le reçoit le pouvoir de remplir les fonctions ecclésiastiques.
     10. n-m. (Religion) Congrégation de personnes s'engageant à vivre sous une règle religieuse.
     11. n-m. (Religion) (Militaire) Compagnie dont les membres font vœu de vivre sous de certaines règles ou s'y obligent par serment.
           Ordre de chevalerie, des templiers.
           L'ordre des hospitaliers ou de Saint-Jean de Jérusalem, appelé dans les derniers temps l'ordre de Malte.
           L'ordre Teutonique, de Saint- Jacques.
     12. n-m. Compagnies honorifiques de chevalerie, que des souverains ou des états ont instituées et dans lesquelles on est admis en raison de sa naissance, de ses services, de son mérite.
           L'ordre de Saint-Michel, du Saint-Esprit, de Saint-Louis.
           L'ordre de la Légion d'honneur, de la Toison d'or, de la Jarretière, de l'Annonciade.
           Chevalier, officier, commandeur de tel ordre.
     13. n-m. Collier, ruban ou autre insigne d'un ordre de chevalerie.
           Le roi a envoyé son ordre à tel prince, a donné l'ordre à un tel.
           Il porte l'ordre de la Toison d'or, l'ordre de la Jarretière.
           Être décoré de plusieurs ordres.
     14. n-m. Classes subordonnées entre elles qui composent un état, une corporation.
           Il y avait à Rome l'ordre des patriciens, l'ordre des chevaliers et l'ordre plébéien.
           En France, les états étaient composés de trois ordres, l'ordre du clergé, l'ordre de la noblesse, l'ordre du tiers état.
           L'ordre des avocats : L'ensemble des avocats exerçant auprès d'une juridiction et inscrits sur le tableau.
           L'ordre des médecins, des ingénieurs.
           Le conseil de l'ordre : Le conseil de discipline de l'ordre des avocats.
     15. n-m. Ce qui est enjoint, commandé à quelqu'un par une autorité supérieure.
           Il l'a fait sans ordre, il l'a fait par mon ordre.
           Il a fait cela par ordre.
           Suivre les ordres qu'on a reçus.
           Jusqu'à nouvel ordre.
           L'ordre est changé.
           J'attends vos ordres.
           Je suis à vos ordres.
           On lui a envoyé l'ordre de combattre.
           Porter les ordres de quelqu'un.
           Recevoir, exécuter l'ordre de quelqu'un.
           Expédier des ordres.
           Vos moindres désirs sont des ordres pour moi.
           Ordres de service.
           Ordre de mobilisation.
     16. n-m. (Militaire) Ellipse de mot d'ordre, mot qu'un chef donne à ceux qui sont sous ses ordres pour qu'ils puissent se reconnaître entre eux, en opposition au mot de ralliement.
           Le général donne l'ordre.
           Aller à l'ordre.
           Prendre, envoyer l'ordre.
     17. n-m. (Militaire) Moment de la journée où le général distribue ses ordres à son armée.
           N'y avait-il rien de nouveau à l'ordre ?
           Venir aux ordres : En parlant des domestiques d'une maison.
           Ordre du jour se dit également des publications qui se font par ordre du général.
           Une mesure par la voie de l'ordre.
           Cet avis, ce trait de bravoure a été mis à l'ordre de l'armée.
           Il a été cité à l'ordre du jour de l'armée, de la division, du régiment.
           Il a été mis, pour ses services exceptionnels, à l'ordre de la nation.
     18. n-m. (Finance) Endossement ou écrit succinct que le propriétaire d'un billet ou d'une lettre de change met au dos de cet effet pour en faire le transfert à une autre personne qui en devra recevoir le montant.
mental
     1. adj. Qui se fait, qui s'exécute dans l'esprit, dans l'entendement.
     2. adj. Qui a rapport à l'entendement.
           Maladies mentales.
     3. n-m. Ensemble des activités de l'esprit comprenant les pensées et les émotions.
spirituel
     1. adj. Qui est de la nature de l'esprit, ou qui le concerne.
     2. adj. (Religion) Relatif à l'âme, à la conscience, par opposition à sensuel, charnel.
           La vie spirituelle.
           Des lectures spirituelles.
           Entretiens spirituels.
           Exercice spirituel.
           Communion spirituelle, prière par laquelle quelqu'un s'unit d'esprit à ceux qui communient, par laquelle il demande à Dieu de lui accorder les mêmes grâces que s'il communiait.
           Concert spirituel, concert de musique religieuse.
     3. adj. (Religion) Qui regarde la religion, l'Église, par opposition à temporel.
     4. adj. Qui est mystique, allégorique, par opposition à littéral.
           Jacob et Ésaü, dans le sens spirituel, représentent les bons et les méchants.
     5. adj. Qualifie les liens de l'esprit, de l'intelligence.
           Parenté spirituelle.
           Fils spirituel.
     6. adj. Qui a de l'esprit.
     7. adj. Qui est ingénieux, où il y a de l'esprit.
     8. adj. Qualifie une physionomie, on devine, on présume que la personne a de l'esprit.
     9. n. Ce qui regarde la religion, l'église, par opposition au temporel.
           Le spirituel d'un bénéfice.
           Il ne se mêle que du spirituel et laisse à un autre le soin du temporel.
Entrées dictionnaire de Wiktionnaire